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Chez Clarabel
31 janvier 2015

Bilan du mois de Janvier 2015 ♪♫•*¨*•...•*¨*•♫♪

cute-egg-kawaii

Un peu de douceur pour oublier l'actualité tragique de ce début d'année,
la lecture, notre éternel refuge, a ainsi permi de belles rencontres, parmi lesquelles : 

♣ Ici ça va, de Thomas Vinau

♣ Le Pacte des Cœurs brisés, de Sarah Ockler

♣ Détectives de père et fils, de Rohan Gavin

♣ Le Ver à Soie, de Robert Galbraith

 

Ce mois-ci j'ai aussi pu m'évader à BlueBell en Alabama, grâce à la série Hart of Dixie !

hart-of-dixie

Et j'ai adoré ! ♥

 

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30 janvier 2015

L'Éte où papa est devenu gay, par Endre Lund Eriksen

« Mon père ne peut quand même pas être homo
Indiane s'est renfrognée.
- C'est quoi le problème si on est homo?
J'ai essayé de lui expliquer que je ne voyais aucun inconvénient à ce que les homos soient homos ; le problème, c'était que papa le soit, parce qu'en vrai, au fond de lui, il ne l'était pas. S'il l'avait été, encore ! Admettons. Mais il avait été marié à ma mère pendant une éternité, et franchement, il n'avait vraiment rien d'une pédale. Alors là, Indiane a froncé les sourcils, l'air furibard.
- Qu'est-ce que tu veux dire exactement par « il a rien d'une pédale » ?
Impossible de lui avouer ce que j'avais en tête. Marcher en roulant du cul comme une fille. Parler mode, fringues et jardinerie d'une voix efféminée. Trottiner en faisant tout le temps des mouvements du poignet. Écouter de la musique disco et s'habiller avec des trucs en cuir moulants.
On ne pouvait pas dire que son père était comme ça. Au contraire : c'était le type le plus viril que j'aie jamais rencontré - enfin, si on exceptait le coup de la musique disco. Ça, on pouvait difficilement faire plus homo. »

L'Ete Ou Papa Est Devenu Gay

Séparé de son épouse, le père d'Arvid emprunte une caravane pour les vacances et s'installe sur le terrain près des toilettes les plus célèbres de Norvège (ambiance psychédélique, boule à facettes et musique disco). Le moral n'est pas au beau fixe, père et fils passent leur temps à bouquiner ou errer en pleine campagne sous une pluie diluvienne.

Leur quotidien s'égaye lorsqu'ils font la connaissance de Roger et sa fille Indiane. C'est une gamine délurée, qui s'amuse à titiller le garçon, coincé et bougon. Très libre et décomplexée, elle ne comprend pas la réaction du garçon lorsqu'ils surprennent l'accolade passionnée entre leurs pères. Arvid court se réfugier dans les WC, chipe le livre d'or et déverse toute sa frustration.

Ses confidences, sur le ton de la plaisanterie, font état de la trouille de l'adolescent, face à sa puberté naissante. À 13 ans, celui-ci se pose de plus en plus de questions sur la sexualité, son identité et son orientation, l'attitude de ses amis aussi le pousse à réfléchir, comme celle plutôt dégourdie de la jeune Indiane, terriblement curieuse et impatiente de dévoiler les mystères de la chose, bref tout ça plonge Arvid dans une grande perplexité.

Alors, pour oublier ce qui le contrarie en secret, le garçon prend pour cible son père et sa soudaine lubie d'une révolution sexuelle en plein été, durant leurs vacances. Arvid ne l'entend pas de cette oreille et échafaude des plans délirants pour faire capoter l'idylle florissante. Le ton général est léger, joyeux et totalement désinhibé (même le chien Waldo est pris de pulsions lubriques incontrôlables, on croit rêver !).

C'est raconté sur le ton de la blague, mais ça évoque avec beaucoup de subtilité l'adolescence, le corps qui change, les premiers troubles, les émotions contradictoires et l'homosexualité. Les romans pour ados sont encore trop timides à ce propos, donc saluons l'initiative écrite avec intelligence et un soupçon d'effronterie ! 

éd. Thierry Magnier, septembre 2014 ♦ traduit du norvégien par Aude Pasquier

29 janvier 2015

En poche ! #37

Seconde chance pour ces lectures, si vous étiez passés à côté ! ;-)

 

Le réveil des créatures

Le Réveil des Créatures, de John & Carole E. Barrowman

 

Legend

Legend, de Marie Lu

 

Je ne sais plus pourquoi je t'aime

Je ne sais plus pour je t'aime, de Gabrielle Zevin

 

Sublutetia - Tome 1 - La révolte de Hutan

Sublutetia, tome 1 : La Révolte de Hutan, d'Éric Senabre

 

Le bon Antoine

Le bon Antoine, de Marie Desplechin

29 janvier 2015

3 femmes et un fantôme, de Roddy Doyle

« Écoute, il faut que ça cesse.
- Quoi donc doit cesser ?
- Ce truc, là, tu-ressembles-à-ta-grand-mère. Tu ressembles à ta grand-mère, tu parles comme ton grand-père, tu aboies comme le chien de ta grand-mère.
- Mary !
- Et tu as la langue aussi bien pendue qu'elle, dit Tansey. Mais c'est juste. Aucune jeunesse n'a envie qu'on lui dise qu'elle ressemble à une vieille.
- C'est pas ça du tout, dit Mary. Tout ça est stupide. 
- Mary !
- Et je ne suis pas insolente, dit Mary à Scarlett. Je ne le suis pas ! Mais c'est vraiment stupide. Genre, tu ressembles à ta grand-mère, je ressemble à la mienne. Et alors ? Ta grand-mère est un fantôme et la mienne va mourir. Et c'est la seule chose ici qui ne soit pas stupide. »

3 femmes et un fantome

Mary, douze ans, rencontre le fantôme de son arrière-grand-mère, Tansey. Morte d'une grippe à seulement vingt-cinq ans, elle ne s'est jamais consolée d'avoir abandonné sa petite fille de trois ans, Emer. Aujourd'hui celle-ci est sur son lit d'hôpital, malade et affaiblie, mais avec toujours le sens de l'humour pour accueillir chaque visite de sa petite-fille.

La présence soudaine du fantôme dans leur vie fait délier les langues. Les souvenirs remontent à la surface, chacune raconte son enfance, la rencontre de l'amour, l'espérance d'une vie longue et merveilleuse, le drame, le chagrin et la perte incommensurable. Mary n'en perd pas une miette, derrière ses airs de friponne qui rouspète tout le temps. Elle devient la dépositaire d'une histoire familiale pétrie de tendresse, de chaleur et d'abnégation.

Et c'est beau de suivre ces portraits croisés, entre mère et fille, ces récits de partage et de transmission, où retentit avec force la fibre maternelle. Roddy Doyle rend un vibrant hommage aux racines et à l'amour maternel, sans jamais sombrer dans le mélo. C'est au contraire parsemé d'humour et de sarcasme. La lecture en devient touchante, attachante, bouleversante et on a autant envie de rire que de pleurer ! Une jolie découverte.

Flammarion, coll. Tribal, septembre 2013 ♦ traduit par Marie Hermet (A Greyhound of a Girl)

« Est-ce que les fantômes boivent du thé ?
- Non, mais ce fantôme-ci aimerait beaucoup voir une tasse de thé posée devant elle. Ce serait bien plaisant. »

28 janvier 2015

Sacrifice à la lune, de Marcus Sedgwick

Sacrifice à la lune

Flirtant avec un thème classique (un amour frappé d'une malédiction), le roman surprend par sa construction originale et enchante par son caractère romanesque et poétique ! Tout commence en 2073, sur l'île de Blessed, un journaliste vient enquêter sur le secret de longévité de ses habitants, qui détiendraient un élixir de jouvence grâce à la culture d'une orchidée.

Sur place, Eric tombe sous le charme de la ravissante Merle mais n'a pas le temps de conter fleurette que déjà le patriarche, Tor, le convie chez lui à boire une infusion, discuter du bout de gras, adoucir son séjour en lui apportant tout le confort nécessaire. Eric se laisse étourdir et tombe dans une étrange torpeur.

La suite des événements viendra réveiller le lecteur également sous hypnose pour le transporter à sept reprises, selon les sept cycles de lune (floraison, fenaison, moisson, fruitière etc.), dans des intrigues de réincarnation, toutes plus ou moins surprenantes, mais veillant à toujours replacer au cœur de l'action notre couple maudit, voué au sacrifice ultime. La tournure du récit est, certes, déconcertante mais réussit à nous charmer par sa subtilité, sa grâce et son sens de la dramaturgie.

C'est aussi très romantique, mais jamais mièvre. Marcus Sedgwick combine des contextes historiques (Viking, 2nde guerre mondiale) à un imaginaire fantastique (fantôme, vampire etc.). Et c'est franchement bluffant. J'ai beaucoup aimé me perdre à travers le temps, au fil des rencontres et des anecdotes, autour du même couple qui ne cesse de se croiser, se retrouver puis se perdre. C'est comme écouter un conte au coin du feu, avec les ombres vacillantes sur les murs, qui font délicieusement frémir. On se sent comme envoûté !

éditions Thierry Magnier, août 2013 ♦ traduit par Valérie Dayre (Midwinterblood)

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27 janvier 2015

Le Requiem des abysses, de Maxime Chattam

LE REQUIEM DES ABYSSES

Après les tragiques événements dont il a été témoin à Paris (cf. Léviatemps), Guy de Timée est parti se ressourcer à la campagne, chez son vieil ami Maximilien. Mais de nouveau, des crimes sordides viennent secouer sa retraite paisible et ramènent notre écrivain sur le sentier des âmes perdues et torturées. Sous ses yeux, des scènes abominables, d'une rare barbarie, orchestrant le massacre de familles entières...

Accrochez-vous, car on ne s'habitue pas à cette surenchère de violence et de bains de sang. J'ai d'ailleurs trouvé certains passages à la limite du supportable et j'ai même fait des pauses dans ma lecture pour me remettre de mes émotions. Dur, dur. Puis, l'histoire va prendre un revers étonnant et nous replacer dans le contexte initial : Paris. Hubris. Etc. Un vieux contentieux à régler une bonne fois pour toute.

Et, ma foi, ce dénouement ne m'aura nullement surprise puisque je l'avais attendu depuis un bon moment ! Mais que de débauche, de perversion, d'immondices, de bassesses et d'horreur pour atteindre ce but. Ceci dit, Chattam boucle son diptyque du temps avec panache, anéantissant au passage nombre de ses personnages, pour en finir avec les démons, l'obsession du Mal, le crime impuni, la lâcheté, la duperie etc.

Cela se termine dans la noirceur et l'amertume. Notre Guy de Timée, dont l'esprit méthodique a tenté d'impressionner les foules, n'aura pas su briller autrement que par son égocentrisme et sa prétention. À trop vouloir se familiariser avec les monstruosités, il a finalement brûlé une partie de son âme. C'est sans pitié, lourd et poignant. Mais l'histoire est palpitante et se délecte de nous malmener, on n'en attendait pas moins non plus !

 au choix : Albin Michel, mai 2011 ♦ Pocket, mai 2013 ♦ Audiolib, décembre 2011 (texte lu par Xavier Béja) 

existe aussi en édition spéciale - les deux titres regroupés en un seul volume : Les Abysses du Temps (Pocket, novembre 2014) 

LES ABYSSES DU TEMPS

26 janvier 2015

Léviatemps, de Maxime Chattam

Leviatemps

Paris, 1900. L'écrivain Guy de Timée a fui son confort bourgeois pour vivre sous les combles d'une maison close où, pense-t-il, il pourra s'imprégner des souches du Mal pour les besoins de son nouveau roman. Lorsqu'on retrouve le corps martyrisé d'une fille de la maison, Guy frémit d'excitation à l'idée de se frotter pour de vrai aux rouages diaboliques d'un cerveau psychopathe. Car il ne fait aucun doute qu'un tueur en série sévit dans Paris, couvert par la police, pour ne pas nuire à l'Exposition Universelle qui bat son plein.

C'est assisté de la belle Faustine et d'un jeune policier, Martial Perotti, que Guy arpente les rues sordides, et même les égouts, dans sa traque insensée du monstre. Il s'emploie également à une technique innovante pour l'époque en s'improvisant spécialiste de criminologie et des aliénations mentales. Concrètement il réfléchit, dresse le portrait du désaxé, cerne ses motivations et établit les causes et manifestations. C'est tout aussi efficace qu'une course-poursuite infernale car on a le temps de s'imprégner de l'Horreur, souvent le cœur au bord des lèvres.

M. Chattam s'essaie au registre du polar historique : ambiance léchée d'un Paris qui s'ouvre au XXe siècle, quartiers populaires, salons guindés, séance de spiritisme, poules de luxe, étalage de sciences et du génie créatif... Et c'est une franche réussite ! Les clichés abondent, mais dans le souci de bien faire. On se sent transporté dans le temps, sensation audacieuse et grisante, d'où l'on retire autant de plaisir que de dépaysement. 

Par contre on n'échappe pas à l'obsession morbide de l'auteur, à son goût pour les descriptions toutes plus nauséabondes les unes que les autres. C'est du lourd, encore ! Sa marque de fabrique, aussi. Plus besoin de s'effaroucher. Toutefois, l'ensemble se marie bien et offre une lecture alerte et endiablée, qu'on a beaucoup de mal à reposer. L'histoire se poursuit avec Le Requiem des Abysses !

au choix : Albin Michel, octobre 2010 ♦ Pocket, mai 2012 ♦ Audiolib, décembre 2010 (texte lu par Vincent de Boüard)

24 janvier 2015

L'Appel de la Forêt, de Jack London

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édition comprenant : L'Appel de la forêt - Le Fils du loup - Croc Blanc

 

Je voulais une lecture courte, histoire de m'évader vers le Grand Nord et ses contrées sauvages... 


description

 

Et puis j'ai découvert l'Appel de la forêt.

description



Buck est un gros chien, robuste, qui mène une vie de patachon, chez un juge, lorsqu'il est brusquement tiré de cette existence heureuse pour intégrer sous la contrainte un équipage de prospecteurs, qui partent vers les terres du Nord. Buck devient chien de traîneau, avec pour lot quotidien la loi du dominant, le goût du fouet et du gourdin, les longs kilomètres sous les intempéries et le dépassement de soi.

À l'instar de ses compagnons d'infortune, Buck va connaître la faim, le froid, les luttes de pouvoir, les abandons successifs, la bêtise humaine et la cruauté d'une aventure qui ne laisse place à aucune illusion. C'est triste, impitoyable... et poignant. Plus que pour la beauté de l'aventure, on admire ces bêtes au dévouement exceptionnel, qui préfèrent mourir sur piste plutôt qu'abandonner dans le déshonneur.

Au hasard d'une rencontre, Buck nouera une relation privilégiée avec un homme sensible et attentif, avant de lâcher prise pour céder à ses instincts primaires et répondre à l'Appel de la forêt (un juste retour aux sources !). Cette lecture est certes terriblement émouvante mais transmet une formidable leçon de vie, pleine d'espoir et de force. 

Folio junior, octobre 2014 pour la présente édition ♦ traduit par Frédéric Klein ♦ Illustrations de Jame's Prunier ♦ couverture : Olivier Balez

disponible également en  CD mp3, collection Écoutez Lire, texte lu par Aurélien Recoing, de la Comédie-Française

Appel de la foret

23 janvier 2015

Automne, de Jan Henrik Nielsen

Automne

Nanna et Fride vivent seules avec leur père, sur une île isolée, dans le bunker installé sous leur maison de vacances. Une épidémie a frappé la faune, la flore et la population. Il n'y a plus âme qui vive aux alentours. Un spectacle de désolation s'offre aux deux sœurs lorsqu'elles parviennent à se faufiler, pour la première fois depuis cinq ans, hors de leur cachette.

Elles doivent également se rendre en ville pour soigner leur père, qui est tombé malade. À bout de force, l'homme les encourage dans cette aventure, malgré les risques et le danger en bout de course. Elles n'ont plus le choix, traversent le lac, les bois, les routes désertées, chipent un vélo dans un centre commercial, se sustentent de boîtes de conserve, dorment dans des maisons abandonnées...

Le roman réussit un formidable exploit, en parvenant à nous tenir en haleine, sur 300 pages, en se focalisant sur l'épopée des fillettes (12 et 5 ans), livrées à un environnement hostile et inconnu. On tremble tout du long pour elles, on attend, on guette le coin de page, on se méfie du chapitre suivant. Nanna et Fride ne nous déçoivent jamais, en faisant constamment preuve de courage et de perspicacité. 

Le récit est ainsi candide et poétique mais (hélas) sans réelle action. La tension est frelatée, sans tempo, sans mesure, le temps s'écoule sans heurt. Tout est dans la suggestion. J'ai été assez surprise par l'explication finale, rocambolesque à souhait. Et par cette sensation générale de flottement. On est dans la contemplation, l'apprentissage de la vie, la complicité entre sœurs... c'est lisse, charmant, gentillet, d'une écriture simpliste, mais l'histoire manque de rythme et est un peu lente.

On trouve du charme, oui, dans ce texte sans noirceur, porté par un joli duo d'héroïnes, qui découvrent le monde avec de grands yeux ébahis. Qu'on ne se trompe pas : il est 100% accessible aux plus jeunes lecteurs.

Albin Michel jeunesse, coll. Wiz, janvier 2014 ♦ traduit du norvégien par Aude Pasquier ♦ couverture : Stian Hole

22 janvier 2015

Astra et les gâteaux de l'espace, de Philip Reeve & Sarah McIntyre

Astra

Astra et sa famille s'envolent pour la planète Nova Mundi pour un voyage spatial qui durera 199 ans ! Les passagers sont bien entendu plongés dans un sommeil artificiel, au chaud, dans une bulle, avec tout le confort possible. La petite Astra est excitée comme une puce, veut parcourir le vaisseau de fond en comble et découvre ainsi une machine révolutionnaire, capable de synthétiser n'importe quel aliment. D'abord sceptique, Astra se prend vite au jeu et passe des commandes délirantes pour assouvir sa gourmandise... jusqu'à ce que retentisse la sonnerie de rappel.

Tout le monde au lit ! Synthétisor n'a pas fini d'accomplir ses merveilles, la fillette est bien embêtée mais retrouve ses parents et se niche dans sa cabine avec son doudou préféré. Peu de temps après, Astra ouvre de nouveau les yeux. C'est la fin du voyage ? sont-ils arrivés à bon port ? Hélas, non. L'enfant quitte sa couchette et part se gambader seule dans le couloirs du vaisseau. Elle croise son ami robot Pilbeam et ensemble ils se rendent dans la salle du Synthétisor où une catastrophe les attend !

Voilà une lecture enjouée et adorable, avec des illustrations pétillantes et débordantes d'énergie !
On sent que Philip Reeve et Sarah McIntyre prennent plaisir à concocter cette série de livres pour enfants, cf. Oliver et les îles vagabondesLe ton est facétieux, l'imagination galopante, l'aventure riche et originale. Les personnages sont aussi croqués avec délice. Ils sont attachants, font des bêtises, adorent les friandises. C'est une histoire amusante et pleine de fraîcheur, qu'on peut découvrir à tous les âges.

Seuil jeunesse, novembre 2014 ♦ traduit par Raphaële Eschenbrenner

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