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Chez Clarabel
11 mars 2013

Bientôt Pâques ! ... ♥

Devinez qui s'est invité à la maison ? ...

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Rita et Machin partent à la collecte des chocolats. Si au départ notre bon gros chien n'est pas motivé pour se lever aux aurores, il déploiera un véritable zèle pour ramasser les oeufs parsemés dans le jardin de Papy et Mamie.

Attention, ce sont des oeufs ... en chocolat, voyons Machin, quelle est cette basse-cour qui te pourchasse en poussant des cris de mécontentement ?

Humour, dérision, amitié et chocolat : demandez le programme ! Encore un album qui comble toutes nos attentes. Nous sommes définitivements des fans de Rita et Machin ! ♥

Joyeuses Pâques Rita et Machin, par Jean-Philippe Arrou-Vignod et Olivier Tallec (Gallimard jeunesse, 2013)

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11 mars 2013

"Maybe when I woke up, all of this would go away and I'd find it was all just a bad dream."

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"Je m'appelle Dana et j'ai seize ans, pourtant je suis adulte depuis très longtemps - aussi longtemps que ma mère est alcoolique. Son arrivée complètement saoule à mon récital de chant a mis le feu aux poudres : j'ai décidé d'aller retrouver mon père, un elfe très puissant (et peut-être dangereux, mais qu'importe) à Avalon. Je croyais alors que la vie que pourrait m'offrir l'Elfirie serait meilleure et plus normale que celle que je menais actuellement. Jamais de toute ma vie je ne m'étais autant fourvoyée..."

Encore un ouvrage qui n'a pas su trouver grâce à mes yeux ! Je traverse une mauvaise passe, ou je suis lasse d'avoir la sensation de toujours lire la même chose. Le souci, en ce qui concerne ce roman, c'est son identité trop adolescente. Et là, j'avoue, je sature des jeunes filles placides, un brin naïves, parfois malmenées par la vie (une maman alcoolique, un père absent), et qui se lancent dans une folle aventure, inconscientes du danger, mais qui bien entendu peuvent compter sur la rencontre de beaux garçons, oui ils sont toujours beaux, fringants et un poil sarcastiques. Ah non, ça ne le fait plus du tout... J'ai besoin de changer d'air !

L'histoire pouvait me plaire, l'univers de la Faerie est généralement un domaine qui me botte, et pourtant cette fois je n'ai pas accroché. En fait, j'ai trouvé l'ensemble simpliste. Ce n'est pas mauvais non plus, mais seulement j'en ai soupé de ces histoires qui se ressemblent toutes. Je suis donc renfrognée contre moi-même qui perd de plus en plus goût aux lectures mignonnes et charmantes en apparence, mais qui ne m'apportent rien de neuf non plus. Au suivant !

Fille d'Avalon : Derrière le voile, par Jenna Black
J'ai Lu, coll. Darklight, 2013 - traduit par Paola Appelius

11 mars 2013

"I want to live in a world where I know the rules, where people are just people."

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Syrli Ainsley n’a jamais vu le ciel. Son monde se termine au bord de la barrière en forme d’immense dôme d’énergie qui entoure tout ce qui reste de l’humanité. Pendant des siècles, la ville a nourri cette barrière en puisant l’énergie magique que ses enfants engendrent quand ils atteignent l’adolescence.

Lorsque c’est au tour de Syrli, elle apprend qu’elle est plus qu’une adolescente, qu’elle appartient à la légende elle-même. Contrainte de fuir pour éviter de devenir à vie une sorte de batterie humaine, Syrli doit se battre et quitter son monde. Elle est traquée. Mais elle sait que d’autres adolescents semblables à elle ont fui et se cachent dans le bois de Fer.

Quel univers étrange et confus ! Longtemps j'ai eu le sentiment de n'y rien comprendre, c'est triste à dire. L'intrigue est aussi longue à se mettre en place, ce qui n'aide pas à trouver ses repères. Sincèrement j'ai peiné pour m'accrocher à cette histoire. Et puis les personnages sont vagues, pas très attachants non plus. J'ai traîné, attendu, espéré la petite étincelle ... finalement j'ai refermé mon livre de dépit. Pas du tout convaincue, séduite ou embarquée par ce qu'on me proposait. Dommage !

Syrli, par Meagan Spooner
Milan, coll. Macadam, 2013 - traduit par Guillaume Fournier

9 mars 2013

Aucun retour n'est possible, lorsqu'on quitte l'univers du réel pour entrer dans celui où le mystique règne en maître.

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Nous retrouvons notre petit couple formé par Vincent et Kate avec une joie non feinte, c'est frais, mignon et attendrissant. Le roman s'ouvre sur une histoire qui étale leur bonheur comme des feux d'artifice dans le ciel. C'est enivrant si on s'attache à une manifestation romantique et idéalisée du premier grand amour. Et puis l'auteur nous vend du rêve parisien en long, en large et en travers. Paris, la ville des amoureux, revêt son costume de noblesse.

Donc, après le départ de Charlotte et Charles, ce sont Violette et Arthur qui se joignent à la bande des revenants dans leur lutte contre les numa. Ces derniers restent mystérieusement discrets, aussi la vigilance est de mise. Kate et Vincent ont scellé leur destin, mais la jeune fille craint toujours de le perdre. Aussi son beau prétendant a juré de trouver une solution pour leur permettre de vieillir ensemble. Il n'ose rien lui avouer, mais physiquement il affiche une mine fatiguée qui contrarie la demoiselle. Du coup, Kate prend l'initiative de faire ses propres recherches et investit un univers obscur bien trop dangereux.

Encore une fois, ce sont les derniers chapitres qui nous tiennent en haleine et nous font vivre des sensations fortes. L'intrigue n'est toutefois pas très surprenante, j'avais deviné un gros paquet des rebondissements, mais la lecture n'en est pas moins agréable. Il y a tous les ingrédients pour faire chavirer les petits cœurs sensibles : de l'action, du dévouement, de la trahison, du sacrifice, du combat et de l'amour aussi. C'est rondement bien mené, pas bouleversant non plus, c'est pour un public adolescent et c'est très, très bien comme ça. Le troisième tome, Qu'importe l'éternité, est déjà annoncé pour le mois de juin ! De quoi satisfaire notre curiosité.

Que la mort nous sépare, par Amy Plum
Milan, coll. Macadam, 2013 - traduit par Marie Cambolieu

8 mars 2013

Les Malheurs de Sophie ♪♫

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La célèbre Sophie de Réan nous revient dans un format grand album / bande dessinée, sous les traits enjoués de Mathieu Sapin, et sincèrement quel régal ! Ce sont 14 des plus célèbres facéties qu'on retrouve : les poissons rouges trucidés au couteau, le thé servi avec de la craie, de l'eau sale et quelques feuilles de trèfle, les sourcils coupés et les cheveux trempés pour être plus coquette, la poupée de cire qui fond sous les rayons du soleil, le bain de chaux qui brûle les souliers, la crème et le pain chaud, mais aussi les fruits confits, que Sophie ingurgite par gloutonnerie...

Sophie est une héroïne adorable, qui nous apparaît espiègle et contrite, car la bonne morale est très présente dans l'histoire. La maman de Sophie n'est pas une femme revêche, seulement elle tente d'inculquer à sa fille les principes élémentaires du bien et du mal. C'est particulièrement appuyé. D'ailleurs la lecture se termine sur le rêve de Sophie au cours duquel elle s'imagine tiraillée entre le jardin de l'enfer et du paradis.

Soulignons aussi la présence du cousin Paul, chamailleur, moqueur mais ami fidèle et soutien infaillible, il n'hésite pas à couvrir les bêtises de Sophie pour éviter qu'elle soit grondée. Par contre, je ne me souviens plus du tout de cet individu tout nu qu'elle croise dans le jardin, il se présente sous le nom de Buseau, la fillette va le cacher dans le clapier et lui apporter du pain, normalement destiné aux chevaux, sans rien dire à personne. Au moment où elle voudra le présenter à Paul, le type aura disparu. Mais qui est-ce donc ?!

Nous avons là une adaptation réussie d'un classique de la comtesse de Ségur (que les enfants lisent de moins en moins, tant le texte est démodé). Je pense que ce coup de fraîcheur pourra grandement les surprendre !

Les malheurs de Sophie (d'après l'œuvre de la comtesse de Ségur), par Mathieu Sapin
Gallimard, coll. Fétiche, 2013

-) forcément, toute mon enfance ! ...

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7 mars 2013

☼ Kino ☼

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Kino est un adorable petit dragon, impatient de savoir voler et cracher du feu. Mais son père calme ses ardeurs et lui demande de patienter encore un peu. Or, celui-ci tombe gravement malade et seule une plante rare, la fleur de Dragal, qu'on trouve uniquement dans les montagnes, pourrait le guérir. Alors le jeune Kino part à l'aventure, avec la peur au ventre mais l'envie de prouver sa valeur et d'aider son papa.

En chemin, il rencontre deux gros lapins bizarres, les démoniaques Pile et Face, qui le conduisent dans la grotte du très moche Sangliero. Kino est pris au piège, c'est alors que sur le coup de la colère et de l'émotion notre petit dragon va développer ses capacités et affronter ses ennemis à force de courage. Il rentrera au bercail en ayant appris à se débrouiller seul, son père sera fier de lui et tout finira bien !

Vraiment une chouette petite histoire, palpitante et endiablée, avec des illustrations aux faux airs de Claude Ponti. Par contre les couleurs sont assez sombres, à l'image de la couverture marronnasse, ce qui a priori ne m'avait pas particulièrement interpellée, mais quelle erreur, car l'album est vraiment une belle découverte !

Kino, par Alexandre Juza (Ecole des Loisirs, 2012)

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7 mars 2013

- Féroce ! Féroce ! Voici venir le féroce loup rouge !

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Quand Fenris naquit, il n'était, comme tous les louveteaux, qu'une petite boule de poils gluante, que sa mère lécha afin de la nettoyer. Mais dès qu'il écarquilla les yeux et ouvrit la bouche pour bâiller, il eut l'air tout à fait sanguinaire, épouvantable et cruel. C'était certes une qualité indéniable pour un loup, mais point trop n'en faut : ses frères eux-mêmes furent effrayés.

Chaque fois que le petit Fenris approchait sa gueule pour téter, sa mère ne pouvait s'empêcher de frissonner. Elle en avait eu, des petits, mais celui-ci avait l'air si... féroce. Les frères et soeurs de Fenris avaient également peur de lui. Il ne faisait rien de spécialement affreux, il n'était pas plus méchant que les autres, mais rien qu'à le regarder, on se surprenait à claquer des dents.

Fenris grandit. Il devint un loup immense, et son allure avait de quoi épouvanter les plus téméraires. Son pelage était rougeâtre, son torse puissant pointait sous sa gueule encombrée d'énormes crocs. Sur son dos poussaient des sortes de soies rêches qui lui dessinaient une espèce de crinière. Mais ses yeux étaient bien le plus glaçant du tableau : il avait un regard effroyable, que personne ne pouvait soutenir. Une lueur écarlate habitait ses prunelles.

Les loups, comme chacun sait, vivent en meute. Mais la compagnie de Fenris mettait les nerfs de tous à rude épreuve. On se retournait, ayant entendu un bruit, et on poussait un glapissement d'horreur lorsqu'on se retrouvait face aux yeux luisants du grand loup rouge. Et il se produisit une chose commune, qui fut que Fenris, à force d'avoir malgré lui l'air méchant et de terroriser chacun par sa seule apparence, finit par devenir vraiment cruel.

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Cet album doit son succès pour ses magnifiques illustrations et ses couleurs, mais aussi pour ses pages qui se plient et s'ouvrent sur un plus grand format pour apporter encore plus d'impact au pouvoir des mots. L'histoire raconte comment un loup d'apparence féroce est réellement devenu féroce pour satisfaire les préjugés, or ce loup - appelé Fenris - va croiser le chemin d'une petite fille qui n'aura pas peur de lui. Toutes ses certitudes vont s'écrouler, mais le loup a-t-il encore un soupçon de tendresse au fond de lui pour accorder autant d'importance à cet enfant ? Ce conte aux accents fantastiques donne des frissons et pourra impressionner les jeunes lecteurs. Toutefois, quelle fabuleuse rencontre ! quelle lecture admirable et enchanteresse !

Féroce, par Jean-François Chabas et David Sala (Casterman, 2012)

6 mars 2013

“Kiss me in a way I'll never forget. Kiss me in a way that will stay with me until I see you again❤”

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Comme un grand nombre de lecteurs, amateurs de la série Hush, Hush depuis la première heure, j'ai tenu à lire cet épisode ultime en sachant que je n'y attacherai aucune réelle importance. C'était comme si l'auteur avait tiré sur la corde pour remplir un livre supplémentaire, alors que tout avait été partiellement résolu auparavant. Donc, pour moi ce tome avait un goût de trop mais je n'allais pas lui en tenir rigueur non plus. C'est aussi une question de principe, on aime, on suit, on lit et on soupire.

Bon, aussi plaisante soit-elle, l'histoire n'est pas hyper excitante. Les personnages sont en place, les rôles ont été redistribués, Nora a beaucoup évolué tandis que Patch est tristement absent, mis au second plan. Désormais à la tête de l'armée des Néphilim, en digne héritière de la Main Noire, Nora doit faire ses preuves et sacrifier son amour pour Patch. Elle suit un entraînement de choc avec Dante, l'ancien bras droit de Hank Millar, et devient accro à une drogue puissante, capable de décupler ses capacités physiques et sensorielles.

La bataille s'annonce rude contre les déchus, d'autant que Nora entrevoit la possibilité de trahisons et autres complots. A elle de déjouer les coups du sort, mais on n'oublie pas que la demoiselle manque cruellement de jugeote et de discernement dès lors qu'elle est accablée par le doute et la jalousie. D'ailleurs, à ce stade, était-il utile de ressortir du placard cette chère Dabria ? Non mais, franchement...

C'est un peu le travers de ce dernier épisode, qui inspire un sentiment de déjà-vu : situations répétées, imbroglios sentimentaux à la mords-moi-le-nœud, confiance en péril, et toujours cet acharnement contre notre couple vedette qui ne peut vivre son amour sereinement. Sobrement, sans esbroufe, cette série se termine donc. Le roman aura certes manqué de brio et souffert d'un rythme inégal, mais c'est tout de même le dernier échelon d'une palpitante saga, qui doit amplement son succès à son personnage phare - j'ai nommé Patch, "trop hard-core pour être humain" comme dirait Vee.

Finale (Hush, Hush #4) ~ Becca Fitzpatrick
Le Masque, coll. MsK (2012) - traduit de l'anglais par Marie Cambolieu

5 mars 2013

“The most beautiful thing we can experience is the mysterious.”

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Je n'étais pas pressée de lire ce deuxième volume des aventures de Jessica Parkwood et de Lucius Vladescu, vu que Comment se débarrasser d'un vampire amoureux avait su pleinement me satisfaire, avec une issue parfaite et ne nécessitant pas la peine de prolonger le plaisir. J'appréhendais d'être déçue, mais j'ai voulu tenter le coup, hélas j'ai vite déchanté ! J'avais l'intime conviction que cette suite serait inutile, j'avais raison. Je craignais que la romance manquerait de saveur, là aussi j'avais vu juste.

Le couple est pourtant heureux (et marié !). Pour connaître les détails de la cérémonie, on peut lire la nouvelle sur le site de l'auteur. Personnellement je n'en ai pas éprouvé l'envie et n'ai pas ressenti de frustration non plus. En revanche, ce qui m'a cruellement manqué dans cette suite, c'est le grain de folie qui avait été le point fort du premier tome. J'avais adoré son humour, les sarcasmes des personnages, leur panache aussi, l'histoire n'était pas spécialement aventureuse mais n'en demeurait pas moins divertissante.

Mais tout ça ne figure plus au programme. En gros, il se passe que Jessica manque de confiance en elle, qu'elle se sent paumée dans son château glacial au fin fond de la Roumanie, que Lucius est accusé d'un crime et doit croupir en prison, privé de sang, ce qui finit par le rendre à moitié fou, du coup Jess doit assumer seule ses nouvelles responsabilités de future monarque, sauver son chéri et démasquer les complots. Heureusement sa meilleure amie Mindy et le cousin italien, Raniero, grand amateur de plages et de surf, vont s'inviter à la fête, ce qui permettra d'apporter un peu de fraîcheur à cette intrigue décidément peu folichonne et trop prévisible.  :(

Comment sauver un vampire amoureux, par Beth Fantaskey
Msk, 2011 - traduit par Marie Cambolieu

4 mars 2013

"I met a girl in the rain, who had lost her mother's earrings. And I killed her."

Enfin, la suite d'Humaine :

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L'histoire reprend exactement là où elle se terminait dans le tome 1, et sincèrement ce n'est pas difficile de se familiariser à nouveau avec ce qu'il se passe, car les évènements ont pris une telle tournure qu'on ne peut que suivre le rythme imposé. Le temps de la contemplation, des envolées lyriques et des descriptions émerveillées sur le plaisir de reprendre goût à la vie est bel et bien révolu. Désormais Lenah doit rendre des comptes et, même si elle tente de s'accrocher à son petit univers, ses erreurs du passé ne cessent de la rattraper.

Vicken a donc été sauvé par Lenah au terme d'un nouveau rituel. Rhode également est de retour et Justin, comprenant qu'il est de trop, prend ses distances avec une certaine amertume. Il est bon de souligner que les sentiments de Lenah sont encore très forts pour tous ses prétendants, et chacun remplira un rôle bien défini au cours de l'histoire. Attendez-vous à des cœurs qui s'emballent, des ventres noués et des sourcils qui se haussent de surprise, car l'aventure promet monts et merveilles.

Lenah doit donc affronter la présence d'un vampire sur le campus de Wickham, un vampire redoutable et sanguinaire, qui n'hésitera pas à tuer tous les proches de la jeune fille jusqu'à ce que celle-ci accepte de lui céder les secrets du rituel. Mais Lenah est sous le coup d'un blâme des Aeris, les vamps qui dictent les règles. Ils sont fâchés après elle pour avoir pratiqué la magie et lui imposent de choisir entre retourner dans le passé et sauver toutes les âmes qu'elle a volées, ou demeurer dans le présent, mais avec l'interdiction d'aimer librement Rhode.

L'ambiance dans cette suite est donc totalement opposée à ce que la série avait suggérée en premier lieu, et franchement j'ai beaucoup aimé cette nouvelle orientation. Reste du premier tome une sensation de charme éthéré, mais l'histoire a clairement évolué. Les personnages seraient ridicules de se comporter comme des adolescents lambda, aussi l'auteur n'a pas hésité à les brusquer, en multipliant les pertes et les victimes, en les mettant face à des choix douloureux ou au cœur de situations inextricables, et en proposant des solutions hasardeuses. J'espère que l'attente pour la suite ne sera pas trop longue, aucune date n'a été annoncée à ce jour.

Âmes soeurs (Humaine #2), par Rebecca Maizel
Albin Michel jeunesse, coll. Wiz, 2012 - traduit par Rebecca de Hassard

 A écouter : le nouveau single de Vanessa Paradis (en attendant l'album le 13 mai) ♥

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