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Fin mars. Début avril. Transition particulière. Émotions bourdonnantes. Léger flottement.
Et toujours quelques lectures qui sèment leurs mots et emportent mes nuits blanches vers d'autres horizons...

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🌸Trilogie The Curse, de Marie Rutkoski

🌷Le Royaume des damnés, de Kerri Maniscalco

🌸Le Pont des Tempêtes, de Danielle L. Jensen

🌷Rendez-vous avec le danger, de Julia Chapman

🌸Quand tu écouteras cette chanson, de Lola Lafon

🌷Une saison au bord de l'eau, de Jenny Colgan

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C'est le premier roman de Nicolas Lebel que je lisais et ce ne sera pas le dernier !

L'auteur nous embarque sur une île bretonne pour assister à des funérailles. Le disparu était un homme solitaire, qui vivait chichement. Seule sa nièce a fait le déplacement et s'en remet au prêtre du coin pour régler ses affaires.

Mais sous ses apparences amorphes, la vie à Morguélen réserve son lot de surprises en abritant, entre autres, un criminel de guerre, des agents infiltrés et des tueurs à gages. Débarque aussi un lieutenant de police avide de vengeance (personnage présenté dans Le Gibier).

Et vous obtenez une lecture au rythme effréné, avec ses pièges et ses rebondissements inattendus, son ton mordant, son humour décapant et son cadre insulaire qui rend la sensation d'urgence encore plus palpable.

Vrai de vrai, ce roman est palpitant ! L'intrigue est ingénieuse. Habile et rusée. Je m'attendais peut-être à un final sanglant, au lieu de quoi j'ai été prise de court mais pas déçue par cette porte de sortie.

Très belle voix du comédien Michelangelo Marchese pour nous plonger dans cette ambiance. Le roman est court donc l'écoute est rapide. C'est sans fausse note. Et puis j'aime quand l'histoire joue des tours de passe-passe et nous tient sans cesse en haleine.

©2022 éditions du Masque, un département des éditions Jean-Claude Lattes (P)2023 Audiolib

• Lu par : Michelangelo Marchese
• Durée : 8 h 26
• Jeu de miroirs à huis clos, le nouveau roman de Nicolas Lebel entraîne le lecteur dans une course échevelée où tout n’est qu’ombres et reflets.
• Porté par l’humour et l’ingéniosité inégalables du lauréat du Prix des lecteurs du Livre de Poche, La Capture impose Nicolas Lebel comme l’une des voix les plus brillantes du thriller français.

⭐⭐⭐⭐

Pour en finir avec Mister Big ! Ou comment incarner la relation toxique par excellence...

En lisant la présentation de l'ouvrage, je me suis aussitôt sentie en communion. Moi aussi j'ai adoré la série Sex & the City tout en maudissant les choix de Carrie. Dès lors, il me fallait découvrir ce qu'en pensait India Desjardins, à travers cette réflexion passionnante.

Certes, elle avance à pas prudents car ses copines lui ont demandé de ne pas tout désacraliser non plus. Pitié pour nos souvenirs ! Et ainsi de déployer une lente, minutieuse et pertinente démonstration de comment la série a pu vieillir.

Si je ne valide pas tout à 100%, je ressors globalement convaincue de ses observations sur l'impact involontaire des comédies romantiques sur nos vies ! Elle livre aussi une photographie de l'époque, sur l'écriture des séries tv notamment.

Et de fil en aiguille, je hoche la tête dans mon coin. Il y a tant de bonnes surprises. J'étais notamment ravie qu'elle ressorte le spectre d'Emilie Bordeleau (Les filles de Caleb, par Arlette Couture) des traumatismes enfouis. Merci, merci, merci. Comme de dénoncer les messages odieux du clip What goes around... comes around de Justin Timberlake.

Au bout de cet essai, le regard sur Sex and the City a sans doute évolué mais ne renie rien non plus du plaisir coupable d'aimer cette série et de la revoir sans honte. Ceci dit, je suis curieuse de connaître son avis sur le pitoyable reboot des années 2020 (And just like that). Inutile de préciser qu'elle a incendié les films - Big se montrant encore à la hauteur de sa sinistre réputation. Erk.

©2021 Studio Bulldog (P)2021 Vues et Voix

• Lu par : Marie-Claude Guérin
• Durée : 3 h 21
• La fiction pourrait-elle influencer notre perspective du monde, et plus particulièrement nos relations amoureuses ?
• En décortiquant la relation entre Mister Big et Carrie, deux personnages centraux de la série Sex and the City, India Desjardins tente de démontrer, avec un regard bienveillant, que cette relation présentait tous les traits de la violence psychologique.
• Et que la finale, qui trouve encore un écho aujourd’hui dans la culture, n’était peut-être pas aussi heureuse qu’on pourrait le croire.

⭐⭐⭐⭐

La première partie est un festival de situations cocasses et de joutes verbales désopilantes !

Entre Jessica et Dain, la tension est ardente. Palpable. Brûlante. Lui se gausse d'être une figure détestable et elle prétend ne pas être impressionnée par sa posture. Bizarrement il va être attiré par ce petit bout de femme mais s'impose la prudence car il est convaincu que toutes les femmes cherchent à le manipuler.

Il faut alors se pencher sur son enfance et ses traumatismes. Ooh la la docteur Freud, y'a du boulot. Cette paranoïa deviendra d'ailleurs pénible dans la deuxième partie de l'histoire. Dain et Jessica vont rentrer en Angleterre (leur rencontre a eu lieu à Paris) mais leur dynamique est rompue.

Cela me frustre, tellement j'ai adoré les débuts de leur relation, elle si volcanique face à un être qui se déteste et offre au monde ce qu'on attend de lui - un débauché, “un porc vulgaire et écœurant”. Mais ses gestes sont aussi profondément romantiques. Et c'est ce contraste qui le rend si touchant ! Ça et ses déclarations en italien. Oh my goodness. Enfin moi, je fonds.

Le romantisme n'est pas fait de sentiments larmoyants et sirupeux, vous savez. C'est un mélange épicé de passion et d'humour relevé d'une pointe de cynisme rafraîchissante.

La fin aussi est négligée. Trop de solutions faciles. Trop de soucis évaporés. Mouaip. Je veux bien des Aventures et des Passions mais il ne faut pas me prendre pour une truffe non plus.

Vous remerciant par avance de votre considération.

Your romantic effusions leave me breathless. 😊😁

J'ai lu pour elle, Aventures et Passions, 2021 pour la présente édition - Traduction : Patricia Lavigne

⭐⭐⭐⭐

Quel plaisir de déguster une romance historique aussi fraîche et fringante ! merci @zaza.bdp pour cette découverte ♥

Qu'est-ce qui pousse Céleste et Kieran à conclure un pacte loin des oreilles indiscrètes si ce n'est pour soutenir leur cause perdue ? De son côté, Miss Kilburn porte la lourde responsabilité d'ennoblir la réputation de sa famille et se laisse courtisée par un (futur) marquis, tandis que Ransome doit trouver une épouse respectable pour ne pas perdre son héritage. Céleste va donc l'introduire dans la bonne société et gagner les faveurs des rombières. En échange de quoi, Kieran lui fera connaître les nuits bohèmes et coquines de Londres. Seule mise en garde : ne pas mettre leur cœur en péril.

Le monde a déjà défini nos rôles, et tous sont des prisons. Nous devons saisir toutes les occasions de faire quelque chose pour nous-mêmes. Nous le méritons amplement.

Le couple va ainsi vivre une parenthèse enchantée en alternant convenances et transgression au gré de leurs rendez-vous. Un vrai tourbillon des sens et des émotions. De plus, l'entente entre eux est formidable ! Céleste et Kieran se découvrent, s'apprécient, s'émoustillent et luttent contre ça. Tout de même. Mais ils sont à l'écoute l'un de l'autre, ils se confient et se comprennent. Ils ne sont en effet pas totalement libres de leurs actes qui peuvent impacter leurs proches, d'où leur retenue à ne pas succomber à l'attirance entre eux.

L'évolution de leur relation est très, très belle. Fougueuse et étonnante, aussi. J'ai beaucoup aimé ce jeu du chat et de la souris, outre le charme, l'humour et la sensualité dans leur couple. C'est vrai que je craque facilement pour les débauchés repentis, mais Kieran est surprenant dans son rôle d'homme sensible et attentionné. Il aime la poésie, verse sa larme en écoutant du Beethoven et conte fleurette dans les loges de théâtre. Face à lui, Céleste aussi est étourdissante !

Une femme de chair et d'os plutôt qu'un idéal éthéré.

Partager à ses côtés son expédition au cours de soirées grivoises est un ravissement de chaque instant. Une aventure complètement folle mais divine. Je suis heureuse d'être tombée sur ce titre alors que je lisais moins de RH dernièrement (manque de temps et non d'envie). Cela me pousse à continuer, maintenant.

En plus de ça, je me lance enfin dans la série des Bridgerton sur netflix !🍕🍿🍷😄▶️

J'ai lu pour elle, Aventures et Passions, 2023 - Traduction : Astrid Mougins 

⭐⭐⭐⭐

Le titre venant de paraître en audio, j'ai soudain eu envie d'y replonger et je n'ai pas été déçue. J'ai aimé l'intensité des échanges, le ton léger et sensuel. On se prend vite au jeu.

Je préviens, cependant, que certains détails gênants peuvent exaspérer🙄 cf. le contrat et le mariage arrangé. De même, si j'ai apprécié cette lecture, cela ne signifie pas non plus que je cautionne ce que les personnages font, disent ou pensent. 🙄🙄🙄

Barbie & Geoffrey ne forment donc pas un couple lambda. Si l'humour et la passion pimentent leur relation, ce n'est hélas pas l'amour qui les réunit. Plutôt des dettes à éponger. Et comme la jeune femme a honte de se vendre à un inconnu, elle se défoule sur lui en cherchant la petite bête.

Geoffrey est d'ailleurs une cible facile. C'est le Mâle Alpha dans toute sa splendeur. Colérique, autoritaire et chaud bouillant. Il rend coup pour coup et détourne habilement les clauses du contrat (consommation proscrite avant le jour J) afin de titiller lui aussi sa fiancée.

Relation chaotique. Couple en manque de confiance. Dialogues qui fusent comme des balles de ping-pong. Oui, c'est excessif. Trop cliché. Mais c'est percutant, distrayant et drôle. Un petit plaisir coupable. Et j'aime ce clin d'œil assumé au Comte de Peyrac ♥ même si j'aurais apprécié qu'on creuse davantage la réf.

Vivement la suite, après le coup du panda ! 💖😘🐼

©2016 Hugo et Compagnie (P)2023 W. F. Howes Ltd éditions Thélème

• Lu par : Fanny Gatibelza, Olivier Valiente
• Durée : 5 h 38
• Optez pour une vitesse accélérée car l'extrait laisse entendre un ton indolent, qui ne correspond pas du tout au tempérament du couple ! 
• Par ailleurs, très belles voix des comédiens.

⭐⭐⭐⭐

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J'ai pris mon temps pour apprécier cette lecture. Non pas que l'histoire manque d'intérêt, elle est au contraire très bonne. Avec son rythme chaloupé, presque dansant. Son univers, riche et fascinant. Ses intrigues, politiques et amoureuses, ses conflits de famille, ses secrets, ses sacrifices et ses liens indéfectibles.

De plus, ce sont deux sœurs qui tiennent le haut de l'affiche. Zadie et Nor sont également jumelles. Leur mère les a élevées en entretenant le culte de l'apparence, leur beauté étant leur trésor, leur porte de sortie pour échapper à la pauvreté.
Elles vivent dans un village de pêcheurs dans des petites cabanes sur pilotis et se gavent de soleil, d'eau et de chaleur. Elles plongent chaque jour en quête de perles qu'elles peuvent revendre au marché. Toutefois, elles n'ignorent pas que leur destinée va être chamboulée par la décision des Anciens.
L'une d'elles doit partir et devenir la fiancée du prince héritier du royaume qui les oppresse, l'autre devra rester pour épouser un garçon qu'elle n'apprécie pas. Pour la première fois, leur complicité est en péril car les sœurs, au bord du désespoir, commencent à prendre des décisions irréfléchies.

Mais on ne va pas en rester là car on va explorer encore d'autres horizons, des univers moins chatoyants et pleins de surprises. Mystères, danger et révélations. Entrent aussi dans la ronde des personnages plus torturés, plus cruels. Et le site de la Montagne va surgir de façon impressionnante (en donnant des frissons). L'exotisme de Varenia nous paraîtra si loin.
Pourtant, le charme est présent. L'attirance de l'interdit, aussi. On a envie de pousser plus loin la porte, de comprendre les décisions et les légendes qui dictent ces peuples qui se font la guerre. Par contre, c'est étrange combien j'ai aimé l'histoire, son potentiel et son évolution, tout en ressentant une pointe de frustration.
Sans doute en raison de la romance trop naïve, des gentils trop parfaits, des méchants presque plus avenants. Oui, c'est perturbant. Céren n'a franchement rien pour lui et pourtant il réussit à nous mettre la tête à l'envers. Talin, si prometteur, finit par s'effacer dans le décor. J'étais dépitée.

C'est sans doute un détail pour vous -🎶🤟mais pour moi ça veut dire beaucoup 🎶🤟- j'ai besoin d'être obsédée par les personnages pour m'embarquer à fond dans une saga ! Et pour le coup, en comparaison de récentes expériences, celle-ci manque de magnétisme. C'est un début prometteur, ce n'est pas un coup de cœur. Toutefois, je lirai la suite avec grand plaisir !

La Martinière J. - 2022, pour la traduction - Par Céline Morzelle

⭐⭐⭐⭐

Attention, ce titre n'est ni de la chick lit ni de la romance ! Contrairement à ce que j'avais imaginé. 😂

Sarah est une célibataire de trente-huit ans qui livre une analyse très lucide sur sa vie, l'amour, le couple, les comédies romantiques et les hommes qui n'aiment pas les haricots rouges. (*¯︶¯*)

Il y a donc de bonnes pointes d'humour, quelques grincements de dents et beaucoup de sarcasmes au cours de cette lecture, ce qui rend la découverte déroutante. Mais je recommande surtout le livre audio pour la comédienne canadienne (Émilie Bibeau) dont le charmant accent donne le sourire jusqu'aux oreilles.

J'ai franchement savouré les expressions typiques et la narration authentique. Cela peut parfois donner des séquences cocasses, comme lorsque l'héroïne explique comment prononcer son prénom Sarah en insistant sur le deuxième [a]. Quand on est une fille du nord, j'avoue, ça évoque également des souvenirs ! (´ ∀ ` *)

L'histoire est plutôt banale et néanmoins sympathique - même si l'héroïne ne l'est pas toujours, elle n'est clairement plus naïve, elle est juste volontaire et exigeante dans sa quête du bien-être qui ne passe pas forcément par la case mariage.

Bref. C'est drôle, un peu bizarre, cocasse, pertinent et parfois attendrissant. Et puis surtout, c'est rafraichissant dans le paysage actuel !

©2017 Éditions de l'Homme (P)2020 Vues et Voix

• Lu par : Émilie Bibeau
• Durée : 7 h 50

⭐⭐⭐⭐

Pour l'ambiance, les décors, le cadre et les bonnes ondes positives, je dis OUI à ce roman de Jenny Colgan ! Un roman délicatement sirupeux mais assurément bienfaisant.

Au départ, cependant, ce n'était pas acquis. Comme l'héroïne qui traîne les pieds au moment de retourner sur ses terres natales (l'île de Mure, au nord de l'Écosse). Mais la jeune femme doit s'y rendre pour le boulot.

Flora est assistante juridique pour un cabinet d'avocats à Londres. Leur client, un riche propriétaire excentrique, a besoin de s'assurer le soutien de la population locale pour ses projets. L'équipe mise donc sur notre autochtone pour dresser le tapis rouge.

Or, Flora n'a pas que des bons souvenirs sur cette île et subit cette mission en serrant les dents. Ses retrouvailles avec ses proches ont un goût amer. Toute la communauté pense qu'elle a bafoué le souvenir de sa mère défunte. Bref. La jeune femme doit trimer pour effacer les erreurs du passé.

On assiste donc à ce pèlerinage en toute quiétude : la vie à la ferme, les frangins turbulents, le père taiseux, le deuil encore douloureux. Flora débarque en plein psychodrame familial et doit imposer son bon droit, sans bousculer leurs habitudes. C'est donc un peu houleux mais non dénué de tendresse. Dans le fond, quand on gratte bien le vernis, se cache une vraie cohésion de groupe. C'est un chouette portrait de famille dysfonctionnelle et néanmoins aimante. Cœur sur vous, les MacKenzie.

Comme à chaque fois, je tire la même conclusion. Les romans de Jenny Colgan ne laissent peut-être pas une empreinte significative mais ont le chic de procurer du plaisir et d'instiller une sensation de bonheur ou de créer une atmosphère chaleureuse.

Au cours des premiers chapitres, je me dis toujours : mouiii pourquoi pas, et tout d'un coup je succombe à la petite musique de fond, la bande sonore qu'on entend subrepticement. Bim-bam-boum. Une opération séduction subtile et habile. Rendez-vous est pris pour Une rencontre au bord de l'eau maintenant. ♥

©2019 Kim Bennour (P)2023 Audible Studios

• Lu par : Maud Rudigoz
• Durée : 10 h 54

⭐⭐⭐⭐

Ce cinquième tome se penche de nouveau sur une enquête, les personnages sont moins dans la tourmente et ont réglé certains soucis personnels (même si la suspension de Samson reste une épine dans le pied).

Disons que l'homme traîne moins de casseroles et s'est ouvert auprès de son amie Delilah en lui confiant ses déboires. L'entente entre les détectives est donc au beau fixe ! Et c'est très bien ainsi. Leur complicité fait plaisir à voir et je maintiens qu'il serait dommage d'envisager une idylle entre eux. Simple avis personnel.

Ils forment également une équipe de choc pour résoudre leurs enquêtes. Dernièrement, la mort accidentelle d'une vieille connaissance au cours de la foire aux bestiaux va les mener à fouiller ci et là en toute discrétion.

Outre la pêche aux indices et les spéculations allant bon train, c'est l'occasion de montrer la difficulté du marché et du métier. Des vols de moutons mettent en péril des éleveurs et leurs fermes. Pas loin de ça, Rick Procter sévit toujours sournoisement. Lui aussi constitue un fil rouge dans cette série. Et évidemment, j'ai un petit pincement au cœur en pensant à Nathan Metcalfe et Pete Ferris (le braconnier).

De nouvelles découvertes s'ajoutent au terme de la lecture. Samson et Delilah ont encore du pain sur la planche ! J'ai particulièrement apprécié ce tome, très rythmé, moins brouillon, peu de non-dits, du suspense comme il faut, des tragédies et des rendez-vous manqués. En format audio, c'est tout aussi délectable (je recommande) ♥

Et la fièvre amoureuse de Clive Knowles pour sa fée du logis apporte un souffle de fraîcheur dans cette intrigue aux accents dramatiques. J'ai déjà mis une option pour retourner à Bruncliff dès que possible.

©2019 Traduction française pour les éditions Robert Laffont. Par Dominique Hass & Stéphanie Liegniel (P)2023 Lizzie, un département d’Univers Poche

• Lu par : Odile Cohen
• Série : Les détectives du Yorkshire, Volume 5
• Durée : 13 h 57

⭐⭐⭐⭐⭐