The Block (The loop #2), de Ben Oliver
Dans cette suite de The Loop, nous retrouvons Luka toujours en mauvaise posture.
Sa tentative d'évasion a tourné court. Le garçon est de retour en cellule, sous le contrôle d'une intelligence artificielle (Happy) qui se montre redoutable. Désormais, Luka subit torture sur torture pour qu'il avoue où se cachent ses amis résistants.
Son cerveau est donc noyé sous un flot d'images improbables qui brouillent tous ses repères. Le garçon ne sait plus reconnaître la réalité de la fiction. Mais il refuse de lâcher prise et s'enferme dans un processus éreintant en laissant son esprit divaguer.
Ce nouveau scénario est encore plus retors et arbitraire. Certes, on plonge au cœur de l'action mais il faut s'accrocher car les tours de passe-passe se multiplient. Non seulement il fallait se farcir un flot de technologies à se coller un mal de tête ; on a maintenant une avalanche de faux-semblants à décrypter.
Cette lecture est franchement dingue. Si vous aimez l'univers sombre et angoissant des centres pénitentiaires, les intelligences artificielles qui partent en roue libre, les personnages qui cherchent un peu de salut dans la dérision, la folie, les drames et la sensation d'urgence qui collent à la peau, eh bien installez-vous.
Et méditez l'extrait suivant : « Voir l'humanité comme un virus informatique, c'est estimer qu'on peut la reprogrammer. » Rien que ça. Hmm.
Dans l'attente du troisième tome... bonne lecture !
La Martinière J. (2021) - Traduit par Christophe Rosson
⭐⭐⭐
Tu me dois un meurtre, par Eileen Cook
Ça commence comme un film de Hitchcock : deux inconnues se rencontrent dans un avion et échangent quelques verres en imaginant le crime parfait. Pour y réussir, elles devraient échanger leurs victimes. L'une éliminerait son ex, l'autre sa mère.
Elles pactisent en gloussant. Après quoi, enivrée par l'alcool, Kim s'effondre dans son fauteuil sans trop y réfléchir.
Ce n'était qu'un délire conçu pour chasser de longues heures d'attente dans une aéroport et la frustration énorme d'avoir à supporter son bourreau des cœurs et sa nouvelle conquête. Ni plus ni moins.
Malheureusement ce voyage à Londres va virer au cauchemar. La mort de Connor va en effet précipiter l'héroïne dans l'horreur. Kim comprend rapidement qu'elle est désormais associée à un crime et qu'elle a perdu le contrôle de la situation.
Car Nicki va se rappeler à elle. Exiger sa part du contrat. Elle va s'y employer sournoisement. La harceler et la menacer.
Pour Kim, l'étau se resserre. Spirale infernale. Doutes. Tension implacable. Et j'en passe.
On tourne les pages du roman en soutenant le rythme. Mais on s'interroge aussi face à l'attitude déconcertante de l'héroïne. Cela ressemble fort à de l'hystérie paranoïaque. Qui sait ? Kim a pas mal de secrets sous le coude, après tout.
Enfin bref. Ce roman YA se lit d'une traite et joue adroitement avec les codes du suspense. Le spectre hitchcockien et le cadre londonien lui confèrent également beaucoup d'attrait. Seule la fin vient froisser mes exigences en matière de dénouement impitoyable. J'attendais plus de clash.
Cela reste toutefois une bonne découverte en matière de thriller pour jeunes adultes.
Casterman, 2021 - Traduit par Samuel Sfez
⭐⭐⭐
Catcheur d'amour, de Gala Vanson
Je n'ai pas résisté à l'appel de cet album : mystérieux, drôle et inattendu.
Nous suivons en direct le combat entre Catcheur d'Amour et Brique de Pierre. Deux légendes qui vont briller sur le ring.
Attention, tous les coups sont permis.
De page en page, les adversaires vont donc se contourner, s'attaquer, se livrer une danse ensorcelante qui réduit le public au silence. La chorégraphie est soignée en une succession de pas et d'acrobaties étourdissantes. La foule est ainsi suspendue à leurs gestes. Le souffle coupé. Tous s'interrogent sur le potentiel gagnant d'un tel défi. Suspense, suspense.
Le dénouement de l'histoire est plutôt cocasse et achève une lecture qui n'a pas cessé de jouer sur la mise en scène, la dramaturgie, le sens du détail, l'attente et la surprise. C'est vraiment grandiose.
Les illustrations sont remarquables. Elles apportent une touche de poésie et d'élégance à un ensemble qui aurait pu emprunter un chemin trop abrupt (après tout, c'est une histoire de catch). Et puis, pas du tout. C'est drôle, tendre et renversant.
D'où ce sentiment d'avoir assisté à numéro d'équilibristes parfaitement exécuté, avec de jolies pirouettes et des artistes au sommet. Bravo.
Seuil Jeunesse, 2021
Wolf Girl, tome 1 : La vie sauvage, par Anh Do
Ce petit roman est étonnant. Action. Émotion. Aventure. Je n'avais rien soupçonné au moment de l'ouvrir, d'où la surprise quand j'ai réalisé son potentiel dramatique et son rythme entraînant.
Gwen et sa famille doivent quitter leur maison en catastrophe. Ils ont à peine le temps de charger la voiture puis de prendre la route pour suivre une longue file d'automobilistes déjà en fuite.
Le danger n'est pas loin. Des avions sillonnent le ciel et bombardent à tout-va. Sur ordre de sa mère, Gwen part en courant se réfugier dans la forêt. Mais elle chute et perd connaissance.
À son réveil, elle se retrouve seule au monde. Complètement paumée et effrayée. C'est alors qu'une drôle de petite chienne se pointe devant elle et lui apporte un peu de réconfort.
Ce roman va ainsi nous raconter les doutes et les angoisses d'une jeune fille livrée à elle-même. Qui dit survie, dit courage et débrouillardise, angoisse et lassitude.
Mais l'histoire montre surtout les liens solides entre Gwen et la petite chienne (qui va devenir une louve). D'autres animaux vont rejoindre leur cercle. De nouvelles amitiés vont se tisser. Les échanges vont se réinventer. Et c'est juste incroyable !
C'est aussi un beau message de résilience qui nous parle. Le format du roman est d'ailleurs très sympa, car de nombreuses illustrations ponctuent l'histoire et rendent la lecture plus vivante. J'ai été agréablement séduite. C'est plein de tendresse et riche en rebondissements. Très mignon !
Le deuxième tome doit paraître au cours du mois de mai 2021.
La Martinière J., 2021 pour la traduction - traduit par Christophe Rosson & illustré par Jeremy Ley
⭐⭐⭐
The chase (Briar Université #1), par Elle Kennedy
En découvrant que le spin-off de la série Off-Campus était désormais disponible en format audio, j'ai immédiatement tenté le coup !
Mais j'ai été un petit peu déçue. J'avais tellement d'attentes aussi. Les personnages s'annonçaient fort sympathiques (en partie). D'où la grosse désillusion.
Summer est la petite sœur de Dean dans The Score. Elle avait fait un passage éclair et croisé les joueurs en flashant direct sur Colin Fitzgerald. Depuis, la belle a intégré l'université et connu quelques déboires. Comme d'être virée de sa sororité.
Dans l'obligation de trouver un plan de secours en catastrophe, elle se retrouve à cohabiter chez les hockeyeurs, dont Fitz. Ce dernier trouve la situation inconfortable. Entre Summer et lui, l'attirance physique est évidente. Pourtant il ne cesse de repousser ses avances et trouve des prétextes idiots pour dresser un mur entre eux.
Sait-on pourquoi ? Non. Entre nous, ce garçon est assommant.
Il a pourtant tout pour plaire : barbu, musclé et tatoué. C'est surtout un geek, passionné de jeux vidéo, qui aime sa tranquillité et qui fuit les conflits en raison d'une enfance marquée par le divorce de ses parents. Pour lui, Summer est une source de problèmes. Ou disons qu'elle lui faire perdre les pédales et qu'il ne sait pas gérer ses émotions.
De son côté, la belle se sent blessée par son attitude et ses jugements hâtifs. Elle a compris qu'il la trouvait superficielle alors qu'elle a toujours lutté contre les préjugés. Summer est radieuse, blonde et sexy. Elle est habituée à cristalliser l'attention et les désirs. Elle vit très bien avec son image tout en défendant qu'elle n'est pas qu'une simple enveloppe.
Fitz a néanmoins le culot de la faire tourner en bourrique - ses nombreux rétropédalages sont insensés. Mais cela force mon admiration pour cette étonnante jeune femme qui s'accroche et suit ses objectifs coûte que coûte. Leur relation bancale et parfois brutale finit par laisser un goût de frustration. J'espérais mieux de Fitz, très honnêtement.
Pour le reste, la lecture coule toute seule. C'est super léger, rigolo, avec de chouettes clins d'œil, des moments cocasses et des personnages secondaires qu'on adopte sur le champ - Hollis ou Hunter, pour ne pas les nommer. Et bien évidemment, il me tarde de lire l'histoire entre Brenna & Jack maintenant !
©2019 Hugo Publishing pour la traduction française. Traduit de l'anglais par Lucie Marcusse (P)2021 Audible Studios
- Lu par : Céline Le Coustumer, Philippe Chaine
- Série : Briar Université, Volume 1
- Durée : 9 h 30
⭐⭐⭐
Love Forever, l'Intégrale ; par Alfreda Enwy
Très agréablement surprise par ces deux histoires (compilées en un seul volume) !
Dans Love Deal, nous rencontrons une jeune maman célibataire, Poppy, qui jongle entre ses études et ses petits boulots avec beaucoup de cran et de fierté. Mais un nouveau coup dur la pousse à accepter l'offre d'Eren Dunn - jouer la petite amie idéale le temps d'un weekend familial à Paris.
Celui-ci est un sportif populaire qui cherche à redorer son blason auprès des siens. Il ignore l'existence de la petite Charly dans la vie de Poppy (qu'elle protège comme une louve) et voit en la jeune femme une candidate idéale, charmante, drôle et indépendante. Donc il insiste grossièrement pour qu'elle cède à sa proposition car il est tombé sous son charme.
Ce que j'ai aimé dans l'histoire, c'est le caractère franc et décidé de Poppy, combiné à l'humour du galant, coquin et nonchalant. Franchement l'alchimie du couple est exemplaire. Eren ne se montre jamais lourdaud mais très patient. Et puis il n'y a aucun drama insensé dans leur relation. Quoi d'autre ? C'est une lecture adorable et qui donne le sourire. Et c'est juste formidable.
Lire Love Play, le deuxième roman de cette intégrale, c'est prolonger le plaisir en retrouvant les personnages même si l'histoire est centrée sur la meilleure copine de Poppy et sur le pote d'Eren.
Johanna et Ryan se cherchent depuis leur première rencontre, l'attirance est électrique et les échanges jubilatoires. C'est très, très drôle également. Là aussi, on passe un super moment. L'ambiance est insouciante, coquine et primesautière. C'est adorable, et mignon comme tout.
En bref, cette brique de 750 pages n'est que gourmandise sans le moindre complexe. J'ai beaucoup aimé. ♥
HarperCollins Poche / Réédition 2021
⭐⭐⭐⭐
Trois mages et une margarita (Tori Dawson #1), d'Annette Marie
Tori Dawson est une étudiante fauchée, qui squatte le canapé de son frère, policier à Vancouver, en attendant de trouver un petit boulot. Elle tombe par hasard sur une annonce pour être barmaid dans un pub où elle débarque au culot. Contre toute attente, elle décroche le poste.
Mais elle réalise rapidement que quelque chose cloche. Quand elle comprend que le Corbeau & Marteau est en fait le Quartier Général d'une Guilde de Mages, c'est un peu tard pour reculer. Le problème, en tant qu'humaine, c'est qu'elle ne doit pas être au courant de leur existence. Et il semblerait que ce détail ait échappé à ses nouveaux patrons. Oups.
L'étudiante obtiendra finalement une dérogation en bénéficiant de la protection de trois mages dont le charme et l'humour feraient fondre le cœur d'une reine des glaces. Enfin, c'est ce qui est prévu, dès leur apparition, Kai, Aaron et Ezra font un peu disjoncter les compteurs. On dirait presque les trois mousquetaires : unis par un lien solide et une amitié complice.
Pour l'heure, Tori ne batifole pas avec eux. Elle ne perd pas non plus ses neurones. Séduite, oui. Mais curieuse avant tout de connaître les garçons et découvrir leurs secrets. Entre nous, je préfère une relation saine, stable et harmonieuse. Aucune ambiguité. L'ambiance est savoureuse ainsi, les mages sont intouchables, la nana les adore et ils vont ensemble se battre contre leurs ennemis.
En effet, après un début de roman assez creux et pas très original, on passe enfin à la vitesse supérieure. La lecture se révèle plus excitante, avec de bonnes surprises et du rythme soutenu. C'est top. Seule réserve : on accorde à Tori un rôle trop providentiel. Elle est par exemple capable de pulvériser un gang de méchants avec un simple parapluie. Voyez-vous ça.
Ceci dit, j'ai très envie de poursuivre l'aventure. Rendez-vous est pris avec “Magie noire et daïquiri” en juin.
éditions Bookmark, collection Urban Fantasy, 2020 pour la traduction - Tori Dawson #1
⭐⭐⭐⭐
Bilan du mois : Avril 2021 ♪♫•*¨*•...•*¨*•♫♪
Toc, toc, toc. C'est la belle saison.
Au cours du mois d'Avril, j'ai fêté mon anniversaire. J'ai lu un peu de romans légers. Puis j'ai basculé dans du fantastique. Besoin de plonger dans des univers qui décrochent avec la réalité. Et j'ai aimé ça.
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♠ L'amour est dans le chai, de Tamara Balliana
♠ Rouge, de Julie Huleux
♠ L'odeur de la colle en pot, d'Adèle Bréau
♠ RoomHate, de Penelope Ward
♠ Les aventures d'Aliette Renoir, de Georgia Correia
♠ Rebecca Kean, de Cassandra O'Donnell
♠ Les Brumes de Cendrelune, de Georgia Caldera
♠ Destiny, de Cecelia Ahern
♠ La saga Grisha, de Leigh Bardugo
Rien ne t'efface, de Michel Bussi
Médecin à Saint-Jean-de-Luz, Maddi est témoin de la disparition tragique de son fils Esteban alors qu'il se promenait sur la plage. Dix ans plus tard, elle est de retour pour ressasser son souvenir quand elle croise la silhouette d'un garçon ressemblant trait pour trait à son fils.
Seulement, ce garçon s'appelle Tom et vit avec sa mère en Auvergne. Maddi a mené son enquête et décidé de le suivre. Elle est convaincue qu'elle doit sauver cet enfant du piège qui l'enferme (il vit dans une ferme délabrée avec une mère désœuvrée). Et puis des détails troublants viennent lui confirmer que ce Tom est son Esteban.
Philosophie bouddhiste, théorie de la réincarnation, duperie et mensonges... très vite, le roman se lance dans une imagination débordante. L'intrigue affiche également un très bon rythme, du suspense, des rebondissements. C'est donc tout naturellement qu'on accompagne cette femme médecin dans sa quête obsessionnelle à découvrir la vérité.
Maddi n'est cependant pas toute seule sur son chemin de croix, il y a son psy resté en Normandie, qui prétend l'aimer et prêt à tout abandonner pour lui prouver, l'assistante sociale partagée entre la croire et la suspecter, une vie de village chamboulée par une série de meurtres. Oui, oui, soudain la lecture paraît beaucoup moins lisse et insouciante.
Tout bon lecteur acharné se perdra en spéculations au fil des chapitres : la narratrice est-elle folle ? victime d'un coup monté ? le garçon est réel ou une créature manipulée ? qui tire les ficelles ? C'est tout à l'honneur de Michel Bussi de nous embrouiller les esprits. Bravo, ça fonctionne très bien. Le dénouement est certes plutôt chaotique, et moins bluffant, car à force d'ingurgiter ses livres, on pressent les ruses et les fausses pistes. Je suis moins naïve, monsieur.
Par contre, c'est toujours aussi divertissant et agréable à lire. Surtout pendant les vacances. Et le format audio est parfait pour m'assister à buller tranquillement tout en me triturant les méninges afin de dénouer les ficelles de cette intrigue retorse !
©2021 Michel Bussi et Presses de la Cité (P)2021 Lizzie, un département d'Univers Poche, Paris
- Lu par : Léovanie Raud, Marie Bouvet, Antoine Doignon
- Durée : 13 h
- Sur le thème puissant de la maternité, Michel Bussi livre un nouveau suspense addictif, vertigineux, servi par un twist de haut vol, dans lequel se justifie l'impensable par amour pour un enfant.
- Une intrigue magistrale, un twist virtuose pour le nouveau suspense 100% Bussi.
⭐⭐⭐
Mourir sur Seine, de Michel Bussi
J'étais très curieuse de lire ce roman qui se déroule dans la vallée de la Seine, là où je vis, mais aussi sur les quais de Rouen lors de la prestigieuse Armada ! Non seulement c'était comme fermer les yeux pour visualiser toutes les scènes (les crimes en moins), mais l'expérience a également été particulièrement grisante en terme de rebondissements.
Sixième jour de l'Armada 2008. Un marin est retrouvé poignardé sur le port. Le commissaire de police est en pétard - ses projets de papa divorcé tombent à l'eau - tandis qu'une journaliste d'un magazine local flaire rapidement le coup fourré. Car d'autres crimes vont suivre. Un tueur sème la zizanie dans les rangs mais l'ordre est donné de ne pas alerter les foules pour créer un vent de panique.
Tous ont donc un rôle à jouer et vont se serrer les coudes : presse et police vont bosser main dans la main. Une première. Ceci dit, des trublions vont mettre leur grain de sel et faire capoter la belle mécanique. Pendant ce temps, l'Armada suit son cours. Les quais sont bondés. La parade se prépare. Et un tueur court en ville.
Ce côté folklorique a été pour moi le point bonus. J'ai beaucoup aimé plonger dans cette histoire qui me semblait si proche. Après, j'admets que le rythme est tout simplement bon et entraînant. L'auteur propose un roman astucieux en mêlant suspense et aventure avec une chasse au trésor qui tient en haleine. On a beau se méfier, Michel Bussi parvient toujours à nous surprendre !
Ce charme fou combiné à un souffle romanesque exaltant permet de distraire, divertir et délirer. On se prête à imaginer une histoire insensée, vieilles légendes et piraterie font toujours bon ménage. En bref, mon cœur s'est vite emballé. J'avoue. La lecture faite par Julien Chatelet est aussi un gage de succès - c'est un comédien doué et chaleureux avec sa voix et ses intonations hyper vivantes. C'est d'ailleurs lui aussi qui incarne la série de Jussi Adler Olsen par exemple.
Enfin, tout ça pour dire que ce roman tient la route. C'est aussi l'un des premiers titres publiés par l'auteur - après Code Lupin et Ohama crimes. J'ai même une petite préférence pour la fraîcheur de ses premiers ouvrages. Un peu maladroits, un peu capilotractés, un peu longuets. Mais ils avaient une touche de peps très appréciable pour les amateurs de divertissement pur et dur. En conclusion, Mourir sur Seine est un rendez-vous très sympa.
©2008 Michel Bussi et Editions des Falaises (P)2020 Lizzie, un département d'Univers Poche, Paris
- Lu par : Julien Chatelet
- Durée : 13 h
Une implacable machination... qui prend en otage huit millions de touristes, une course effrénée contre la montre avant la parade de la Seine.
⭐⭐⭐