Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Chez Clarabel

13 avril 2020

L'affaire Lord Spenser, de Flynn Berry

Je n'ai malheureusement pas accroché à cette histoire... trop déprimante !
L'affaire lord spencer

L'héroïne a connu dans son enfance un drame qui a bouleversé son existence : sa nounou a été assassinée sous leur toit, pendant que son frère et elle dormaient paisiblement. Pire, c'est leur père qui a été suspecté du crime (son épouse l'aurait formellement identifié). Mais l'homme appartient à la gentry donc possède de nombreux appuis. Les témoignages ont pullulé pour certifier son innocence. L'homme a néanmoins disparu de la circulation.

Des années plus tard, la fille vit toujours dans le spectre de son retour et du procès qui n'a jamais eu lieu. Elle se sent également coupable et complice car elle a la sensation d'avoir été manipulée (précisons qu'elle n'avait que huit ans mais elle porte sa honte comme une croix). Aujourd'hui la police lui signale que son père aurait été repéré et son univers s'ébranle à nouveau. De toute façon il est temps que cette obsession cesse et qu'elle cherche à percer l'abcès une bonne fois pour toute !

Sauf que cette lecture est lente et pesante. Je n'ai pas su embarquer à bord et j'ai vite trouvé le temps long. La solution est d'ailleurs sinistre. Après L'Assassin de ma soeur que j'avais trouvé moyennement convaincant, ce deuxième roman de Flynn Berry me pousse à dire que ce n'est pas ma tasse de thé... :/

©2019 Place des Editeurs (P)2020 Audible Studios

S'inspirant librement d'une célèbre affaire criminelle des années 1970 - ; l'affaire Lord Lucan, le premier lord reconnu coupable de meurtre depuis le XVIIIe siècle - ; ce thriller glaçant met en scène une héroïne marquée au fer, déchirée par les liens du sang. Il offre aussi une réflexion très actuelle sur les ravages de la violence au sein du cocon familial, les privilèges de classe et la loi du silence.

⭐⭐.5

Publicité
Publicité
13 avril 2020

L'île du diable, de Nicolas Beuglet

L'île du diableÀ peine sortie de prison, Sarah est conduite chez son père qui vient d'être assassiné dans son manoir. L'homme a succombé à des tortures et gît sous le regard de sa fille impavide. Son supérieur lui réserve l'affaire en sous-marin car officiellement c'est le jeune officier Adrian Koll qui conduira la marche à suivre. Choquée par le drame qui frappe sa famille, Sarah se montre docile et conciliante. Son père... distant, froid et secret. Comment imaginer un crime d'une telle barbarie ?

Sarah n'est pas au bout de ses peines car elle doit également encaisser le déballage médiatique qui vient effriter son image d'enquêtrice chevronnée. Elle ignore encore que Christopher va en faire une affaire personnelle et chercher à éclairer cette sombre histoire qui lui colle à la peau. Enfin un peu de débroussaillage dans le tableau ! Depuis Le Cri, on a vu se dessiner les failles dans son personnage de bull-terrier : ses traumatismes, ses fantômes, ses secrets... Eh bien le mystère entier sera levé. Youhou. Est-ce pour autant renversant ? que nenni.

Bon point pour ce roman : L'île du Diable compte 200 pages en moins (et ça fait du bien). La lecture est plus rapide, avec moins de niaiseries entre les personnages et une histoire qui va à l'essentiel. Les révélations historiques qui y sont faites sont glaçantes mais l'exploitation au cœur de l'intrigue laisse parfois à désirer. J'avais deviné beaucoup, beaucoup de choses. Oups. Seul un détail me chiffonnait... et bim, réponse dans l'épilogue. Euh. 🙄 Sans surprise, ce troisième rendez-vous avec Sarah Geringën n'a pas permis de me réconcilier car je trouve le scénario cette série beaucoup trop cinématographique et convenu. Mais il en faut pour tous les goûts !

©2019 XO Éditions (P)2020 Lizzie, un département d'Univers Poche

⭐⭐⭐

2 avril 2020

Bilan du mois : Mars 2020 ♪♫•*¨*•...•*¨*•♫♪

We-re-More-Than-Just-Sisters-We-re-Also-Friends

Mois de mars compliqué, dans un contexte déjà anxiogène, j'ai également perdu ma grande sœur, avec la distance imposée, impossible d'être présente auprès des miens et de profiter du précieux moment de communion... la lecture me semblant déjà peu reposante, elle occupe désormais de moins en moins mon passe-temps, ce que je déplore également, tout ce que je tente d'assimiler se perd dans un brouillard de mots, pas la peine de forcer, ça reviendra plus tard, pour l'heure j'absorbe mon chagrin et j'attends le temps des retrouvailles qui auront, pour nous, une saveur particulière. Prenez soin de vous, les lecteurs.

(Au début du mois, mes lectures les plus fortes)

♣ Sacrées sorcières ! BD de Pénélope Bagieu

♣ L'aube sera grandiose, d'Anne-Laure Bondoux

♣ Malamander, de Thomas Taylor

♣ La Mémoire de Babel (La Passe-Miroir #3), de Christelle Dabos

 

#inlovingmemory  #toujourslà  #neverforget

Copie Laurence & me

 

 

26 mars 2020

Complot, de Nicolas Beuglet

ComplotEn commençant ce nouveau roman de Nicolas Beuglet, j'avais oublié ce que j'avais pensé du précédent - Le Cri (lu trois ans plus tôt). Mais en me relisant, j'ai immédiatement songé que je pouvais copier - coller mon avis car ce sont encore les mêmes qualités et défauts que je retrouve.

L'inspectrice Sarah Geringën est appelée en urgence pour décrypter une scène de crime hors du commun et dont la victime est l'actuelle Première Ministre de Norvège. Son compagnon doit, de son côté, calmer les ardeurs d'un journaliste qui cherche à révéler un pan caché du passé de Sarah. Au passage, cela ébranle aussi les certitudes qu'avait l'homme sur son amoureuse. Bonjour l'embrouille ! Bref. Les voilà tous les deux embarqués pour une nouvelle course-poursuite d'un pays à un autre... Car ce que révèle l'enquête initiale est hallucinante ! J'avoue que cela me fatigue de lire des romans pareils où l'auteur développe des théories (probables ou pas) mais qui me mettent la tête à l'envers. Oui c'est plausible mais vraiment incroyable. Je ne sais pas, je ne sais plus. Je suis fatiguée de douter à ce point. Les personnages peinent toujours à me convaincre. Le dénouement incite méchamment à lire L'Île du Diable (je me connais, je peux facilement céder à la tentation alors que je ne suis pas contente). Soupirs longs et désespérés.

En tout cas, si vous ne jugez pas Dan Brown comme étant un possible illuminé aimant fumer la moquette de son salon, vous apprécierez à sa juste valeur Nicolas Beuglet qui défend la cause des femmes avec beaucoup de panache !

©2018 XO Éditions (P)2019 Lizzie

De la Norvège à la vieille cité de Byblos, et jusqu'au cœur même du Vatican, c'est l'odeur d'un complot implacable qui accompagne chacun de ses pas. Et dans cette lutte à mort, Sarah va devoir faire face à ses peurs les plus profondes. à ses vérités les plus enfouies.

⭐⭐⭐

24 mars 2020

Le club des philosophes amateurs (Sunday Philosophy Club, #1), par Alexander McCall Smith

Le club des philosophes amateursDepuis le temps que je tourne autour de cette série ! À lire sa présentation, j'ai des yeux de merlan frit à vouloir la découvrir au plus vite (pressentant que je vais également succomber à son charme). Et finalement... je suis amèrement déçue.
Certes, je perçois les contours de son potentiel : ambiance cosy et personnages ordinaires vaquant à leurs basses besognes (hum-hum). Au centre, Isabel Dalhousie se distingue (et peut paraître privilégiée), une gouvernante veille sur son petit confort pendant qu'elle dirige une revue d'éthique appliquée. Sa nièce Cat tient une épicerie qui fait aussi office de bistro. De beaux jeunes hommes croisent souvent sa route. Ceci dit, Isabel veille au grain car Cat est volage.
Et voilà qu'un soir, à l'opéra, Isabel Dalhousie est témoin de la chute mortelle d'un jeune homme. Cet accident la perturbe profondément. Même en tentant de l'effacer de sa mémoire, des détails surgissent pour l'inciter à y songer. Ceci l'affecte, au même titre que le nouveau fiancé de Cat dont elle veut sonder les intentions.
Le dilemme de cette chère Isabel pourrait se résumer à ce passage : « Ce dont j'ai besoin, c'est de quelques jours sans intrigues. Besoin de reprendre mon travail pour la revue, de finir mes mots croisés sans m'interrompre et de marcher de temps en temps jusqu'à Bruntsfield pour bavarder avec Cat de choses insignifiantes. Ce dont je n'ai pas besoin, c'est de passer mon temps à conspirer avec Jamie dans des bars et des restaurants, ni de me frotter à des financiers retors aux goûts artistiques dispendieux... »
Calme plat, donc, sur cette lecture... assez ennuyeuse (si ce n'est qu'elle est bavarde et superflue). Il n'y a aucune intrigue criminelle mais une histoire creuse avec des personnages peu attachants, pour l'instant. J'hésite encore à lire la suite.

éditions du Masque, 2018 - Traduction révisée de François Rosso

⭐⭐⭐

Publicité
Publicité
23 mars 2020

Victime 2117 (Les enquêtes du département V, #8) de Jussi Adler-Olsen

Victime 2117Depuis Miséricorde, le personnage d'Assad n'a cessé de nous interroger. On a vite compris qu'il n'était pas ce qu'il prétendait être et qu'il cachait un lourd passé avec de sombres secrets... Dans cet épisode, l'auteur s'engage à tout nous révéler. Promesse tenue !

La lecture se construit par des briques qui s'emboîtent petit à petit, d'abord un journaliste qui recherche le scoop à partir d'une victime échouée sur une plage (un drame pour dénoncer celui des réfugiés), puis un jeune homme cloîtré dans sa chambre, refusant tout contact avec la société qu'il accable, et jouant en ligne des heures durant avec des objectifs bidons... Ce type passe régulièrement des coups de fil à la police car il prépare un massacre. C'est là que débarque notre département V, et plus particulièrement le duo insolite formé par Gordon et Rose.

De leur côté, Carl et Assad vont s'envoler pour l'Allemagne et prêter main forte aux enquêteurs pour déjouer une menace terroriste. Autant dire que le rôle de notre ami Assad est plus crucial que jamais. Les deux compères jouent également dans la cour des grands et nous servent leur numéro habituel, entre sempiternelles bouffonneries et actions déterminantes toujours au cœur de l'action. Les derniers chapitres sont explosifs... mais peu crédibles (c'est rien, ça divertit).

En bref, cette lecture est digne de confiance. Moi qui d'habitude me réserve ce rendez-vous pendant les vacances car j'y retrouve mes personnages fétiches, l'humour lourdingue de l'auteur et une intrigue entraînante... cette fois c'est tout bon. J'avais été déçue par certains tomes de la série et avais pris un peu de distance mais les deux derniers livres ont rehaussé le niveau + mon intérêt. Maintenant j'ignore si la série est terminée pour de bon... ???

Première lecture bouclée depuis le début du confinement... exercice très laborieux ! Le roman est bon mais la concentration a parfois oscillé. Envie, pas envie de lire.
Prenez soin de vous et de vos proches.
#restezchezvous

©2020 Éditions Albin Michel (P)2020 Audiolib

Lecture audio excellente car brillamment interprétrée par Julien Chatelet... comme toujours ! 

⭐⭐⭐.5

16 mars 2020

Une famille presque normale, de M. T. Edvardsson

Une famille presque normaleFaites connaissance avec la famille Sandell... nous annonce la présentation de l'éditeur.
Le père Adam est un pasteur respecté dans la petite ville de Lund. Sa femme Ulrika est une brillante avocate. Leur fille Stella fête son dix-neuvième anniversaire et prépare son voyage en Asie.
Ce soir-là, la famille se retrouve au restaurant pour un repas formel. La jeune fille s'éclipse rapidement pour retrouver son amie Amina et son petit copain Chris. Mais les événements durant la soirée vont déraper. Quelques jours plus tard, la police vient arrêter Stella.
Chris Olsen a été poignardé. Une voisine est catégorique sur la présence de celle-ci au moment du crime. Stella plaide coupable et attend son procès en refusant de voir ses parents. Pour son père, la nouvelle est un choc. Il refuse l'évidence et mène sa propre enquête... n'hésitant pas à prendre tous les risques (mentir, cacher des preuves).

L'histoire est ainsi divisée en trois parties racontées par les trois membres de la famille, chacun venant éclaircir le tableau (et l'affaire). Mais la vérité est triste. D'abord elle survient façon grosse production hollywoodienne, ensuite elle ne surprend pas. J'étais pratiquement sûre des annonces qui ont été faites. Mais j'étais déjà plongée dans une sensation d'amertume. En fait cette lecture m'a déprimée parce qu'elle met en scène des situations plausibles avec des personnages cohérents. Car le drame que vivent les Sandell fait remonter d'autres non-dits survenus au cours des années. Ça pèse lourd dans la balance et au moral... Après, le contexte actuel n'est pas folichon non plus. Je lis, pour m'occuper l'esprit, mais bof bof. Manque un truc.

©2019 Sonatine Éditions pour la traduction française. Traduit par Rémi Cassaigne. (P)2020 Lizzie

Choix judicieux de proposer trois comédiens pour interpréter les trois personnages du roman : aucune confusion, on s'y retrouve facilement et on plonge dans cette histoire sombre et glaçante.

⭐⭐.5

14 mars 2020

The Kingdom, de Jess Rothenberg

THE KINGDOMThe Kingdom est un immense parc d'attraction visant à offrir rêve et évasion au public. Les visiteurs sont également accueillis par des Fantaisistes - en apparence ce sont des jeunes filles belles et serviables mais en vérité ce sont des espèces hybrides, mi-humaines mi-robots, en cours d'expérimentation.
Car rien n'est véritablement tout beau tout rose dans ce royaume de la perfection ! L'une des Fantaisistes est aujourd'hui accusée d'un crime (avoir assassiné un Surveillant). Le procès va débuter, les interrogatoires s'enchaînent et Ana livre calmement une (partie de la) vérité.
Car Ana et ses sœurs n'étaient finalement pas si malléables et pouvaient se révéler farouches et sensibles à leur environnement. Par contre, dès que cette anomalie se produisait, elles disparaissaient mystérieusement de la circulation. D'où Owen.
Membre du personnel, le jeune homme n'est jamais loin et intrigue par son comportement parfois sauvage parfois compatissant. Ana ne sait pas quoi penser de lui. Au fil du temps, pourtant, elle devient de moins en moins insensible à ses approches et n'hésite plus à se confier.

Voilà, voilà. J'y ai cru, et puis bof... Lecture survolée sans la moindre excitation. On retombe vite dans un scénario sans surprise et bancal. Malgré les tentatives de brouiller les pistes, l'issue coule de source (oh oui... tellement évidente !). Je n'ai pas bien compris non plus les allusions louches qui surgissent dans l'audience d'Ana (le sort des Fantaisistes... les brimades subies, leurs attitudes consensuelles ou faussement arrangeantes). De toute façon la structure narrative n'est pas très cohérente (longueurs, banalités, violences incongrues), en plus de quelques percées poétiques ou philosophiques... ça zigzague pas mal et ceci me laisse perplexe. 

En bref, véritable patchwork de références, ce roman n'inspire qu'une impression de fourre-tout pas très convaincant. Suis déçue.

Casterman, 2020 - traduit par Corinne Daniellot

⭐⭐⭐

13 mars 2020

Moi, Cosmo par Carlie Sorosiak

moi cosmo

Tous les amoureux des chiens comprendront l'émotion du roman ! On y trouve en effet beaucoup de tendresse et d'amour dans cette histoire entre un petit garçon et son Golden Retriever. Avis aux plus sensibles, le syndrome Marley and Me ne frappe pas les pages de ce livre.

Pourtant, Cosmo est un chien vieillissant et aujourd'hui il s'inquiète pour sa famille où les parents vont divorcer. Cela veut dire séparation, garde disputée et éloignement. Sentant que les jours sombres approchent, Cosmo va entraîner le jeune Max dans un concours de danse avec la complicité de son Oncle Reggie.

L'histoire est également racontée d'après le chien, témoin impuissant des chamailleries et des tensions qui empoisonnent la vie à la maison. En même temps Cosmo comprend aussi que ses hanches sont douloureuses, que sa vue baisse, que ses réflexes sont plus lents... Il fait des efforts pour se motiver (et s'imagine dans Grease son film fétiche). Parfois son cœur s'emballe et Max l'enveloppe de sa compassion. Le lien entre eux est fort. On sent toute la bienveillance de l'auteure aussi (ses remerciements à la fin rappellent que nous sommes des humains exceptionnels d'aimer notre animal de compagnie avec une telle dévotion).

Oui ! c'est un petit roman simple et vite lu. Cependant, je me prosterne devant Carlie Sorosiak pour la bénir d'offrir un roman aussi vrai, aussi pur, aussi attendrissant. Il y a des mots, des phrases qui disent beaucoup... « Avec lui, pour lui, j'ai l'impression que je pourrai courir jusqu'à la fin des temps. »

Casterman, 2020 - Traduction d'Alice Delarbre

#alwaysinmyheart

Mon chien

 

12 mars 2020

Dix petites chances, de Janice Erlbaum

dix petites chancesDepuis quelques mois, le moral d'Emma n'est pas au beau fixe : la meilleure amie de sa mère, Tante Jenny, est morte des suites de son cancer. Sa copine d'enfance Savvy lui a également tourné le dos, préférant traîner avec les filles populaires du collège. Celles-ci se moquent ouvertement d'Emma qui hésite entre rire ou pleurer face à leurs méchancetés.
Aussi, un matin, elle découvre sur le pas de sa porte une lettre à son nom contenant un billet de vingt dollars et la promesse de voir dix de ses vœux se réaliser sous trente jours. La lettre n'est pas signée. Elle ne doit en parler à personne non plus. D'abord sceptique, Emma se laisse convaincre et dresse sa liste « des dix petites chances qu'elle voudrait voir se réaliser ».
Comme toute adolescente, Emma rêve d'entrer dans le moule et pense qu'avec un téléphone dernier cri ses ennuis pourraient s'envoler. Elle aimerait également retrouver sa complicité avec Savvy, embrasser le garçon qu'elle aime en secret depuis deux ans, décrocher un rôle dans la pièce de théâtre, changer les plans de vacances d'été et pousser sa mère à renouer avec le monde.
C'est le microcosme des ados dans ce qu'ils ont de plus odieux et affligeant à offrir ! C'est aussi très actuel et tellement agaçant. Je me sens hélas dépassée. Par contre ce roman est parfait pour les plus jeunes (niveau collège ou dès 10-12 ans).
L'histoire parle en effet de harcèlement, de dérapage sur les réseaux sociaux, de trahison, de conformité et d'ostracisme. Ça fait froid dans le dos - que de cruauté et de bêtise - heureusement la réponse est encourageante. Le texte se veut donc positif avec une héroïne volontaire, qui cherche sa place et qui en a gros sur le cœur. Ses choix évoluent au fil des chapitres, son caractère s'affirme et sa liste prend forme si bien qu'elle relève haut la main le défi (et découvrira au final qui lui a adressé la lettre).
Sympa, mais vraiment pour jeunes lecteurs.

Milan, 2020 - traduit par Aude Sécheret // illustration de couverture : Lisk Feng

⭐⭐⭐

Publicité
Publicité
Chez Clarabel
Publicité
Newsletter
2023 Reading Challenge
Clarabel has read 8 books toward her goal of 200 books.
hide
Sauveur & fils
Quatre sœurs : Geneviève
Audrey Retrouvée
Le sourire étrange de l'homme poisson
Calpurnia et Travis
L'homme idéal... ou presque
Trop beau pour être vrai
Tout sauf le grand amour
Amours et autres enchantements
Ps I Love You


Clarabel's favorite books »
Publicité