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Chez Clarabel
lizzie
22 décembre 2019

Le Wundereur (Nevermoor 2), de Jessica Townsend

Nevermoor WundereurMorrigane Crow a vaincu la malédiction et rejoint la Société magique Wundrous. Néanmoins, la découverte de Nevermoor n'est pas sans heurt : alors qu'on lui avait promis amitié, éducation et protection, Morrigane ne rencontre que méfiance et hostilité.

Pour rappel, ma lecture du tome 1 et blablabla.

Évidemment cette suite confirme le potentiel de la série. Cependant, celle-ci me fait vraiment trop penser à Harry Potter. C'est gênant dans le sens où... oui, on aime l'univers de Morrigane qui se rend cette fois dans une école pour jeunes talents. Elle prend même un train exprès pour s'y rendre et suit toute une procession qui rappelle les cérémonies d'accueil à Poudlard. Oui, oui, oui : ne dites pas le contraire, on pense très fort à vous-savez-qui.

Et puis Morrigane a un secret qu'elle doit protéger avec ses nouveaux camarades. Cela leur coûte aussi car ils sont soumis à un chantage odieux et doivent se plier à des exercices humiliants ou rageants. Parce que l'esprit d'équipe compte plus que tout. Pourtant, Morrigane a le moral dans les chaussettes car on lui a supprimé tous ses cours (à l'exception d'un seul). Il y a tant de non-dits autour d'elle que la fillette est paumée et qu'elle opte souvent pour les mauvaises décisions.

Il y a tant et tant de petits exemples qui font penser au petit sorcier... (oui, oui, oui, on y revient sans cesse) si bien que ça finit par enlever toute surprise à la lecture ! On ne doute plus, on sait, on attend et on se dit bah voyons... C'est vraiment ce que j'ai ressenti tout du long, même si j'apprécie beaucoup cette série que je trouve CHARMANTE et SYMPATHIQUE. L'influence HP reste tout de même trop marquante. Elle nous prive de cette excitation de nouveauté, cette envie d'extase et d'ébahissement. On a tout ça, c'est bien... c'est sûr mais ce n'est pas nouveau non plus, et ça me titille un petit peu.

Mais je lirai sans aucun problème la suite ! Hahaha.

©2019 éditions Pocket Jeunesse / Lizzie. Traduit par Juliette Lê (P)2019 Lizzie

Excellente lecture audio : performance de Helena Coppejans parfaite ! Univers fabuleux, imaginaire foisonnant... on vit une expérience riche et excitante. Sur ce plan, c'est très réussi ! 

⭐⭐⭐⭐

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10 décembre 2019

L'Enfant du lac, de Kate Morton

L'Enfant du lacJ'ai un faible pour les histoires de famille, de vieilles maisons et de campagnes anglaises... ce roman de Kate Morton ne pouvait donc que me plaire !
En Cornouailles, une belle demeure abandonnée, Loeanneth, porte les stigmates d'une tragédie survenue durant les années 30 : un enfant a mystérieusement disparu avant d'être déclaré mort. Les Edevane n'ont jamais surmonté le drame et ont quitté les lieux pour ne plus y revenir.
Sadie Sparrow, en vacances chez son grand-père, tente de chasser ses idées noires après son fiasco au cours d'une enquête criminelle. Elle tombe par hasard sur cette affaire et commence à fouiller dans les archives pour remonter le fil du temps : un couple amoureux, des fillettes épanouies, un jardinier séduisant, la guerre...
Rares sont désormais les témoins, si ce n'est Alice Edevane, l'une des sœurs devenue écrivain à succès et qui refuse de recevoir Sadie pour évoquer le passé. Culpabilité ? remords ? non-dits ? On va et vient entre les époques, dénichant les pistes, débusquant des révélations, rebroussant chemin pour revoir ses suppositions. On est alors face à une intrigue à tiroirs très habile et efficace !
Dense et adepte de chausse-trappes, le roman en devient vite passionnant. Par contre j'ai été un poil déçue par le dénouement - ce dernier lapin sorti du chapeau, non vraiment, c'était le coup de trop ! Sinon c'était un bon moment de lecture : romanesque et émouvant. On se laisse aisément bercer par le flux et le reflux du courant.
La lecture assurée par Catherine Griffoni est également très agréable et réussie.

©2016 Presses de la Cité, pour la traduction française. Titre original : The Lake House. Traduit par Anne-Sylvie Homassel (P)2019 Lizzie

"Kate Morton tire habilement sur toutes les ficelles du genre - mystère, culpabilité, liaisons secrètes, passé qui fait des croche-pieds. Si vous aimez Daphné du Maurier, vous allez adorer ce roman dont le héros est un manoir."
ELLE

 

2 décembre 2019

Le petit roi du monde, de Philippe Amar

Le petit roi du monde lizzieVictor a connu une enfance heureuse auprès de sa Tatie mais celle-ci vieillit et tombe malade, du coup les services sociaux se chargent de trouver une nouvelle famille d'accueil pour le garçon de douze ans. Sauf qu'il en a décidé autrement ! Ainsi, il passe les petites annonces au crible pour trouver sa mère idéale. Pour lui, aucun doute possible : elle s'appelle Lily et elle est pâtissière.
Pour l'aborder, Victor met au point un stratagème assez maladroit : il se présente en tant que Miguel, célibataire en quête du grand amour. La jeune femme tombe sous le charme. Vient la rencontre tant attendue, et là... surprise !
En fait, ce roman est invraisemblable mais tellement doux et attendrissant. J'ai totalement succombé. On y rencontre un môme formidable, avec de la suite dans les idées. Car son obstination à décider de son avenir est hallucinante (oui, peu crédible) mais on s'attache à son parcours. Et puis ses courriers sont drôles, lorsqu'il cherche à plaire et qu'il fait appel aux répliques cultes des comédies romantiques ! Quel numéro.
Victor ne manque pas d'idées folles et compte pour soutien une équipe de bras cassés d'une loyauté à toute épreuve. Impossible pour lui d'échouer à sa mission... non ?! En tout cas, on se prend au jeu et on savoure cette jolie histoire d'adoption, vraiment hors norme.

©2019 Éditions Plon (P)2019 Lizzie

Très bonne lecture par Claire Cahen : sensibilité, tendresse, émotion. Un concentré de bonne humeur et d'ondes positives !

⭐⭐⭐.5

 

Le petit roi du monde

22 octobre 2019

Ne t'enfuis plus, par Harlan Coben

Ne t'enfuis plus lizzieSimon Green n'en croit pas ses yeux lorsqu'il croise dans Central Park une jeune SDF ressemblant trait pour trait à sa fille Paige. Celle-ci a déserté le foyer familial pour suivre son copain Aaron et sombrer dans la drogue. Simon tente le tout pour le tout mais se heurte au garçon. La foire d'empoigne est alors filmée puis diffusée sur internet.
Peu de temps après, Simon reçoit la visite de la police car le dénommé Aaron a été assassiné tandis que Paige a de nouveau disparu. L'homme devient aussi un suspect idéal. Pourtant, en comprenant que leur fille est en danger, le couple part aussitôt à sa recherche, dans un repaire pour junkies dans le Bronx. Là encore, la situation va déraper et entraîner ce père (aux abois) dans une descente en Enfer.

Dans ce scénario sans surprise et néanmoins efficace, on comprend à peu près où nous mène Harlan Coben (il ne se renouvelle pas beaucoup). Par contre, on ne décroche pas non plus et on suit par alternance les parcours de Simon, de son avocate, des enquêteurs de police, d'une faction sectaire et ses deux soldats de plomb. J'ai noté une petite perte de vitesse à mi-parcours, sinon la lecture a été globalement attrayante : lue avec curiosité et insatiabilité.
Guère inoubliable, cette intrigue se mélange donc aux précédentes mais assure le show. On a un bon thriller dont les nombreuses complexités se dénouent dans les toutes dernières pages.

©2019 Belfond, traduction de Roxane Azimi (P)2019 Lizzie

Excellente lecture par Damien Ferrette. Aucune frustration dans le choix des voix, la palette des personnages étant large, on se repère facilement dans les variations proposées.

 

 

30 septembre 2019

Les Jours de ton absence, de Rosie Walsh

Les jours de ton absenceUne simple rencontre qui peut faire tout chavirer...
L'histoire entre Sarah et Eddie commence sur un coup de foudre. Une relation courte et intense qui marque le couple. Tous deux promettent de garder contact et de se revoir. Mais le temps passe et Eddie ne donne plus de nouvelles.
Aux interrogations de Sarah, s'opposent les doutes de ses proches. Fragilisée par un récent divorce, n'aurait-elle pas fantasmé cette liaison ? Pourquoi n'accepte-elle pas l'idée d'une rupture ? D'une séduction facile et sans conséquence ?
Pourquoi Sarah s'accroche à cet inconnu comme une désespérée ?
Finalement, son entourage donne raison à ses angoisses et soutient ses recherches. Jusque-là, moi aussi j'étais curieuse de connaître les raisons de cette étrange disparition. Qui est Eddie ? pourquoi un tel silence ? On échafaude des tonnes de théories, comme sa mort. Toutes ces questions incitent donc à pousser plus loin et poursuivre la lecture.
Toutefois, mon côté rationnel a aussi été pas mal chatouillé car il faut de l'abnégation (de la patience) pour supporter cette héroïne aux abois. Sarah bascule dans l'obsession, limite la démence. Je n'ai pas ressenti d'empathie pour ses problèmes mais j'étais curieuse de comprendre le mystère d'Eddie.
Malheureusement pour moi, l'histoire a viré au drame larmoyant. La troisième partie m'a totalement larguée. J'ai été franchement dépitée par les révélations et la tournure des événements...
Bref. Très décevant, tout ça. Ou disons pas mon délire. 

Par contre, excellente lecture faite par Virginie Méry (dont la voix vous semblera familière... notamment pour les accros aux séries, comme Drop Dead Diva).

©2018 Éditions Les Escales. Titre original : The Man Who Didn't Call. Traduit par Caroline Bouet (P)2019 Lizzie

 

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29 juillet 2019

Koridwen (U4), de Yves Grevet

Koridwen U4Cet épisode sur Koridwen - jeune bretonne qui débarque à Paris au volant d'une bétaillère avec son cousin et les vestiges de la ferme familiale pour se rendre à un rendez-vous énigmatique le soir du 24 décembre - ouvrait le bal et se devait de m'introduire à un univers inventé par quatre auteurs.

U4 est en fait un virus ayant décimé 90% de la population mondiale, n'épargnant que les adolescents et de rares adultes. Suite à cette catastrophe, un climat de défiance s'est installé, où chacun lutte pour sa survie, soit sous forme de milice ou de bande terroriste. On suit ainsi Koridwen dans son long périple, sur les routes depuis la Bretagne jusqu'aux rues parisiennes, dans les tunnels des égouts ou les immeubles abandonnés, jaugeant ses rencontres hasardeuses et sa quête du savoir si Chronos a dit vrai ou pas. Elle est aussi guidée par la prophétie de sa mamm-gozh (sa grand-mère moitié sorcière, moitié guérisseuse) et finit par comprendre qu'elle devra retourner dans le temps pour éradiquer la contagion.

Comme j'aime beaucoup Yves Grevet - pour sa série culte Méto - j'avais donc pioché sciemment son titre en pensant que ce serait positif. Au final, j'ai trouvé la lecture hasardeuse et longuette (avec une fin ouverte particulièrement frustrante). Que dire... J'avais des attentes, j'étais curieuse, certes impatiente, mais je n'ai pas réussi à adopter ce monde inconnu, âpre et difficile, ces jeunes gens condamnés à prendre les armes et affronter le pire de l'humanité, eux qu'on trouvait encore à batailler sur des jeux en ligne il y a quelques mois. Quelle amertume. Tout est bousculé, chamboulé, précipité... la vie, l'amour, la mort. Tout ça, sans émotion. Nul affolement sur mon électrocardiogramme... dommage.

Le format audio est assez constructif et guère déplaisant à écouter, avec une narratrice claire et agréable par son intonation et son interprétation convaincante (mais le « je » lassant me poussait à réclamer un coup d'œil alentour ou tendre le micro pour en savoir davantage)... Bref. Mon avis mitigé ne met évidemment pas en doute la qualité du projet. J'hésite néanmoins à poursuivre la série, craignant des épisodes répétitifs autour des mêmes interrogations et autres enjeux, sans solution possible.

©2015 Éditions Nathan & éditions Syros (P)2019 Lizzie

 

6 juillet 2019

La mémoire des embruns, de Karen Viggers

La mémoire des embruns... Cette déception après lecture ! J'avais gardé ce roman bien au chaud sur mes étagères *depuis des années* et lorsque je tente enfin une plongée en me frottant les mains, je ne vous raconte pas le gros plouf de dépit.
Car l'histoire est mélancolique mais usante. Elle traîne en longueur et alterne deux parcours - celui d'une vieille dame et de son fils cadet.
Mary a choisi de retourner sur une île isolée pour revivre ses souvenirs de jeune femme mariée et épouse du gardien de phare. Tom a perdu le goût du bonheur après son divorce et ne sait plus sur quel pied danser avec une jeune scientifique - sans doute trop spontanée et indépendante pour convenir à son manque de confiance.

Cela nous donne un roman en mode contemplatif et néanmoins monotone.
Mais que de lassitude !
Par contre on nous vend du rêve pour les décors... Tasmanie, île Bruny, Terre Adélie... C'est là tout le côté sauvage et farouche du bouquin.

©2011 Titre original : The Lightkeeper's Wife. Édition française publiée par les Éditions Les Escales.
Traduit par Isabelle Chapman

(P)2019 Lizzie, Version intégrale

La voix de la comédienne, Pénélope Perdereau, est la plus prégnante et captivante à écouter... dommage de trouver trop de descriptions dans le récit.

 

18 mai 2019

Nous étions les hommes, de Gilles Legardinier

Nous étions les hommes

Sur fond de recherches médicales avec complots scientifiques pour corser le dossier, le roman est entraînant et perspicace pour commencer, puis beaucoup moins stimulant au fil des pages. En fait, soit l'histoire s'essouffle soit c'est moi qui ai simplement décroché. En tout cas, il y a peu d'action et trop de réflexion. Le final aussi est vraiment peu percutant. C'est franchement moyen. 

À Edimbourg, le docteur Scott Kinross travaille sur la maladie d’Alzheimer. Associé à une jeune généticienne, Jenni Cooper, il a découvert une clé de cette maladie qui progresse de plus en plus vite, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes. La violence explose et ne cesse de surprendre les spécialistes. D'où leurs conclusions aussi perturbantes qu’effrayantes.

Quid des enjeux et des théories insensées... J'ai trouvé cette lecture lassante et conventionnelle. Elle restera peu mémorable en dépit du nom de l'auteur. Ça me déçoit. 

©2011 Fleuve Noir (P)2019 Lizzie

  • Lu par : Bernard Gabay
  • Durée : 11 h 30 env.
  • Avec entretien de l'auteur

La performance de Bernard Gabay est, par ailleurs, positive, serinée d'une voix grave et appliquée. Au cinéma, c'est Viggo Mortensen qui l'incarne le mieux (oui, sa voix française).

 

25 avril 2019

Am Stram Gram, de M. J. Arlidge

Am Stram Gram lizzieSuis très perplexe après cette lecture. 
Qui, pourtant, démarre fort : des couples sont enlevés pour être séquestrés dans des lieux sordides. Ils n'ont pas d'eau, pas de vivres, mais un pistolet chargé d'une seule balle. Le deal est clair : pour survivre, il faut éliminer l'autre. 
Ce jeu morbide va hélas faire des adeptes et essaimer ses victimes dans tout Southampton. Pour l'équipe du commandant Helen Grace, la traque est dès lors obsessionnelle et sans pitié. Qu'importe si l'assassin est coriace, avec toujours une longueur d'avance.
L'ambiance au bureau est aussi tendue par la connaissance d'une taupe au sein de la brigade. Qui livre des infos au tortionnaire ? qui marchande des bribes de l'enquête à la presse ? En gros, tout fout le camp. Et on continue d'avaler des pages et des pages de scènes immondes avec un stoïcisme anormal. 
Comme si ça ne suffisait pas, la vulgarité s'invite à la fête. À croire qu'on aurait pu oublier combien c'est glauque. Une surenchère inutile. Déjà que l'héroïne est particulièrement tordue dans son genre : chaleureuse comme un bloc de marbre et aimant pratiquer une vie sexuelle riche en sensations fortes.
Voilà, voilà. Des réjouissances peu folichonnes pour un roman dégobillant les travers et autres perversités de notre société. Je m'attendais peut-être à autre chose, je ne sais pas, je suis écœurée par tout ce que j'ai lu. Même le dénouement fout un coup au moral. C'est lugubre, très désagréable comme sensation.
Je vais digérer un peu avant d'ouvrir Il court, il court, le furet.

©2015 Éditions Les Escales, pour la traduction française. Traduit par Élodie Leplat (P)2019 Lizzie

        REPRIS EN POCHE CHEZ 10-18

        Am Stram Gram 1018

 

23 avril 2019

Comme une tombe, de Peter James

Comme une tombe audibleL'idée de départ, c'était de se venger du futur marié en l'enterrant dans un cercueil avec de l'alcool et une revue porno. Quelques heures à mijoter dans son jus avant la délivrance. Or, rien ne va se passer comme prévu. Et Michael va bel et bien être pris au piège dans son trou au milieu de nulle part.
Sans nouvelles, sa famille redoute le pire tandis que la police relativise en supposant que le type a soudain pris peur ou s'est envolé au soleil avec ses millions de fraude fiscale. Mais sa fiancée réclame une oreille compatissante et rencontre le commissaire Roy Grace. Ce dernier est depuis peu devenu la risée de ses collègues car il croit aux pouvoirs médiumniques pour clarifier la disparition de son épouse. 
Enfin bref. Le compte à rebours est lancé. D'un côté, on a un pauvre diable coincé dans sa boîte et qui s'époumone dans son talkie-walkie qu'un simplet a ramassé dans les fourrés. De l'autre, on suit une enquête tirée par les cheveux et qui est totalement imprévisible. 
De là, la lecture part en roue libre : ambiance carrément flippante et anxiogène. Non seulement on étouffe, on tombe des nues au fil des révélations, on part dans un sens puis on revient sur nos pas. On est vraiment pris pour des pantins facilement manipulables.
SAUF QUE c'est de bonne guerre ! On adore la partie de poker qui se joue sous notre nez. On risque peut-être pas nos billes à prendre des paris mais on applaudit le coup de bluff. Le dénouement aussi part en vrille : genre course-poursuite haletante et personnages cabossés. Une vraie bonne surprise.
Accessoirement, il s'agit du premier roman introduisant l'énigmatique Roy Grace. Une affaire à suivre, moi je dis.

©2005 Pocket, pour la traduction française (P)2018 Lizzie

 

Existe en format POCKET

Comme une tombe pocket

 

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