en avant-première, la nuit à versailles de la divine vanessa
C'est la rumba Le vieux rock au mambo bidon
I know you've got some pain to share Like anybody else around Each one of us a cross to bare And then some day you may drown This trouble in your heart Will run away do all you've got to do Within your sacrifices For your soul is in chains how could you fly
Don't give up and do not cry When those demons get you I'll be yours till the end of time Please believe me when I say you'll be fine
(...)
Nothing is quite like it used to be Deep down inside of me I'm done searching for myself Since you're flowing in my veins
La playlist enfin dévoilée, le CD1 n'offre rien de nouveau, mais le CD2 vaut davantage le coup pour les pépites... rares et précieuses ! Enjoy !
*CD2* 1-Marilyn & John (version acoustique - inédit) 2-Dans mon café 3-La déclaration d'amour (Live - duo avec - M - / inédit en CD) 4-Jackadi 5-I love Paris (inédit) 6-Emmenez-moi (Live) 7-La ballade de Johnny Jane (Live - duo avec Jane Birkin) 8-When I say 9-Concia chachacha 10-St Germain 11-This will be our year (Live) 12-Les filles électriques (Live - duo avec Alain Souchon) 13-Made in Asia 14-Abracadabra 15-I wouldn't dare 16-Scarabée (version acoustique inédit) 17-Varvara Pavlovna (version originale studio - inédit en CD)
et le concert privé, donné en acoustique, à la cigale, ce 22 novembre, nous montre une mise en scène très circus, avec une Vanessa en maître de cérémonie, sensible, délicate, très belle ... la grande classe !
Voilà encore une raison qui me réconcilie avec la rentrée... la divine Vanessa sort un best of de 2 CD et une anthologie de 2 DVD. Avec du neuf, cette très très belle chanson signée Gaëtan Roussel (de Louise Attaque) et I Love Paris, la pub des Aéroports de Paris.
Il y a là la littérature/Le manque d'élan/L'inertie/Le mouvement
Parfois on regarde les choses/Telles qu'elles sont/En se demandant pourquoi
Parfois on les regarde/Telles qu'elles pourraient être/En se disant pourquoi pas
Cette info interplanétaire nous vient de ZeFrog - merci.
il s'agit du même docu-reportage-concert présent dans l'édition collector de la tournée magique de la divine Vanessa !!!
à regarder, parce que -M-, parce que Vanessa, parce que c'est bon comme ça...
"Il était donc incontournable de conserver une trace de la tournée, sa préparation, ses tours de chauffe, son incroyable énergie, sa magie et – surtout – les retrouvailles de Vanessa avec un public toujours prêt à vivre l’idylle avec une artiste trop rare pour eux." (rocknfrance)
Vous ne connaissez pas (encore) le film des frères Poiraud : Atomik Circus ? Allons donc.
Ce film est un ovni dans l'univers du septième art. Son histoire est quasi impossible à raconter, ou pas assez mise en valeur tant les ressources sont cachées, ensuite il est inimaginable de ranger ce film dans une case. Atomik Circus ne correspond à aucun genre !
Comédie déjantée, science-fiction qui vire au gore, pastiche du 2001 odyssée de l'espace, road-movie, western... Bref, c'est pas gagné !
Le pitch : Skotlett City est toujours traumatisée par la catastrophique grande fête de la tarte à vache. James Bataille a d'ailleurs fini en prison et cette fois-ci il s'en échappe, bien décidé à retrouver Concia, sa fiancée qui veut devenir chanteuse de country. Mais malheureusement, tout ne se passe pas comme il l'aurait souhaité... Les éléments se déchaînent contre lui : des étoiles de mer en provenance d'un autre monde se collent sur les visages des gens, le futur impresario de Concia, Allan Chiasse, se transforme en monstre tentaculaire, sa bimbo, la sexy Kitty également, le Sam Paradiso bar est décimé. Cela paraît beaucoup pour ce petit village et pourtant ce n'est qu'un début...
J'avais pourtant lancé l'avertissement : on ne peut pas raconter ce film !
Le résultat, lui, est délirant. A mes yeux, c'est désopilant, balourd, maladroit, incontrôlable, agaçant et dé-jan-té ! La caméra bouge sans arrêt, on a plus d'une fois le sentiment - profond, très profond - d'assister à une série Z. Et malgré tout, ce film n'est pas une daube !
Pour commencer, il y a un réel esthétisme, derrière l'absurde, avec des images superbement léchées, donc très belles. Le cadre est celui d'un semblant de bayou, empesté de poussière ocre, de boue, de crasse. Non ce n'est pas abject ni déprimant. On est littéralement transporté dans cet ailleurs non-identifiable.
Et puis les acteurs jouent à fond le côté feu-follet, notamment Vanessa Paradis en Concia, un caractère candide, souriant et lumineux ! (Oui, voilà aussi pourquoi je me suis intéressée à ce film, aussi pourquoi je l'aime, mais pas seulement. Car je ne suis pas qu'une admiratrice aveugle et sans objection, je pourrais citer, en exemple, mon ennui pour le film de Serge Frydman, "Mon ange", que je trouve glauque et déprimant, malgré des scènes magnifiquement filmées. Voilà c'est ainsi, on ne peut pas tout aimer, même si on reste assez accro !)
Donc Vanessa Paradis interprète un rôle qui chante, et ça lui va à merveille. Dans Atomik Circus, elle est radieuse ! Elle entre dans la danse, devient une nana qui vit dans un bouge et rêve de se produire sur scène. Elle rencontre un type assez filou (Benoît Poelvoorde), ne se rend pas compte de sa malhonnêteté et boit ses paroles. La jeune fille vit sous la coupe d'un papa (Jean-Pierre Mariel) qui est un râleur fini, sauf que - on s'en doute - c'est un gros coeur d'or et un nounours prêt à tout pour protéger la prunelle de ses yeux. Elle est aussi l'amoureuse de James Bataille, un motard audacieux, un rebelle qui ne vit que pour sa belle. (Amateurs de romance, passez votre chemin, ce film n'en fait guère l'étalage !)
Les frères Poiraud ont su réaliser un film particulièrement fantasque, très original (hélas boudé par le succès public). Pour qui aime l'esprit rock-n-roll et exubérant, la divine miss Paradis qui s'illustre sur une bande-son de haute couture (merci The Little Rabbits), les pastiches de comédies et autres brassages hautement culturels, bref ce film est pour vous !!!
L'année fut définitivement divine et idyllique ! ...
Voici deux chansons qui figurent parmi le top 5 de nos préférées !
Elles deviennent - sans conteste - l'hymne de ce blog tout rose ...
Les mots sont, les mots font, les mots disent Les mots coulent, les mots roulent sur un fil Moi, je laisse ces microbes, ces missiles Aux bavards, aux poètes si possible
...
Vous avez saisi c'est fusionnel L'un a ses idées et l'autre ses ailes Alors les séparer devient criminel A se faire incendier sur la grande échelle