Introspection (Gardienne de l'ombre #2) par Alice Gabaud
Eh bien, après lecture de ce tome 2, j'avoue être conquise encore une fois ! Pour mémo : Initiation (T.1)
Si Lyana a rapidement trouvé sa place parmi les Gardiens, elle se questionne toujours sur ses origines. Ses souvenirs se réveillent petit à petit, mais lui révèlent des détails de plus en plus obscurs. Ou disons qu'elle redoute de tout comprendre et mène ses recherches dans le dos de ses proches.
En apparence, elle s'active auprès de son escouade pour déjouer les plans d'un braquage de banque. L'enquête va occuper beaucoup de son temps, la mission ne se déroulant pas toujours selon leurs attentes et la pression de l'Élite résonnant comme une sentence.
Toutes ses préoccupations vont impacter sa relation avec Ayel. Ouille, ouille, ouille. Lyana va agir comme une idiote en pensant le protéger. Absence de communication, non-dits et conclusion hâtive - ça vous dit ? Soupirs en cascade.
J'ai souvent eu envie de braire face à ces incohérences. C'est comme pour la tante de Lyana. Je pensais que son cas serait une pièce du puzzle, pour l'instant non. Du drame pour du drame ? Je m'interroge, d'où mon ressenti bof bof en attendant des réponses.
En bref, je chipote (légèrement) car j'ai tout de même beaucoup aimé ma lecture (que j'ai écoutée quasiment d'une traite). À ce propos, je rappelle qu'il s'agit d'une série YA (auto-éditée) mêlant surnaturel, magie et mythologie. À l'instar du premier tome, j'ai trouvé le rythme entraînant, l'histoire plus complexe qu'en apparence. La tension monte et vient nous cueillir promptement. C'est très sympa, à lire ou à écouter. Le fond est un peu gauche mais le potentiel est indiscutable. Hâte de lire le prochain (smacks Ayel).
©2021 Alice Gabaud (P)2021 Audible Studios
- Lu par : Céline Melloul
- Série : Gardienne de l'ombre, Volume 2
- Durée : 8 h env.
- Série également disponible en format ebook & broché.
⭐⭐⭐⭐


Voilà un bon roman à suspense se déroulant dans un village isolé des montagnes tarnaises (durant les années 20). L'enquêteur, Martial de la Boissière, ressemble à ce qui deviendra plus tard un criminologue. Il est membre du Cercle Cardan dont la vocation est de démontrer le pragmatisme derrière chaque légende urbaine, dénoncer les entourloupes et autres supercheries dites surnaturelles.
Léa est passionnée par le basket qu'elle pratique depuis toujours. Elle est entraînée par son père, lui aussi un ancien champion. Et son chemin semble tout tracé : la demoiselle vise l'excellence, pas moins. Elle se plie à une discipline stricte. Elle respire le basket. C'est son souffle de vie. Lorsque la sélection tombe, pour intégrer l'INSEP, elle est folle de joie. Pas à pas, elle touche au but ultime.
Quelle douce surprise ! J'avais une petite appréhension avant de me lancer dans cette lecture, car je ne voulais pas retrouver un simili Jenny Colgan. C'est bon et chaleureux, oui... mais je ne voulais pas un truc trop mièvre non plus. Au final, ce roman a été une agréable découverte. C'est frais et charmant. Ça fait un bien fou. Avec une fin qui a un goût de revenez-y sans tarder.
Si vous avez l'habitude de suivre mes lectures, vous n'ignorez pas combien je suis attirée par les romans traitant des vieilles demeures anglaises et des secrets de famille. J'adore ça. Ce roman de Hannah Richell me promettait donc une belle part de cake. Je n'ai pas hésité à me servir. D'emblée, l'histoire m'a séduite. Je suis sensible aux ambiances et aux drames intimes qu'on chuchote et qui s'imprègnent dans les murs des maisons. Il n'y a qu'à tendre l'oreille...












