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Chez Clarabel
jk rowling
6 janvier 2015

Le Ver à Soie, de Robert Galbraith

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Auréolé de son récent succès dans l'affaire Lula Landry (cf. L'Appel du coucou), Cormoran Strike voit son business de détective privé prendre enfin l'essor espéré. Il peut désormais traiter les dossiers selon son bon vouloir, et non plus pour renflouer des caisses désespérément vides, assurer sa survie, payer son loyer, prouver qu'il n'est pas un raté, etc.

Lorsque la petite Mrs Quine, épouse de l'écrivain Owen Quine, se présente à son bureau, déboussolée et ruisselante de larmes, Cormoran est saisi de compassion. Son mari a disparu de la circulation, soit-disant pour fignoler son dernier roman. Sa maison d'édition balaie tous les doutes possibles : elle n'est au courant de rien ! Ceci dit, Owen Quine venait de mettre le point final à un ouvrage sulfureux, qui tournait en dérision sa famille et ses proches. L'homme n'était plus à un scandale près et prenait plaisir à multiplier les audaces pour regagner l'intérêt du public. Il semblerait, hélas, que son énième tentative ait provoqué la colère de trop.

Les suspects ne manquent pas, les pistes non plus, c'est ce qu'on découvre au détour des chapitres de ce roman passionnant, classique dans sa ligne de conduite, mais toujours hyper efficace pour captiver l'amateur d'intrigues finement troussées, au suspense psychologique redoutable. C'est toujours bon aussi de retrouver Cormoran et son assistante Robin, dont la relation ne cesse de s'étoffer, entre complicité professionnelle et amitié sincère. Le quotidien de la jeune femme est pourtant mis à mal. Son couple formé avec Matthew est toujours sur la corde raide, Robin étant tiraillée entre son besoin d'épanouissement personnel et ses rêves de petite fille... Cormoran aussi nous ouvre les portes de son intimité, en croisant ses amis ou son demi-frère, le seul membre de sa famille paternelle à se soucier de lui. L'homme fait montre d'une certaine sensibilité, sur laquelle il ne s'étend pas, mais qui se révèle très touchante !

Robert Galbraith (= J.K. Rowling) réussit un véritable tour de force : à la fois nous passionner pour l'enquête, pour son issue, sans réellement soupçonner l'identité du coupable, et pour la vie de nos hérosSans bouleverser les codes du genre, le roman s'y attache et touche sa cible. On est séduit par tant de finesse, par la minutie des détails et la construction de l'intrigue. On s'impatiente déjà pour la suite ! 

Audiolib, décembre 2014 ♦texte intégral lu par Philippe Résimont (durée : 17h 05) ♦ traduit par Florianne Vidal pour les éditions Grasset

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30 juillet 2014

Harry Potter à l'école des sorciers, de J. K. Rowling & Lu par Bernard Giraudeau

Harry Potter à l'école des sorciers de J

Cet été, je pars à Poudlard !
Virtuellement, s'entend. Je viens en effet d'écouter le 1er tome de la saga, qui est intégralement lu par Bernard Giraudeau (la 1ère édition date de 2004). L'acteur prête à chaque personnage une voix propre (au risque, parfois, de surprendre et décontenancer), mais délivre là un magnifique jeu d'interprète pour une lecture enlevée, vivante et chaleureuse des aventures du plus célèbre des apprentis sorciers.
Cela m'a permis, par la même occasion, de découvrir ce tout premier tome que je n'avais jamais lu ! Bien évidemment, j'ai été complètement fascinée. Ce livre pose ses marques, installe un univers, des personnages, une trame romanesque follement captivante... tout ne demande qu'à se développer, mais c'est déjà un véritable enchantement.
J'ai aimé renouer avec les origines de la série, rencontrer les Weasley et adopter leur formidable esprit de famille, me familiariser à la magie en même temps que les jeunes héros, aimer Neville (déjà) et déceler en Hermione une jeune fille vulnérable, se sentant seule et sans ami. Bref, tout un tableau à peindre, un monde à construire, à explorer et fantasmer ! (Au cinéma, Chris Columbus a réalisé un travail titanesque... et époustouflant ! Tout y est.)
Par contre, j'ai failli être déconcertée lorsque j'ai d'abord découvert les voix attribuées à Hagrid ou Ron (un peu débilitantes), mais aussi la lecture linéaire des noms des personnages, Malfoy ou Granger en français dans le texte (entendez [oi] ou [é]... une hérésie !). Ce choix n'a toutefois pas manqué de m'arracher un sourire. ^-^
Cela n'altère en rien le charme dévastateur de cette lecture, que je redécouvre avec enthousiasme et une passion qui ne s'essouffle guère. Je poursuis bien évidemment l'aventure !  ♥

Gallimard jeunesse, coll.  Écoutez lire, rééd. octobre 2013 ♦ texte intégral lu par Bernard Giraudeau (environ 8 heures d'écoute) ♦ traduction de Jean-François Ménard

10 février 2014

L'Appel du Coucou, par Robert Galbraith

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Un soir d'hiver, la célèbre top-model, Lula Landry, fait une chute mortelle depuis le balcon de son appartement de Mayfair. Les conclusions de la police décrètent qu'il s'agit d'un suicide. Trois mois plus tard, le frère de la victime, l'avocat John Bristow, se présente chez le détective Cormoran Strike. Il est éploré depuis la mort tragique de sa soeur car il ne croit pas en la thèse du suicide et réclame une révision du dossier. D'abord réticent, Strike finit par accepter l'enquête (notamment pour renflouer ses caisses vides).

Dans le même temps, il reçoit sa nouvelle secrétaire intérimaire, Robin Ellacott, qui comprend rapidement dans quel bouge elle vient d'atterrir. Les affaires du privé sont au point mort, le type est un ancien militaire, de la Brigade spéciale d'investigation, rendu au civil après une blessure à la jambe. Il vient de rompre avec sa richissime fiancée, mis à la porte, obligé de crécher dans son bureau, Strike est au bord du gouffre. Il doit aussi rembourser une dette, reçoit des menaces de mort, voilà à quel quotidien s'oblige la jeune femme !

Et pourtant, Robin prend peu à peu goût à cette ambiance décalée et sordide, elle s'implique dans ses recherches pour Cormoran, s'investit dans son travail et se surprend à aimer ça. Strike opère de façon méticuleuse, épluche tous les articles de la presse, rencontre les proches de Lula, met bout à bout tous les morceaux du puzzle qui se reconstitue à fur et à mesure. Car le bougre va réussir à arracher la vérité à cette sombre affaire où fleurent aussi les secrets familiaux, les intérêts personnels, les trahisons, mensonges et autres vilains secrets.

Bluffée, non je ne l'ai pas été, car ça reste tout de même une enquête très classique, construite de manière traditionnelle, sans être rébarbative non plus. J'ai en effet pris un plaisir fou à suivre les pérégrinations de notre détective désabusé (et j'ai adoré son assistante de choc !). C'est incontestablement une lecture qui se laisse parcourir en toute aisance et simplicité. Sûr que la véritable identité de l'auteur a largement contribué au succès du livre, au risque d'en lasser d'autres et de décevoir encore et toujours les plus nostalgiques... Pour ma part, j'ai appris qu'il y aurait d'autres livres avec le détective Cormoran Strike et je m'en réjouis d'avance !

La version audio est une pleine réussite, grâce à Lionel Bourguet qui livre une interprétation haletante, “rendant palpable l'inquiétante noirceur de ces personnages apparemment festifs que l'on croise au coin d'une rue, la nuit”. En somme, on ne décroche pas avant la fin, on frissonne, on s'interroge, on savoure cette ambiance londonienne et le déroulement conventionnel de l'intrigue. Très, très bien !

Audiolib, janvier 2014 - texte intégral lu par Lionel Bourguet (durée d'écoute : 18h 23)
Traduit par François Rosso pour les éditions Grasset.

13 mars 2013

“Things denied, things untold, things hidden and disguised.”

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J'ai attendu que le buzz autour du nouveau roman de JK Rowling s'essouffle pour enfin saisir l'occasion de découvrir ce qu'il recelait. Et ma foi, je n'ai pas du tout été déçue ! C'est franchement une lecture brillante, captivante et très amère que l'auteur nous propose, chacun jugera selon sa sensibilité, pour ma part j'ai été embarquée dès les premières pages.

Tout commence par le décès brutal de Barry Fairbrother, la quarantaine, époux et père de famille comblé. Il était également membre du conseil paroissial, c'est d'ailleurs le petit détail qui fera toute la différence, car à l'occasion de l'élection du nouveau membre, une série de passions intimes va se déchaîner.

Les chapitres sont dans l'ensemble assez courts, car ils permettent un tour d'horizon pointilleux sur la communauté de Pagford, une bourgade charmante, qui se veut chic et noble, mais qui souffre d'une épine dans le pied avec l'implantation d'une cité et une clinique de désintoxication. Une partie de la société rétrograde trouve que cela fait désordre dans le paysage, et voudrait refourguer le paquet à la commune voisine, Yarvil.

Evidemment, Barry Fairbrother était un partisan de cette cité nommé Les Champs, dont il était originaire et avait su s'élever en devenant un membre respectable et respecté de la petite ville. Il avait d'ailleurs pris sous son aile la jeune Krystal Weedon dans son équipe d'aviron, afin de l'éloigner de son milieu désœuvré avec sa mère junkie, son petit frère surveillé par les services sociaux, tout ça sans père ni boulot.

On découvre tout un petit noyau de personnalités assez caractéristiques, la veuve éplorée et rancunière, le meilleur ami sentimentalement instable, le grand manitou qui pousse son fils à se lancer en politique, l'épouse de celui-ci qui noie son ennui dans l'alcool, la femme médecin aux nerfs fragiles, l'assistante sociale qui a cru avoir droit à sa part de bonheur, le type aigri qui se défoule en tabassant ses proches, sans oublier les adolescents, autres éléments déclencheurs, car ils sont les spectateurs désabusés de cette foire aux monstres, et eux aussi ont leurs comptes à régler.

Ce regard posé sur notre société est cynique, sans concession et sans équivoque. Pour ceux qui en seraient restés à une vision magique et enchanteresse de l'univers de Harry Potter, ils trouveront matière à être bousculés et à regretter ce changement de registre. En ce qui me concerne, j'ai été bluffée. J'ai opté pour l'écoute en Audiolib de cet épais roman de plus de 600 pages, du coup cela représente pas loin de 21 heures de lecture attentive. C'est impressionnant, mais honnêtement je n'ai pas vu le temps passer et j'ai été captivée par cette magistrale orchestration, qui a bien su souligner l'intensité dramatique au fil des chapitres.

Une place à prendre, par J.K. Rowling
Texte intégral lu par Philippe Résimont / Traduit de l'anglais par Pierre Demarty
Grasset, 2012 - Audiolib, 2013

14 février 2013

11 Unforgettable YA Kissy Scenes

1. Shatter Me by Tahereh Mafi

First, there was the shower scene with perfect Adam.

“And he’s kissing me. Once, twice, until I’ve had a taste and realize I’ll never have enough. He’s everywhere up my back and over my arms and suddenly he’s kissing me harder, deeper, with a fervent urgent need I’ve never known before.”

 

 

2. Unravel Me by Tahereh Mafi

And then there was Chapter 62 with perfect Warner. Between this chapter and the shower scene no wonder Juliette is so torn.

“I feel his lips against my shoulder, soft and scorching and tender, so gentle I could almost believe it’s the kiss of a breeze and not a boy.”

 

 

3. The Unbecoming of Mara Dyer by Michelle Hodkin

Caution: kissing like this might make you forget a lot of things.

“He would kiss me, right now, after everything I’d done. I was poison, and Noah was the drug that would make me forget it.”

 

 

4. Fangirl by Rainbow Rowell

There’s more kissing later in Fangirl, but we love Cath and Levi’s first stolen kiss.

“Levi’s kisses were all taking. Like he was drawing something out of her with soft little jabs of his chin. She brought her fingers up to his hair, and she couldn’t open her eyes.”

 

 

5. Under the Never Sky by Veronica Rossi

Why can’t all first kisses be like Aria and Perry’s?

“They molded together, fitted against one another with stunning perfection. Aria had never felt as she did now, exploring the taste of him. Feeling the strength of his arms around her. Inhaling sweat and leather and woodsmoke. His scents. She felt as though she’d found a moment of forever. Like this was how they should’ve always been.”

 

 

6. The Crown of Embers by Rae Carson

You may think kissing in a sewer would be unappealing, but you’d be wrong.

“Suddenly, he yanks me against him and bends his head to kiss me. I melt into him as his fingers tangle in my wet hair. My mouth opens to his, and our tongues meet for the briefest instance before he pulls away.”

 

 

7. Divergent by Veronica Roth

Sometimes it’s the moment right before the kiss…

“Are you asking me to undress, Tris?”

That makes the kissing even better.

We kiss again, and this time, it feels familiar. I know exactly how we fit together, his arm around my waist, my hands on his chest, the pressure of his lips on mine. We have each other memorized.”

 

 

8. The Miseducation of Cameron Post by Emily M. Danforth

Sometimes perfect doesn’t even begin to cover it.

“I turned around and found her face, and her mouth was already waiting like a question. I’m not gonna make it out to be something that it wasn’t: It was perfect—Coley’s soft lips against the bite of the liquor and sugary Coke still on our tongues. She did more than just not stop me. She kissed me back.”

 

9. Harry Potter and the Deadthly Hallows by J.K. Rowling

The kiss that was seven books in the making. Was it worth the wait? Yes, yes it was.

“There was a clatter as the basilisk fangs cascaded out of Hermione’s arms. Running at Ron, she flung them around his neck and kissed him full on the mouth. Ron threw away the fangs and broomstick he was holding and responded with such enthusiasm that he lifted Hermione off her feet.”

 

 

10. The Distance Between Us by Kasie West

Things really heat up between Caymen and Xander in the kitchen.

“He takes me by the waist and lifts me onto the counter. I wrap my legs and arms around him and press my lips to his.”

 

 

11. Aristotle and Dante Discover the Secrets of the Universe by Benjamin Alire Sáenz

Sometimes the second kiss is better than the first.

“I took him by the shoulders. I looked at him. And he looked at me. ‘You said I wasn’t scared of anything. That’s not true. That’s what I’m afraid of. I’m afraid of you, Dante.” I took a deep breath.
     ‘Try it again,’ I said. ‘Kiss me.’
     ‘No,’ he said.
     ‘Kiss me.’
     ‘No.’ And then he smiled. ‘You kiss me.’
I placed my hand on the back of his neck. I pulled him toward me. And I kissed him. I kissed him. And I kissed him. And I kissed him. And he kept kissing me back.”

source : http://www.epicreads.com/blog/

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5 novembre 2007

Retourne à la vraie vie, Moldue Mordue !

Bah voilà, c'est fini ! Harry Potter vient de me lâcher la main, de me quitter, après 809 pages d'aventures qui ont mis mes nerfs à rude épreuve. Je pensais sortir de cette lecture effondrée, complètement liquifiée et puis non ! Je me sens heureuse et ravie ! (alors cela ne détermine pas l'orientation du bouquin et la façon dont il se termine, c'est juste ce que tout ceci m'inspire,  maintenant que c'est fini !...)  Ce n'est pas un sentiment d'abandon, se dire que ça y est, l'univers créé par JK Rowling vient de fermer ses portes, qu'il ne nous reste plus que des bribes, des souvenirs, bons et douloureux, et qu'il faudra se contenter des miettes désormais. Bah non, étonnament je me sens en paix ! 

** aucune spoiler ne sera dévoilé !!!! **

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Je fais donc partie des nombreux lecteurs complètement mordus de la saga Harry Potter. Moi aussi j'ai imaginé des tas de suppositions, j'ai craint pour la vie de untel ou de l'autre, j'ai refusé d'admettre l'impensable et je me suis ainsi longtemps demandé comment - mais, comment ! ? ! - allait se dépatouiller l'auteur avec sa fin de série. Pas facile, entre nous...

Parce qu'à bien lire et relire le début des aventures, les indices étaient probants : le destin de Harry est lié à celui de Vous-Savez-Qui, et donc ... Brrr ! Un face-à-face doit avoir lieu, les deux ennemis ne peuvent occuper l'un et l'autre le même territoire, imaginez donc : le bien contre le mal. Non, il faut trancher. Et il faut bien admettre que depuis quelques tomes, l'avenir était assez sombre pour l'Ordre du Phénix et l'armée de Dumbledore. Le Seigneur des Ténèbres étend son pouvoir sur le ministère, sur la banque des Gringotts et même sur Poudlard ! Harry est pourchassé, ciblé comme l'Indésirable selon les uns (et le Survivant, par les autres !).

Et depuis la fin du tome 6, Harry Potter est investi d'une mission secrète qu'il va décider de mener à son terme en compagnie de ses fidèles Hermione et Ron. Mais nul autre ne doit être tenu au courant du propos de cette quête ! Ainsi, ce tome 7 continue de s'enfoncer dans la tonalité déjà éprouvée depuis la fin du tome 4 (La Coupe de feu) avec une ambiance lourde, flippante, tantôt capturée par les doutes et les questionnements et aussitôt saisie par les rebondissements, les scènes d'affrontements avec les Mangemorts. Tandis que les partisans du Mal accomplissent leurs méfaits avec arrogance, la résistance peine à s'organiser depuis le départ de Harry, forcé de se cacher pour poursuivre sa propre mission ordonnée par Dumbledore.

Mais c'est justement l'heure propice pour les détracteurs de salir l'image de l'ancien directeur de Poudlard en répandant dans la presse et un livre à scandale les pires horreurs sur le personnage, son passé et les erreurs commises par celui-ci. Tout ceci fait que Harry perd de plus en plus confiance en lui-même et se demande s'il n'est pas qu'une marionnette entre les mains de l'homme qu'il vénérait ! Et tout lecteur passionné que l'on est, on se dit que "aïe, aïe" le moindre voile d'incertitude est la porte ouverte aux cauchemars et à l'Ennemi.

Je ne pense pas en dire davantage, c'est tellement dense et touffu qu'il ne faut pas dénaturer ce gros pavé en tirant quelques morceaux. Cela sortirait de son contexte et cela deviendrait tout à fait dangereux. J'ai tellement veillé à ne pas saisir la moindre fuite sur ce dernier tome (j'avais hélas lu LA révélation du tome 6 par mégarde !!!). C'est pourquoi je vais respecter la même ligne de conduite.

Je crois que, selon ses attentes, tout lecteur sortira de ce tome 7 avec un sentiment de bien-être ou de frustration. De toute façon, c'est BIEN ! Comme d'habitude ce dernier livre montre une grande intelligence, véhicule des valeurs honorables, fait sursauter et trembler du début à la fin. Beaucoup d'émotion aussi, mais moins de larmes que prévu ! Enfin bref, il est à l'image de ce qu'on espère. La série avait débuté dans un esprit bon-enfant et se termine en apothéose. Jamais la tension ne faiblit, jamais les personnages ne déçoivent, jamais l'auteur ne pêche ou ne tombe dans la facilité - c'est la dernière ligne droite, celle de toutes les divulgations, tous les éclats et tous les dangers ! C'est LA FIN !  (retourne à ta vraie vie de Moldue Mordue !!!! ;o) )

Et comme d'autres, je pense maintenant à l'avenir de JK Rowling. Comment se reconstruire une autre 'vie' sans Harry ???

Harry Potter et les Reliques de la Mort (tome 7) - JK Rowling - Gallimard jeunesse. 809 pages -  26.50 €

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