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Chez Clarabel
16 mai 2013

“She was mine before she was yours.”

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Ce texte est court, puisqu'il s'agit d'une nouvelle de 60 pages, c'est assez frustrant et pourtant il a su me rappeler pourquoi j'avais autant aimé le roman de Lauren Oliver, [[Delirium]].

Cela raconte donc l'histoire éclair d'Hana, l'amie d'enfance de Lena, qui est à l'aube d'être opérée, vient de recevoir d'excellentes évaluations et a déjà été fiancée au fils du maire, ce qui comble d'aise la mère d'Hana. Pourtant, celle-ci a entrepris de sortir la nuit, de se rendre dans les fêtes interdites, de danser, de boire, d'embrasser un garçon, de tomber amoureuse. Hana plane sur son petit nuage, elle pense que Lena ne la comprend pas et blâme ses agissements. Son amitié lui manque, elle voudrait renouer le contact, mais Lena est distante. Aussi, lorsque Hana va retomber douloureusement sur la terre ferme, elle va nourrir une rancœur tenace, une jalousie naissante et très vilaine...

La lecture est rapide, mais poignante et laisse un arrière-goût d'amertume. La fin est choquante, révoltante mais elle colle parfaitement à l'esprit de la série, qui avait su si bien combiner les émotions diverses autour de la passion amoureuse et l'injustice d'être privé de ce droit le plus strict. Du coup, je lis le dernier tome, [[Requiem]], que j'aborde tout de même avec un peu d'appréhension !

Hana, par Lauren Oliver
Hachette jeunesse, coll. Black Moon, 2013 - Traduit par Alice Delarbre

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15 mai 2013

"La vie semblait soudain n'être plus faite que de problèmes."

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Malgré mon avis réservé concernant le premier tome (que je trouvais trop jeune, trop lisse et à l'intrigue convenue), j'avais envie de connaître la suite car je la pressentais plus disposée à me plaire. Cette fois, plus de temps perdu à planter le décor et à présenter les personnages, on pouvait entrer dans le vif du sujet et retrouver les jumelles, Clio et Thais. Celles-ci n'ont pas seulement découvert un nouvel héritage familial, elles ont aussi des chagrins d'amour à panser, des sortilèges à lancer, des dangers à déjouer.

A sa façon, Clio est un personnage plus attachant. C'est une chipie, sûre de son charme, qui a toujours baigné dans la magie, mais qui ne se comporte pas non plus comme une garce avec sa sœur, Thais, plus naïve, avec son look de première de la classe, qui fait tomber tous les garçons, en particulier celui pour qui Clio a craqué également. Doit-on présager des rivalités entre sœurs ? Même pas !

Finalement, c'est bien pour ça que j'éprouve un certain plaisir à me plonger dans cette série, pour son esprit bon enfant (et son univers sur la wicca !). Partant du principe qu'elle s'adresse avant tout à un public très jeune, j'accepte donc plus facilement les petits travers et autres défauts pas bien méchants. Toutefois, l'histoire s'enrichit mine de rien de quelques pointes de suspense, de drames amoureux en souffrance, de secrets à couver, d'amis à trahir et d'alliances à rompre sans le moindre remords. C'est presque comme un feuilleton, mais en plus soft.

Petite frustration, tout de même, sur la fin ... que j'espérais plus haletante, plus excitante. C'est loin d'être le cas ! Cate Tiernan a préféré ménager son suspense et avance ses pions avec une placidité déconcertante. Attention à ce que l'ensemble ne tombe pas dans le plan-plan non plus !

Balefire, tome 2 : Cercle de cendres, par Cate Tiernan
Msk, 2013 - Traduit par Anne-Sylvie Homassel

15 mai 2013

►►► La rivière noire ◄◄◄

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Ce tome s'inscrit juste après [[Hypothermie]] et le départ d'Erlendur vers les terres de son enfance. C'est Elinborg que nous suivons donc, à travers une enquête délicate qui met à l'honneur le caractère sensible et très féminin de son personnage. Un homme a été égorgé dans son appartement, mais fait étrange, la victime serait avant tout un prédateur sexuel, ayant coutume de droguer ses cibles avant d'abuser d'elles.
 
Ce livre pourrait faire froid dans le dos, dès lors qu'il révèle les failles de la justice islandaise qui punit très faiblement les auteurs de crimes à caractère sexuel. Finalement, j'ai davantage trouvé une dimension pudique et d'une grande sensibilité au récit. Probablement que le personnage d'Elinborg y est pour quelque chose ! On la découvre dans son rôle de compagne, auprès de Teddi, un mécanicien pépère et attentif, et dans celui de mère, avec des enfants qui grandissent, qui ont leurs secrets, et qu'elle a du mal à comprendre.

C'est donc un tome sans Erlendur qui défend honorablement ses chances, j'aime beaucoup la touche féminine qu'a su apporter Elinborg, comme j'avais également apprécié de mieux découvrir Sigurdur Oli dans [[La Muraille de lave]]. L'histoire traite du sujet douloureux qu'est le viol, et de l'éventualité d'une vengeance personnelle face à l'inertie (ou la trop grande clémence) des hautes instances du pays. Très bonne interprétation de Jean-Marc Delhausse, qui a lu les 4 titres édités chez Audiolib jusqu'à présent. 

La rivière noire, par Arnaldur Indridason
Audiolib / Métailié, 2011 - Traduit par Eric Boury
Texte intégral lu par Jean-Marc Delhausse (durée d'écoute : 9 h 04)

14 mai 2013

"... l'oubli n'est pas seulement une forme du souvenir, mais le souvenir est une forme de l'oubli."

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C'est probablement un livre qui a été écrit pour moi. Il est en effet question d'une maison et d'une famille où il n'y a que des filles. Le reste, c'est de la poésie, de la gourmandise, de la nostalgie, de la tendresse et de la délicatesse. Comment résister ?

Iris vient d'hériter de sa grand-mère Bertha la grande maison de Bootshaven, dans le nord de l’Allemagne. C'est l'été, le jardin regorge de couleurs et de senteurs, subrepticement tous les souvenirs d'enfance lui reviennent à la pelle : la maladie de Bertha, à la mémoire défaillante depuis sa chute du pommier, les balades dans la campagne, près de l'écluse, les heures à plonger ou nager dans le lac, sa cousine Rosemarie et leur amie Mira, les tragédies, la mort, les histoires d'amour naissantes, les trahisons, le désespoir, la jalousie...

Tout ça en un lent et langoureux va-et-vient avec le présent, où Iris fouille les placards, revêt les vieilles robes de bal de ses tantes ou sa mère, croise avec nonchalance Max, le jeune avoué qui doit régler les questions de succession. C'est une lecture qui doit se vivre, être ressentie comme un cadeau, ou être considérée comme un écho à vos propres souvenirs. Ce roman aborde d'ailleurs la délicate suggestion de la mémoire et de l'oubli, avec les histoires qu'on se construit à partir des souvenirs qu'on se force à faire renaître, ou qu'on tente d'inventer.

C'est une lecture que j'ai savourée, en regrettant sincèrement la fin et le moment de devoir dire adieu aux fantômes de Bootshaven, à Iris et à sa fabuleuse histoire familiale. Très belle et passionnante version Audiolib, comme d'habitude !

Le goût des pépins de pomme, par Katharina Hagena
Audiolib / Anne Carrière, 2010 (existe en format poche) - Traduit de l'allemand par Bernard Kreiss
Texte intégral lu par Cachou Kirsch

"J'aimais lire et manger en même temps (...). C'était merveilleux les histoires d'amour avec une portion de gouda, les récits d'aventures avec du chocolat aux noisettes, les drames familiaux avec du muesli, les contes de fées avec des caramels mous, les romans de chevalerie avec des cookies..."

Un grand merci à Bladelor pour la découverte ! ♥

13 mai 2013

C'est la nuit ! de Magali Bonniol

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C'est la nuit. Tout le monde dort, sauf le Petit Lapin en peluche d'Étienne.

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«Comme j'aimerais être un vrai lapin sauvage et me promener sous la lune !» se dit-il. Armé d'un crayon pointu, au cas où il rencontrerait un renard, Petit Lapin s'aventure dans le jardin.

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Et comme toujours dans la vraie vie, les choses ne se passent pas comme prévu. Les vrais lapins sauvages mangent des choux et n'ont pas du tout envie de se promener sous la lune. Quant au renard...

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Une histoire tendre, des couleurs qui rendent la nuit douce et apaisante, des petits animaux en vadrouille, des qui-sont-moqueurs, des qui-sont-curieux, des qui-sont-tristounets... demandez le programme ! C'est donc une histoire de rencontres, des bonnes et des autres, des belles et des étonnantes, de celles qui vous font rebondir et vous lever d'un pas guilleret le matin. Cet album est généreux, câlin et berce idéalement les enfants au moment du coucher. Une petite lecture, et zou ... au dodo !

C'est la nuit ! de Magali Bonniol (Ecole des Loisirs, mai 2013)

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13 mai 2013

“Never Forget Who You Are Because Its Like Forgeting Water Is Wet, The Sun Is Bright, Snow Is Cold.”

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Gene, le narrateur, est un humain qui vit parmi les vampires. Il doit, bien évidemment, masquer sa condition de pauvre homiféré en se faisant passer pour un vamp, aussi entretient-il une hygiène de vie irréprochable (se raser le corps, l'enduire d'une bonne couche d'onguent pour ne pas attraper de coup de soleil, ne pas transpirer, ne jamais sourire, afficher un air terne et stoïque, ne pas faire preuve d'intelligence en classe...). C'est son père qui lui a tout appris, avant que celui-ci succombe à son tour à une morsure.

Désormais seul, blindé pour survivre coûte que coûte parmi leurs ennemis, Gene se rend la nuit au lycée et tente de mener l'existence ordinaire d'un adolescent comme les autres. Lui aussi participe à l'excitation collective au sujet de la Loterie, qui consiste à désigner une poignée de gagnants pour participer à une traque monumentale des quelques homiférés élevés en batterie, nourris et soignés pour gâter les appétits des chasseurs.

Eh oui, c'est particulièrement glauque et peu ragoûtant, mais cela peut faire son petit effet auprès des lecteurs avides de sensations fortes. Pour ma part, je n'ai pas trop adhéré à cette histoire, où l'on ne nous explique pas pourquoi l'ennemi a pris la place de l'homme, ni pourquoi Gene tient absolument à se jeter dans la gueule du loup et à vivre au sein de leur communauté. Certes, il n'y aurait pas d'histoire non plus. Mais j'ai trouvé celle-ci maladroite, passable et racontée sur un ton morne et ennuyeux.

De plus, Gene n'est pas un héros digne de ce nom, au contraire il s'avère souvent couard et passif lors de circonstances déterminantes, au mieux il suit la tendance, au pire il subit ce qui se précipite autour de lui. Même son histoire d'amour avec l'éblouissante, mais non moins mystérieuse, Ashley June n'a pas su allumer la plus petite étincelle d'intérêt chez moi. En fait, j'ai fini par être exaspérée par le personnage de Gene, très mauvais dans son rôle, ce qui a altéré le plaisir que j'aurais pu avoir à découvrir ce roman.

Traqué, par Andrew Fukuda
Michel Lafon, 2013 - traduit par Benjamin Kuntzer

9 mai 2013

“Imagine there was a cure, but finding it would cost you everything. It would completely ruin your life. What would you do?”

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Encore un roman futuriste, qui emprunte cette fois sa ligne conductrice au conte de fées ! Cinder est notre Cendrillon des temps modernes. Elle est à moitié humaine et à moitié cyborg. Orpheline, elle a été placée sous la tutelle d'un scientifique, qui a été foudroyé par la létumose. Cette terrible maladie est en train de décimer la population de la planète, les gouvernements s'arrachent les cheveux pour trouver un antidote, même l'empereur de la Communauté asiatique est alité, à l'article de la mort, et son fils, le prince Kai, est accablé, d'autant plus que la reine Levana, du royaume lunaire, lui met la pression pour conclure des accords de paix impliquant une alliance conjugale.

Cinder est mécanicienne, dans un petit atelier tout sale sur la place du marché. Un jour, le prince Kai lui-même se présente à sa porte et lui demande de réparer son androïde. C'est urgent. Mais les événements vont brusquement s'accélérer autour d'elle : sa sœur va tomber malade, sa belle-mère ne va pas le supporter et va choisir de léguer le corps de Cinder à la recherche médicale. C'est là qu'entre en scène le docteur Erland, avec sa science et son savoir. On craint le pire et on sent le stress nous envahir. A partir de là, le suspense ne va cesser d'enfler !

Car, après un début assez ardu, dans lequel j'avais l'impression de m'engluer avec tous les détails techniques et les cyber-trucs, je n'ai pas tardé à m'enthousiasmer pour cette histoire passionnante. L'héroïne est foncièrement attachante, loin d'être une gamine naïve et spectatrice de son sort, elle est très indépendante et volontaire, ça fait plaisir ! Même son histoire avec le prince Kai se déploie en douceur, avec beaucoup de finesse et de pudeur. C'est adorable, pas du tout mièvre, ce qui a le don de me plaire davantage. Et puis l'intrigue autour des personnages est forte, habile, redoutable, on devine certaines ficelles mais on se laisse tout de même prendre au piège, c'est diabolique et envoûtant.

La série comptera exactement quatre tomes, la suite est déjà disponible en VO ( Scarlet) mais il faudra attendre un an pour la traduction française.

Cinder, par Marissa Meyer
PKJ. (2013) - traduit par Guillaume Fournier

8 mai 2013

"Une vie de femme est toujours un compromis."

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Ce roman possède un charme fou, il a eu le très bon goût de me transporter littéralement à Lyme Regis, sur la côte du Dorset, bercée par le son des vagues et des mouettes, ce qui a été fortement appréciable en cette saison printanière. L'histoire se passe au début du XIXe siècle, autour de deux héroïnes, Mary Anning et Elizabeth Philpot. L'une est jeune, issue d'une famille désargentée, frappée depuis toujours par la passion du fossile, inculquée par son propre père, l'autre est une vieille fille excentrique, indépendante et généreuse. Toutes deux ne devaient jamais se rencontrer, mais les circonstances en ont décidé autrement.

Ainsi, elles affronteront ensemble bien des tempêtes au cours des longues années qui ont jalonné leur amitié. Avec une période de creux, durant laquelle les deux femmes vont s'éloigner suite à une fâcherie pour un homme, puis par la faute de leur orgueil trop prononcé, car toutes les deux n'ont jamais cessé de penser l'un à l'autre, sans vouloir franchir le premier pas pour s'excuser ou demander pardon. C'est donc un roman sur la vie, un roman qui parle d'amitié, en plus d'être un roman qui évoque la place des femmes dans la société scientifique (Mary devra batailler pour qu'on reconnaisse ses talents et autres connaissances en matière de fossiles !).

Aussi, ce roman est tout simplement formidable. Doux et apaisant. Avec un sens du romanesque absolument parfait, sans la moindre faute de goût. Dès lors qu'on glisse un doigt de pied dans cette histoire, on n'imagine plus vouloir en sortir sans connaître la suite ou la fin ! L'histoire est lue par Danièle Lebrun de la Comédie-Française, pour le rôle d'Elizabeth Philpot, et Julie-Marie Parmentier, pour celui de Mary Anning. C'est un duo qui allie la force et la douceur, en plus de la sensibilité et de la petite note qui bouleverse sans en avoir l'air. C'est une promenade littéraire ravigotante, une bouffée d'air pur et une petite parenthèse enchanteresse. A déguster, les paupières closes, le casque sur les oreilles.

Prodigieuses créatures, par Tracy Chevalier
Gallimard, coll. Ecoutez Lire (2012) - Traduction d'Anouk Neuhoff

7 mai 2013

Bêtes de Fabian Negrin

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En voiture avec leurs parents, Giorgia et son jeune frère réclament une pause pipi, s'éloignent derrière les bosquets, jouent avec un petit bateau qu'ils viennent de trouver et se perdent dans la forêt.

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Ils se chamaillent d'abord à propos de la direction à prendre, mais petit à petit l'inquiétude les gagne, bientôt suivie par la peur.

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Les enfants ne sont pas perdus. Ils ont tourné en rond dans un tout petit bois qui jouxte le parking. Plus de peur que de mal donc, mais leurs émotions n'en sont pas moins intenses !

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Au fur et à mesure qu'ils éprouvent de forts sentiments, l'auteur les représente sous l'apparence d'un animal qui caractérise leurs sensations.

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En les transformant ainsi, l'auteur attire l'attention du lecteur sur ce qu'ils éprouvent et la force avec laquelle ils l'éprouvent. Il montre aussi aux jeunes lecteurs que la réalité n'est pas toujours ce qu'elle semble être.

Une histoire subtile, au texte plein d'humour et aux illustrations magistrales et légèrement inquiétantes.

CET ALBUM EST DE TOUTE BEAUTÉ ! J'ai beaucoup aimé l'interprétation donnée aux sentiments via une métamorphose animale. C'est ludique et très intelligent. Un texte riche en nuances, très élégant.

Bêtes de Fabian Negrin (Seuil jeunesse, novembre 2012)

7 mai 2013

Raymond, sexyback ! ♥

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Retour gagnant pour notre ami Raymond, avec ses cheveux roux, ses lunettes de vieux, son pull aux couleurs moches et son prénom de caniche (ça, c'est sa voisine Lucile qui le dit). Comme celle-ci vient d'ailleurs de lui faire comprendre, Raymond n'est pas un loser (un gros nul). C'est juste un rebelle, mais il ne le sait pas ! C'est sa théorie pour expliquer pourquoi il  ne fait rien comme tout le monde, pourquoi il a du mal à plaire aux filles et pourquoi il n'est jamais à la mode. D'où le look Village People peu de temps après, avec ses deux potes, Yvon et Marcello...

Ceci n'est qu'une anecdote parmi tant d'autres ! Car les nouvelles aventures de Raymond sont toutes impayables, je vous assure, j'ai pris encore plus de plaisir à bouquiner ce deuxième volume. C'est drôle, un peu débile, enfantin mais irrésistible. Prenez l'histoire de la photo de classe ... Humour très beurk, mais humour qui fait mouche ! J'ai ri, mais qu'est-ce que j'ai ri ! Et que dire du combat de Raymond pour prouver à sa petite copine Louise qu'il n'est pas un vrai gentil ? Tout ça parce qu'il est intimement persuadé que les garçons qui plaisent aux filles sont ceux qui se battent, qui répondent au prof et qui se font punir. "C'est nul d'être gentil, c'est niais, ça fait rêver personne !" ^-^

Avec son format grand cahier souple, son mariage entre le roman et la bande dessinée, cette série a le vent en poupe et assure à nos enfants (et pas seulement) un très bon moment de lecture ! Succès assuré. ♥

Raymond, tome 2 : Vive les potes ! par Romain Gadiou et Sébastien Tiquet (Nathan, 2013)

Dans la même collection, vous découvrirez aussi ce titre :

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La vie d’une bande de tout petits dinosaures dotés d’une ÉNORME imagination !

Cinq tout petits dinosaures associent leurs grands esprits pour monter les plans les plus improbables. Pas un jour sans une idée stupide : visiter les intestins d’un brontosaure, faire le voyage jusqu’à la lune en morve spatiale, attendre la petite souris (tricératops, évidemment) ou encore chercher à démontrer l’existence du terrible Voldemorve.

-) Je n'ai pas tellement accroché, mais je connais de jeunes amateurs de dinos qui ne vont pas bouder leur plaisir !

Les énormissimes aventures des Dinominus, par Gary Northfield (Nathan, 2013)

  • A quand la suite des Zioups de l'espace, la série de Florence Langlois ?!
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