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Chez Clarabel
21 septembre 2018

Ce qu'il reste d'Alice, de T.R. Richmond

CE QU'IL RESTE D'ALICEPar une froide soirée d'hiver, à Southampton, la police repêche le corps d'une jeune femme qui vient de se noyer dans la rivière. Alice Salmon, journaliste de 25 ans, était à l'aube d'une carrière prometteuse. La veille, elle avait arrosé ses retrouvailles avec ses amies puis était rentrée chez elle, complètement pompette. Que s'est-il passé ensuite ?
Les circonstances sont assez floues (suicide, accident ou meurtre) mais déjà le sujet fait débat, sur internet et dans la tête des gens, on raconte tout et n'importe quoi. Pour faire taire ces ragots, un anthropologue proche de la retraite décide de rétablir la vérité sur Alice en dressant un portrait façon patchwork (enquêter, recueillir, colliger). La famille s'y oppose car le projet est trop personnel et impudique.
En effet, le Professeur Cooke se base sur des extraits du journal intime d'Alice, des messages postés sur le blog de son amie Megan, des notes prises par son petit copain Luke ou des lettres écrites à sa mère Elizabeth... sans compter que les motivations du bonhomme semblent également discutables.
C'est tout le suspense de l'intrigue - rapporter de nombreux détails et embrouiller le lecteur. Un pari risqué... et loupé car j'ai trouvé le roman très fouillis. L'auteur a cru bon tenter une expérience (une construction alambiquée sur les nouveaux outils de communication) mais ça reste artificiel et peu convaincant. Les personnages ne gagnent pas en noblesse. Le mystère est élucidé, mais sans gloire. Suis sceptique.

Traduit par Pascal Loubet pour les éditions Calmann-Lévy (2015) / repris au Livre de Poche

ce qu'il reste d'alice calmann levy

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20 septembre 2018

Désordre, de Penny Hancock

Désordre ldpC'est peu de dire que j'enchaîne les lectures avec des personnages cinglés et des histoires bizarres ! Cette fois encore, une femme en pleine dépression franchit la ligne jaune et séquestre un môme de 16 ans dans son garage. Sonia mène pourtant une vie confortable dans sa maison familiale, sur les bords de la Tamise, devenue également un sujet de dispute au sein de son couple. Son mari souhaiterait vendre, mais Sonia n'est pas prête. La maison fourmille de souvenirs. Même si sa solitude pèse sur son moral, elle a façonné son rythme de vie dans cet écrin, depuis que sa fille est partie à l'université et son époux en déplacement professionnel constant. Sonia vit désormais dans la nostalgie du passé et ressasse son aventure avec Seb... son frère. Adolescents, ils ont bravé tous les interdits, fait les 400 coups, vécu avec fougue et déraison. Mais Seb est mort et Sonia porte en elle la responsabilité de cette tragédie. Lorsqu'elle ouvre la porte au jeune Jez, elle se surprend à ressentir du désir. Rien de sexuel. Simplement, elle ressent pour lui un élan qu'elle veut à tout prix garder intact et décide alors de retenir le garçon sous son toit. Sans nouvelles, la famille va alerter la police dont l'enquête se focalise sur Helen, la tante du disparu (également une amie de Sonia). Le problème de Helen ? Elle boit. Beaucoup. Ses témoignages sont flous, son angoisse peu sincère. Heureusement la petite copine de Jez va croire en elle et s'allier contre tous pour éclaircir cette affaire. De son côté, Sonia reste imperturbable, conservant une parfaite maîtrise de la situation.

Je pourrais vous dire que le ton est glaçant, l'atmosphère étouffante et le désarroi immense. Sauf que le bouquin fouille également dans vos entrailles et vous noue l'estomac en infusant une peur panique indéchiffrable. On sentirait presque les effluves poisseux de la Tamise nous envelopper dans son brouillard... à nous d'en sortir. Ou pas. Je ne sais pas si j'ai réellement aimé ce roman, mais je lui reconnais des qualités indéniables. Comme d'avoir su me chambouler et d'être parvenu à m'ensorceler malgré moi. Un roman envoûtant et terrifiant, dit-on, c'est tellement vrai !

Sonatione Éditions (2013) - traduit par Julie Sibony - repris en Livre de Poche

Après Les Visages de Jesse Kellerman,
après Avant d’aller dormir de S. J. Watson,
après Les Apparences de Gillian Flynn,
la nouvelle découverte Sonatine.

Désordre Sonatine

 

19 septembre 2018

Emma dans la nuit, de Wendy Walker

Emma dans la nuit

Portée disparue depuis trois ans, Cassandra Tanner réapparaît miraculeusement et explique au FBI qu'elle a vécu sur une île, hébergée par un couple, loin de toute civilisation. Par contre, sa sœur Emma est toujours entre leurs griffes. Elle insiste pour la retrouver et explique, point par point, les raisons de leur fugue, veillant à ce que sa mère, Judy, n'en loupe pas une miette. 

Je me suis longtemps demandé si c'était du lard ou du cochon ce que confessait Cass, mais une chose est sûre, son histoire est très perturbante. C'est autre chose qu'un simple thriller avec des rebondissements et du suspense qui vous empêche de fermer l'œil. Ici, le cadre est posé, proche de huis clos, avec des aveux solennels et le tracé perfide d'une vengeance machiavélique. On découvre en effet le portrait d'une famille qui cherche à sauver les apparences, alors que tout va de travers. En tête : Judy Martin, décrite comme une perverse narcissique, mère tyrannique et femme vénéneuse. Entre ses filles et elle, s'est nouée une relation malsaine que la psychiatre, Abigail Winter, a décortiquée sous toutes les coutures. Emma et Cass ont ainsi fait front pour résister à son emprise, mais à quel prix ? Forcément, le malaise n'est pas loin, et la lecture assez désagréable car on suit un chemin laborieux à décrypter son propos. Par contre, j'applaudis la mise en scène (redoutable) qui nous mène en bateau et réussit à nous surprendre jusqu'à la dernière note. 

Bonne prestation des deux comédiennes, Clara Soares et Aurore Paris, choisies pour incarner Cassandra Tanner (la jeune sœur revenue de nulle part) et Abigail Winter (la psychiatre rigide et impassible).

©2018 Wendy Walker / Sonatine pour la traduction française. Traduit par Karine Lalechère (P)2018 Lizzie, un département d'Univers Poche

 

17 septembre 2018

La Coupure, de Fiona Barton

la coupureAprès la découverte d'un squelette de bébé, sur un chantier de Londres, trois femmes voient leur passé resurgir et réveiller les souvenirs enfouis.
Entre Angela, brisée depuis la disparition de son nouveau-né, Emma, marquée par une adolescence difficile et sa relation conflictuelle avec Jude, sa mère, convaincue d'avoir perdu son amant par sa faute, le lien semble donc invisible mais réel. Kate Waters, une journaliste en manque de scoop, pressent une histoire bien poignante à raconter dans ses colonnes. Elle a du flair et de l'empathie, assez pour avancer ses billes et détricoter les mailles des vieilles rancœurs tenaces.
Face à ces nombreuses pistes, j'ai ressenti beaucoup de confusion et de perplexité au cours de ma lecture. Le début est assez lent et étrange, car l'histoire met peu à peu en place des éléments, a priori ordinaires, qui se révéleront décisifs une fois qu'ils seront assemblés tous ensemble. En attendant, on prend notre dose de révélations sordides et d'ambiance sinistre. À vrai dire, le suspense n'est pas si haletant, le roman baigne dans le drame et l'émotion, pourtant rien n'est laissé au hasard et on attend avec une certaine fébrilité l'enchaînement des indices. Résultat, même si le roman de Fiona Barton n'est pas très original, il accroche bien son lecteur et distille une sensation oscillant entre le malaise et l'addiction.
J'ai apprécié aussi la réalisation du livre audio, avec plusieurs comédiens pour incarner tous les personnages du roman. C'est un choix judicieux de Lizzie, qui suit une ligne éditoriale convaincante (avec de bons acteurs et des titres d'actualité ou parmi les meilleures ventes).

©2017 Fiona Barton. Traduit par Séverine Quelet (P)2018 Fleuve Noir / Lizzie (un département d'Univers Poche)

la coupure lizzie

 

17 septembre 2018

Disparue, de Darcey Bell

« Il se peut que les disparitions provoquent chez moi un déséquilibre.
Que les chagrins libèrent un démon profondément enfoui. »

disparue darcey bellAprès l'accident qui a coûté la vie de son mari, Stephanie a choisi de vivre seule avec son petit garçon jusqu'à sa rencontre avec Emily, la mère du meilleur ami de son fils. Active et débordée par son boulot, elle fait souvent appel à Stephanie pour la dépanner.
Un jour, pourtant, Emily ne rentre pas à la maison et laisse sans nouvelles sa famille. Inquiète, Stephanie lance un appel sur son blog. Le temps passe. Et malgré tous ses efforts, l'enquête de police va faire chou blanc.
Convaincu de la mort de son épouse, le mari éploré va succomber au charme de sa voisine, la très dévouée Stephanie. Celle-ci a en effet pris place dans la vie d'Emily et substitué son rôle sans le moindre remords.
Car Stephanie a peu à peu découvert que sa meilleure amie avait aussi ses petits secrets. Depuis, elle n'est plus totalement sûre du lien sincère qui les unissait.
On perd vite pied dans cette intrigue sulfureuse, dérangeante et très troublante. Même les personnages sont des experts dans l'art de la manipulation. Et on n'est pas au bout de nos surprises.
Malgré le malaise qu'elle inspire, la lecture n'en demeure pas moins bluffante car on mord à l'hameçon et on se demande jusqu'où ce jeu de dupes va nous entraîner. On aime, on n'aime pas. En tout cas, le roman se lit d'une traite.

Pocket (2018) / Hugo Thriller (2017) - Traduit par Claire Desserrey 

Adapté sous le titre "L'ombre d'Emily" AU CINÉMA LE 26 SEPTEMBRE. 

disparue l'ombre d'emily

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12 septembre 2018

Les Secrets de l'île (Meurtres à Sandhamn 4), de Viveca Sten

Les Secrets de l'îleUn étudiant en psychologie est retrouvé pendu dans sa chambre. Désespérée, sa mère implore l'inspecteur Thomas Andreasson de ne pas abandonner l'enquête. Ses collègues et lui ont déjà matière à réflexion avec la mort d'anciens chasseurs-côtiers, qui auraient tous fréquenté la base militaire de Korsö, dans les années 70. L'intrigue va suivre son cours, avec son suspense et ses rebondissements, un processus routinier, car disons que d'autres éléments m'interpellent assez rapidement... 

D'abord, Sandhamn, la bouffée d'oxygène des citadins, les weekends de détente et la mer pour seul horizon. Ensuite, les personnages : Thomas, à nouveau en couple avec son ex, et Nora Linde, en plein divorce houleux. Le duo harmonieux de la série TV n'est qu'un mythe : dans les romans, Nora est passive et déprimante, submergée par ses émotions. Thomas, toujours à cran avec son épouse à fleur de peau. Tous deux entretiennent une simple relation amicale, sans ambiguïté, et Nora a rangé sa tenue de Miss Marple au placard. 

C'est sans doute moins excitant, pourtant ça rend leurs histoires poignantes et concrètes. On ne se prive pas non plus pour avoir de belles images en tête, au moins ça console du ton geignard de Raphaël Mathon - qui ne varie jamais ses intonations de voix, masculines ou féminines, c'est du même tonneau. Franchement sinistre. Mais la série a du charme à revendre, ce qui fait qu'on y retourne sans cesse.

©2016 Albin Michel. Traduit du suédois par Rémi Cassaigne (P)2018 Audible Studios

 

6 septembre 2018

Les proies du lac, de Kate Watterson

Les proies du lacBryce Grantham pensait se ressourcer dans le calme du chalet familial, à Loon Lake, dans le Wisconsin, pour terminer l'écriture de son roman, profiter de la fraîcheur de l'arrière-saison, prendre quelques verres au bar...
Un soir, il rencontre une étudiante qu'il accepte de dépanner en la raccompagnant chez elle. Le lendemain, voulant lui rendre son téléphone qu'elle aurait oublié dans sa voiture, il comprend que quelque chose de grave est arrivé à Melissa : traces de sang, meubles renversés, la jeune femme est introuvable.
Il alerte la police sans se douter que les enquêteurs sont déjà à cran : cette disparition s'ajoute à une série de plus en plus inquiétante. À leurs yeux, Bryce Grantham cumule les détails troublants et devient le suspect idéal. Soit l'homme est victime d'un engrenage infernal, soit c'est un manipulateur redoutable.
Seule Ellie MacIntosh refuse de tirer des conclusions hâtives. Par contre, elle n'ose pas encore l'admettre, mais elle est en train de tomber sous le charme de cet homme très séduisant...
Bien que de facture classique, le roman est assez saisissant à lire et offre même quelques frissons tant l'intrigue tient en haleine, avec son rythme soutenu, qui donne envie de tourner les pages vite, très vite, pour connaître le dénouement.
J'ai également beaucoup aimé l'ambiance automnale de cette campagne isolée, en bord de lac, avec des personnages dont on ignore encore s'il faut donner du crédit ou pas à ce qu'ils prétendent être (chasseur et proie se livrent un cache-cache angoissant).
En somme, c'est classique et efficace. L'auteur a depuis continué sa série, cf. Parmi les cendres & Secrets enterrés, je ne vous cache pas que cela me réjouit particulièrement ! Une bonne pioche, sans surprise.

Traduit par Valérie Malfoy pour les éditions Presses de la Cité - repris en poche chez 10 x 18 (Domaine Policier), 2015

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5 septembre 2018

Lumière noire (D. D. Warren 8), de Lisa Gardner

Lumière noireUne jeune femme entre dans un bar et commence à boire plusieurs verres en séduisant les hommes de passage. Grisée par l'alcool, elle accepte de suivre un inconnu mais tombe dans un traquenard... dont elle échappe en brûlant le corps de son kidnappeur. La police réalise alors qu'elle fait face à Flora Dane - une survivante ayant passé 472 jours de séquestration auprès de son tortionnaire. Depuis, celle-ci suit une thérapie et traque les prédateurs en faisant sa propre justice. Le commandant D.D. Warren est perplexe et rencontre le docteur Samuel Keynes, victimologue de son état, pour cerner sa personnalité. Peu de temps après, la mère de Flora avertit la police que sa fille a de nouveau disparu. Son appartement est pourtant verrouillé, mais nulle trace de la jeune femme. Le suspense monte d'un cran et l'enquête s'intensifie. Même si elle est en restriction d'activité en raison de sa blessure (cf. À même la peau), D.D. Warren est dopée à l'action et ne se résout pas à demeurer dans son bureau, encore moins à déléguer. Et pendant que l'enquêtrice se débat avec ses soucis, le lecteur est dans la confidence du calvaire que vit Flora Dane... et pire encore, on replonge dans son passé pour découvrir sa relation ambivalente sous l'emprise de son agresseur. Tout ça est très, très perturbant. Non seulement on avance dans l'histoire avec la chair de poule, mais on est assailli par le doute, l'horreur et l'angoisse. Je n'ai pas suivi la série donc je découvre au pif un épisode avec une héroïne récurrente, pas facile pour se familiariser, mais cela reste une bonne pioche et une invitation à fouiller davantage dans les romans de Lisa Gardner. C'est noir, c'est prenant (un peu facile dans la dernière ligne droite) mais ça tient en haleine de bout en bout.

©2016 / 2018 Lisa Gardner, Inc. / Éditions Albin Michel. Traduit par Cécile Deniard (P)2018 Audiolib

 

5 septembre 2018

La Reine du bal (Laurie Moran 4) de Mary Higgins Clark & Alafair Burke

La reine du bal

Au cours du prestigieux gala du Metropolitan Museum of Art de New York, une riche donatrice fait une chute mortelle du toit de l'immeuble. Ses héritiers soupçonnent son amant - un jeune coach sportif dévoré d'ambition - mais l'enquête tombe à plat.

Trois ans plus tard, l'équipe de Laurie Moran, la célèbre productrice de l'émission Suspicion, met les projecteurs sur ce mystère pour leur prochain prime-time. Moralement, la jeune femme est au plus bas : ses déboires sentimentaux submergent ses pensées. Déjà éprouvée par la perte tragique de son mari, Laurie avait trouvé du réconfort auprès d'Alex... mais leur relation est dans l'impasse depuis qu'il a quitté les studios pour se consacrer à sa nouvelle carrière à Washington.

J'avoue que j'ai écouté cette histoire sans grande passion, mais sans désintérêt non plus. Je savais dans quoi je m'embarquais, donc je n'étais pas foncièrement déçue. La lecture est classique, prenante sans être stressante. Une mise en scène sans surprise, mais efficace. Par contre, les atermoiements amoureux de Laurie sont naïfs et risibles. Cela n'apporte rien, je n'ai pas trouvé qu'ils rendaient les personnages plus attachants ou concrets.

Sans ces détails, la série est distrayante à écouter. Elle n'enflamme sans doute pas l'imagination mais offre un passe-temps agréable de quelques heures...

©2017 "Every Breath You Take" / Éditions Albin Michel. Traduit par Anne Damour (P)2018 Audiolib

5 septembre 2018

Selfies (Les enquêtes du département V #7) de Jussi Adler-Olsen

selfiesL'ambiance n'est plus à la fête au Département V qui est menacé de fermeture ! Carl ne décolère pas et reproche à Rose de délaisser son travail en multipliant ses frasques et caprices. Assad cherche à intervenir et veut amadouer le caractère renfrogné de son chef... mais trop tard. Rose claque la porte du service et disparaît de la circulation. En vrai, on la sait au plus mal. Son moral est sur la tangente, ses démons du passé la saisissent à la gorge. La jeune femme est internée de toute urgence et parle de mettre fin à ses jours. Assad et Gordon sont effondrés, tandis que Carl comprend qu'il a dépassé les bornes. Cherchant à faire bonne figure, il fouille dans ses dossiers et relève l'enquête d'un ancien collègue qui n'aurait jamais abouti à une conclusion... sans se douter que l'actualité criminelle viendrait y faire écho. Un chauffard est en train de semer la zizanie dans les rues de Copenhague, visant des jolies jeunes femmes fauchées dans la rue. En fait, le lecteur connaît déjà  le coupable : une fonctionnaire des services sociaux, devenue aigrie et amère par son travail, qui se lance dans une vendetta en apprenant qu'elle est gravement malade. Ses cibles sont toutes indiquées : trois nanas sans cervelle, vivant du système et rêvant de gloire et d'argent facile. Elles font aussi des plans insensés mais vont se confronter à leur conseillère détestée. L'histoire est poignante, glauque, pathétique mais captivante. L'auteur impose son rythme et embarque son lecteur dans un enchaînement de circonstances fort sinistres. Certaines révélations sont explosives (concernant Rose) et doivent impérativement être réutilisées dans la suite de la série ! À savoir pour quand... ? Le prochain roman de Jussi Adler-Olsen - L'unité Alphabet - n'a strictement rien à voir avec l'équipe du Département V. Mais il me tarde... il me tarde.

©2014 / 2017 Jussi Adler-Olsen / Éditions Albin Michel. Traduit par Caroline Berg (P)2018 Audiolib

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