Sortie 32.B, par Antonio da Silva
Moi, au cours de ma lecture... 😱😱😱
MAIS QUELLE HISTOIRE DE MALADE !
Tout commence par deux voyages distincts, d'abord des garçons qui se rendent à un enterrement, puis une équipe de basketteuses en route pour un tournoi. Leur chemin se croise sur une aire d'autoroute. Sourires enjôleurs, battements de cils et gloussements de dindes... L'ambiance est assez insouciante alors même que des détails étranges sont apparus : des oiseaux figés dans le ciel, des cadavres de vaches qui parsèment le bitume ou des volatiles qui échoient en masse sur les carrosseries. Hum ?
Croyez-moi, ce n'est qu'un début. La suite de l'histoire est encore plus incroyable, plus folle, plus EFFRAYANTE ! Le cours des événements va également rassembler Lucille, ses copines et nos petits gars pour les plonger dans un cauchemar sans fin, sans nom.
Et quel enfer !
Pendant 230 pages, j'ai tourné les pages avec des yeux exorbités et la boule au ventre car je n'étais franchement pas rassurée et me demandais où l'auteur voulait en venir. Le rythme est endiablé, la tension dramatique poussée à plein régime. On se croirait au cinéma (section, film d'horreur). Survient alors le chapitre 38. « Du ciel, le fourgon ressemble à une luciole. »
Hello la Quatrième Dimension.
Car tout part à vau-l'eau. Les 150 pages restantes proposent une sortie de route... déconcertante. J'aurais parié là-dessus = j'aurais perdu ! 😁 Mais cela me laisse un goût d'à-peu-près qui me laisse insatisfaite. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous gratouille ? Les deux, mon capitaine !
Rouergue, coll. épik, 2019
⭐⭐⭐⭐
Aurora Squad (The Aurora Cycle #1), par Amie Kaufman & Jay Kristoff
Le jeune Tyler Jones avait toutes les clefs en main pour une brillante carrière de chef d'escadron. Le meilleur de sa promotion. Mais le jour de son affectation, Tyler prête secours à un vaisseau en errance à bord duquel se trouve le corps cryogénisé d'une certaine Aurora Jie-Lin O'Malley. Elle non plus n'était pas préparée pour se réveiller quelques 200 ans plus tard ! Ce qu'elle découvre dans cet univers de galaxie déchirée par des enjeux politiques dépasse son entendement.
Revenons aussi au cas de Tyler. Son retard ne lui a pas permis d'établir une équipe de choc (il se retrouve à la tête de marginaux qu'aucune section ne rêvait d'avoir). Précision : ils ont tous énormément de potentiel mais avant tout un caractère ingérable ou un passé tendancieux. Leur première mission n'est d'ailleurs pas très excitante (se rendre sur une base lointaine pour fournir des denrées de première nécessité). À bord, outre les personnalités qui s'affirment, de grandes surprises vont clouer le bec à tout l'équipage.
Ce roman, c'est donc un bon mélange d'humour et d'action avec un casting haut en couleur où chacun tire son épingle du jeu par sa spécialité, ses boutades, son mystère ou son aura. Et comme les narrateurs varient au fil des chapitres, la lecture permet un joli tour d'horizon dans ce grand chantier de cachotteries. Agréable surprise donc (davantage qu'avec la série Illuminae). Bon... c'est vrai qu'il y a encore des détails balourds comme ce gaillard de Kal qui dégouline de fascination pour Auri tout en affichant une mine impénétrable. Ce sont des points maladroits ou convenus exprès pour toucher le public jeunesse. Moi je ne mords pas à l'hameçon 😋 mais ça ne m'empêche pas d'avoir passé un bon moment !
500 pages palpitantes en rebondissements et émotions. Check baby, check.
Casterman (2020)- Traduit par Emmanuel Gros
⭐⭐⭐⭐
Angelfall (Penryn et la fin du monde #1), par Susan Ee
Je ne m'attendais pas à un roman aussi brut de pomme. Bon sang de bonsoir. Toute perspective guillerette est proscrite. Par contre c'est vraiment distrayant à lire car totalement rocknroll.
Notre monde a donc été mis k-o par une armée d'anges débarqués du ciel pour déverser sa colère en s'attaquant à l'espèce humaine. Sans explication, sans excuse. Boum. La population est asservie ou obligée de se planquer pour survivre. Penryn cherche avec sa mère (schizophrène) et sa petite sœur (handicapée) à se sauver de la Silicon Valley quand elles sont témoins d'une vendetta entre séraphins. Mais la jeune Paige est kidnappée par le groupe tandis que Penryn vole au secours du mystérieux Raffe laissé sur le carreau. Ses ailes ont été arrachées. La créature sanguinolente gît au sol, mais la jeune fille choisit de l'abriter dans des bureaux pour l'utiliser comme monnaie d'échange (objectif : retrouver sa sœur !).
Pendant 400 pages, le ton est donné : rude, implacable et tendu. On sent que les personnages sont tous enlisés dans un bourbier sans nom. Entre Penryn et Raffe, la relation est d'ailleurs électrique (mais va s'assouplir au fil du temps). N'attendez pas de papillons voltigeant dans un ciel bleu et ensoleillé... non, non. L'ambiance est vraiment à la désillusion totale, comme un lendemain de fête trop arrosée ! Voilà, voilà.
Mais ça m'a bizarrement beaucoup plu. J'ai bien aimé le côté trash, sans foi ni loi, de cette lecture qui envoie du bois. C'est pas du tout crémeux ou romantique ou gnangnan (c'est tout le contraire). Ça a plutôt été comme un boost dans ce quotidien surréaliste qu'on vit en ce moment... donc ouais, bébé, ça le fait ! Du bonheur à l'état pur, brut, natif, volcanique, quel pied !
Fleuve éditions / Territoires (2014) - Traduit par Alexandra Maillard
⭐⭐⭐⭐.5
Rebelle du Désert, par Alwyn Hamilton
Cette lecture m'a transportée vers un univers incroyable : des plaines désertiques, écrasées par le soleil et alourdies par du sable à perte d'horizon... Des petites villes égarées avec des populations qui tirent la langue face aux conditions difficiles. Et un sultan despotique qui règne sur son royaume en lançant ses troupes au combat pour museler les réticents. Whaou.
Au centre, nous avons Amani, une héroïne forte et farouche, qui rêve de s'affranchir de son existence misérable. Recueillie chez sa tante après la mort de sa mère, elle a supporté les brimades, les insultes, les coups durs en attendant de pouvoir quitter au plus vite ce trou à rats. Experte en armes, elle se présente à un concours de tirs en prétendant être un garçon. Là, elle rencontre un adversaire redoutable. Mais ses ennuis ne font que commencer car la garde rapprochée du sultan va débouler en quête d'un fugitif et Amani va se planter au beau milieu du chemin d'ennemis plus féroces que jamais.
J'avoue, j'ai d'abord trouvé l'histoire maladroite et confuse (trop de précipitations et aucune transition dans la narration). C'était proche de la cacophonie. Malgré tout, j'étais fascinée par l'ambiance orientale. Elle diffuse un charme exotique et dépaysant... franchement envoûtant. J'ai adoré. Les personnages aussi ont beaucoup de charisme : ils sont drôles, généreux, débordants de fougue et d'ambition... Ils nous embarquent avec eux et dans leurs aventures. J'ai adoré, vraiment. Moi qui cherchais une lecture pour m'évader, là j'ai été servie et j'ai carrément envie de hurler car je n'ai pas la suite sous la main ! 😭
PKJ. (2016)
⭐⭐⭐⭐.5
Jack et le bureau secret (Section 13 #1), par James R. Hannibal
Sans nouvelles de leur père, Jack et sa sœur Sadie ont suivi leur mère jusqu'à Londres pour le retrouver. Les deux enfants sont consignés dans leur chambre d'hôtel, le temps que celle-ci passe au crible les hôpitaux de la ville. Mais la jeune Sadie fausse rapidement compagnie à son frère, ce qui l'oblige à la courser dans les rues de Londres où tous deux vont se perdre. Ils s'adressent alors au Bureau des Objets Perdus et demandent leur chemin à une certaine Gwen. Après quoi, tout va basculer !
Le début du roman est super ! L'histoire file à toute allure à force de rebondissements, d'explications, de révélations. On en prend plein les yeux. On est tenu par un rythme fou et palpitant. On ne lâche plus le livre jusqu'au chapitre d'après. Jack est propulsé au cœur d'une aventure incroyable, qui va notamment lui faire découvrir un héritage génétique hors du commun... Et n'oublions pas l'aspect historique (retour sur l'incendie de Londres de 1666). C'est franchement top.
En bref, toute cette belle énergie rend la lecture passionnante ! Un bon rendez-vous jeunesse pour les amateurs de sociétés secrètes et de chasses au trésor.
Flammarion Jeunesse (2017)
- Ill. de couverture : Eric Kalsbeek, Kyle Letendre
- Traduction (Anglais) : Faustina Fiore
⭐⭐⭐⭐
Gardiens des Cités Perdues, par Shannon Messenger
Sophie Foster a longtemps souffert d'être une enfant précoce (elle n'a jamais eu d'amis à l'école car elle est en terminale à douze ans). Elle n'a jamais compris non plus pourquoi ses parents lui imposaient une éducation aussi stricte.
Et puis, grande révélation : elle appartient à un autre monde. Plus précisément, parmi les Elfes. Ses dons sont d'ailleurs extraordinaires. Sitôt débarquée à l'académie de Foxfire, sa présence suscite interrogation, doute et admiration sans borne.
Sonnez les trompettes, sortez les tambours, déployez le tapis rouge. La Grande Sophie est dans la place.
Si j'ai d'abord trouvé l'histoire longue, peu originale et convenue, je n'ai pas voulu condamner la série pour ces détails. Pourtant, je pointais les défauts à tour de bras : personnages trop jeunes et stéréotypés, attitudes puériles, humour à deux balles.
On tourne les pages sans frémir, tellement c'est lisse et gentillet.
Je comprends néanmoins pourquoi certains lecteurs y trouvent leur compte car l'ambiance est attrayante - trop souvent comparée avec Harry Potter (même si personnellement je recommande davantage L'Atlas d'émeraude ou The Magic Thief pour guérir le manque).
En fait, la série de Shannon Messenger est pour moi TROP SAGE. Sans surprise. Aucun boulon qui ressort de la belle mécanique bien huilée. La copie trop parfaite ! En gros, je m'ennuie un peu car ce n'est pas assez funky.
Lumen (2014) - Traduit par Mathilde Tamae-Bouhon
⭐⭐⭐
Seamróg (L'anneau de Claddagh #1), par Béatrice Nicodème
Séduite par la couverture et le résumé, j'avais les trois tomes sous le coude pour de pleines heures d'évasion !
L'histoire commence dans le comté de Galway au milieu du XIXe siècle. Keira est femme de chambre, sa mère cuisinière, pour une riche famille. Elles n'ont vraiment pas à se plaindre, a contrario de leurs voisins qui crèvent de faim et tombent gravement malades dans une misère pas possible. C'est que la famine va frapper durement le pays, bousculant les habitudes des uns et des autres. Certains n'hésitent plus à prendre le bateau pour l'Amérique et rêver d'une nouvelle vie. Pour Keira, la tentation aussi est grande. Elle vient de tomber amoureuse du bel Arthur mais a conscience du fossé qui les sépare en raison de leurs classes sociales (c'est une jeune héritier bourré de promesses). Ses employeurs ont d'ailleurs l'ambition de marier leur fille Clémentine au garçon... d'où les tourments de plus en plus déchirants pour notre héroïne.
En fait, cette lecture est loin d'être une grande fresque sentimentale, jalonnée de passions dévastatrices qui font battre le cœur des plus romantiques. Cette série se démarque par son cadre historique, son économie d'atermoiements et sa volonté de tracer le chemin d'une jeune femme indépendante et volontaire. Tout simplement. Je m'attendais à autre chose (j'avoue) donc je suis assez frustrée par cette mise en bouche. C'est bien mais ça se lit avec trop de détachement.
Gulf Stream éditeur (2015)
Illustrateur : Raphaël Beuchot
... avouons que cette fin est incroyable ! Un peu trop providentielle pour me convaincre.
Juste un détail m'a presque tiré un sourire sarcastique.
Cette série est donc de grande qualité littéraire mais m'est apparue émotionnellement peu attachante (du moins, pour moi).
⭐⭐⭐
Fille des chimères, de Laini Taylor
Étudiante en art à Prague, Karou voyage souvent à travers le monde selon le bon vouloir de son tuteur Sulfure. Ses missions consistent à récolter des dents et autres ossements auprès de marchands peu scrupuleux. La jeune fille s'exécute sans demander son reste et abuse du chantage en exigeant de son mentor toutes sortes de caprices (apprendre des langues improbables, avoir les cheveux bleus ou pouvoir voler librement).
En vérité, Sulfure est un démon magicien. Un fait acquis pour Karou qui a également connaissance de l'existence des anges et des chimères... à part ça, c'est le flou. Elle ne sait pas quel rôle elle joue là-dedans. Mais le jour où elle croise un spécimen de toute beauté, au regard noir, qui fonce sur elle pour l'éliminer, Karou pressent que sa tranquillité vient d'être remisée au placard. Sans rien comprendre, son petit univers familier se brise avec fracas. La jeune fille est désormais seule. Face à un passé sans nom et un inconnu qui ne la lâche plus.
Cette série n'est plus une nouveauté (parution 2012) mais elle m'a toujours fascinée. En l'exhumant de ma bibliothèque encombrée, j'ai retenu mon souffle en croisant les doigts de ne pas être déçue au tournant. Que nenni. D'office l'écriture m'a soufflée... l'ambiance m'a conquise... l'univers m'a tourneboulée. C'est superbe. Une lecture fascinante dans laquelle on trempe un orteil puis le corps entier en batifolant joyeusement. Au diable toute réserve ! Je conçois néanmoins que la romance est trop instantanée et fougueuse pour me convaincre... MAIS ceci ne ternit en rien la sensation grisante que j'ai ressentie en lisant le roman. Complètement envoûtée j'étais. Voilà, je suis amoureuse de son aura. C'est clair !
Gallimard jeunesse (2012) - Traduit par Anne Krief
« Attention, chers lecteurs : il s'agit de l'une de ces séries qui vous rendra fous d'impatience, grincant des dents et vous arrachant les cheveux, dans l'attente du prochain tome. Soyez prevenus ! » Stéphanie Meyer
⭐⭐⭐⭐.5
Oh Happy Day, de Anne-Laure Bondoux & Jean-Claude Mourlevat
J'avais beaucoup d'espoir (mais surtout beaucoup de crainte) au moment de découvrir cette lecture. Quatre ans ont passé pour Pierre-Marie et Adeline. En fait, j'avais oublié que le couple était sur le point de se rencontrer à la fin de Et je danse, aussi mais se réservait cet instant à l'abri de notre regard inquisiteur. Verdict : un total échec dont la grande responsabilité revient à Pierre-Marie. Médaille d'or de la goujaterie.
Donc quatre ans plus tard, ce monsieur a l'outrecuidance d'écrire à Adeline. Il aimerait retrouver un petit carnet pour relancer la muse endormie. La dame ne moufte pas mais aiguise ses lames. Elle est désormais mariée et heureuse en ménage. Elle s'apprête d'ailleurs à quitter le pays pour s'installer à Toronto. Elle est à deux doigts de glisser une fin de non-recevoir. C'est comme ça que leur correspondance renaît de ses cendres. Elle reprend d'abord sur le bout des lèvres, puis délivrée des vieilles rancœurs. Car les anciens amis ont beaucoup à partager. Actes manqués et regrets amers... on nage en plein dedans.
L'aventure canadienne va également prendre un tour inattendu, à la fois burlesque et dramatique. Bof bof. De toute façon c'était foutu depuis le départ. Quand j'ai compris que les sautes d'humeur de l'un avaient brisé le cœur de l'autre, pour moi la magie dans Et je danse, aussi venait de voler en éclats. Je n'ai pas aimé cette suite (inutile... encombrante... minable...). Oui je mets des pointillés, exprès ! Mais cette histoire n'a ni queue ni tête. C'était comme si j'avais usurpé mes souvenirs (ça se passait comment dans Et je danse, aussi ?). Cette fois, point de lumière, point d'étincelle. Les personnages ont fait leur temps. Je préfère mille fois le mystère à un rendez-vous foiré qui vous laisse un goût aigre en bouche... pouah.
Terrible déception ! Vraiment.
©2015 Fleuve Éditions, département d'Univers Poche (P)2020 Lizzie
- Lu par : Marcha Van Boven, Robert Guilmard, Frédéric Meaux
- Durée : 8 h 45
Le livre audio se boucle sur un entretien avec les auteurs, qui expliquent le pourquoi du comment etc. (J'en viens à regretter le refus initial de JC Mourlevat à écrire une suite... mais pourquoi !?!!). Bref. Tous deux commentent également la version audio et avouent un certain malaise à l'écoute d'une voix étrangère se glisser dans la peau de leur personnage. JC Mourlevat a davantage d'embarras envers l'exercice (ce qui ne signifie pas qu'il juge le travail mal exécuté... bien au contraire).
Personnellement, les voix des comédiens m'ont paru très agréables à suivre et m'ont permis d'embarquer à bord de cette histoire avec beaucoup d'insouciance. C'était distrayant et réconfortant. Sur ce plan, aucun souci. Dommage de n'avoir pas trouvé mon bonheur dans le contenu de l'histoire... car vraiment c'est une suite qui n'avait pas lieu d'être.
⭐⭐⭐
Du 20 avril au 3 mai 2020, l'éditeur Lizzie vous offre un livre audio. Il vous suffit de télécharger l'application Lizzie pour profiter de cette offre.
Qui m'aime me le dise ! de Sophia Peignot
Une petite lecture qui nous fait voyager et réfléchir sur la vie qui passe trop vite... Ça tombe bien en période de confinement !
Après le décès de sa grand-tante, Céleste découvre un secret de famille qui l'incite à partir en vadrouille avec un modeste inconnu à l'autre bout du monde. Elle confie son atelier de pâtisserie à sa collègue et plie bagage pour s'envoler dans l'ouest américain. Son partenaire n'est autre qu'un vieux monsieur grincheux avec qui l'entente est assez houleuse.
Mais au fil de leurs péripéties, un autre lien va se créer... tendresse, complicité, tout ça. En fait ce roman nous embarque pour une tranche de vie rigolote et rien que ça. Les personnages font un semblant de bilan de parcours pour un résultat sans surprise mais mouvementé. C'est d'ailleurs une comédie pleine de pep's et de bonne humeur qui ne verse pas dans la romance. Le coup du charmant infirmier... je vous préviens, c'est un leurre ! Ne mordez pas à l'hameçon, sauf pour pousser un rire démoniaque.
Pour un premier roman, l'intention est sincère, la lecture attachante.
HarperCollins Poche (2020) // Avec petit prix attractif pour inciter à la découverte !
⭐⭐⭐