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Chez Clarabel

10 janvier 2014

Week-end à Portmeirion, de Nicola Upson

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Il a suffi d'un simple coup d'œil à la couverture, puis de découvrir qu'un certain Hitchcock se baladait au cœur de l'histoire, pour faire de moi l'esclave de cette lecture ! J'ai tout lâché pour m'y plonger. Miam, quel régal ! L'histoire commence en 1954, mais concerne un événement survenu durant l'été 1936. Joséphine Tey fête ses 40 ans avec son ami le commissaire Archie Grant, à Portmeirion, dans un complexe hôtelier luxueux situé au bord de la mer.

Elle a également été invitée à rencontrer le couple Hitchcock pour céder les droits de son dernier livre, en vue d'une adaptation cinématographique. Il fait une chaleur caniculaire, l'ambiance se veut languide et oppressante, les comédiens vont et viennent, le réalisateur anglais mijote quelques blagues d'un goût douteux... On passe ainsi plus de 200 pages sans soupçonner l'ombre d'un crime, c'est calme, très bavard et tout bonnement raffiné.

J'ai immensément apprécié ce cadre magnifique, où règne une atmosphère fascinante et guindée. On y trouve un petit monde clos, pétri de jalousie, de rancœur et de haine, qui ne masque pas son amertume vis-à-vis de l'industrie cinématographique. On spécule aussi sur le prochain départ de Hitchcock pour Hollywood, on dresse un portrait de l'homme sans effet de manche, c'est un génie au caractère exécrable, qui manifeste amour et admiration pour Alma Reville, sa remarquable épouse.

L'intrigue policière, finalement, n'est qu'une goutte d'eau dans un vaste océan. Elle est, certes, plus présente dans la deuxième moitié du roman, mais il m'est apparu que ce n'était pas ce qui m'importait le plus. J'ai aimé l'ensemble du livre, avec ses personnages et la façon de les introduire, de raconter leurs tourments personnels, de laisser deviner leurs émois ou leurs états d'âme. C'est un livre qu'on découvre par envie, ou par curiosité, et qui dévoile un grand aspect psychologique dans sa trame romanesque. Mais c'est très chic, absolument divin !

10-18, collection Grands détectives, novembre 2013 - traduit par Pascale Haas.

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9 janvier 2014

Quatre soeurs, Tome 2 : Hortense par Cati Baur, d'après Malika Ferdjoukh ❤

Ce n'est pas un rêve, non, non, il s'agit bien de la suite de la fabuleuse série de Malika Ferdjoukh, Quatre Soeurs, adaptée en bande dessinée par Cati Baur ! Trois ans que je l'attendais ... J'ai bien cru que le projet était tombé à l'eau. Heureusement, l'espoir a été récompensé et le résultat est top !

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Quand bien même le titre du livre porte sur Hortense, l'histoire n'est pas uniquement centrée sur l'avant-dernière de la fratrie, mais bel et bien sur toute la famille. Et quel bonheur ! Les filles Verdelaine se démènent pour rendre leur quotidien moins tristounet, avec toujours une petite pensée pour leurs parents (qui ont trouvé la mort dans un accident de voiture) et une farouche résistance envers la tante Lucrèce (qui a des oursins dans ses poches !).
Mais revenons à Hortense, complexée par sa timidité, qui meurt de trouille chaque fois qu'elle doit s'exprimer en public. Sa prof de français lui suggère une solution radicale et l'envoie prendre des cours de théâtre auprès du célèbre Zoltan Lermontov. Et là, c'est la révélation !
Dans le même temps, Hortense a croisé le chemin d'une petite voisine, au cours de ses longues promenades en solitaire, le long de la falaise. Il s'agit de Muguette, actuellement en convalescence, car la fillette est gravement malade. On ignore encore les causes de son mal, tant la vie à la maison est rugissante de petits et grands événements.
Car il souffle comme un vent de révolution à la Vill'Hervé : Bettina est folle amoureuse ... du livreur de surgelés ! L'ironie de l'histoire ? Le garçon n'a pas un physique de tombeur et notre petite bêcheuse a honte de s'afficher avec lui.
Quelle andouille, elle risque de s'en mordre les doigts !!!
J'ai déjà exprimé en long, en large et en travers tout le bien que je pensais de la série ET de l'adaptation par Cati Baur de l'univers de Malika Ferdjoukh : on n'aurait pu rêver mieux. C'est parfait, pile comme dans mon imagination, aussi poétique et magique, une pure alchimie qui enchante le lecteur.
Et vous, vous attendez quoi ? 

Rue de Sèvres, janvier 2014

9 janvier 2014

La bobine d'Alfred, de Malika Ferdjoukh

“La bobine d'Alfred” est un roman doux et tendrement nostalgique, qui rend un bel hommage au cinéma de l'âge d'or hollywoodien et au grand Alfred Hitchcock.

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L'histoire : Harry Bonnet a tout juste 16 ans lorsqu'il traverse l'Atlantique, avec son père, pour vivre son aventure américaine. À lui les films à toute heure du jour et de la nuit, les rencontres de starlette sur la plage, le permis de conduire, les crèmes glacées au parfum improbable...

Ce qui l'attend sera encore plus époustouflant : assister au tournage (secret) du dernier Hitchcock, Mary Rose, d'après la pièce de J.M. Barrie. Le garçon est aussitôt ébloui, par l'actrice Veronica West, par l'ambiance sur le plateau, électrique, pesante mais fascinante, par le mystère environnant.

D'ailleurs, n'en pouvant plus de lambiner dans son coin, il n'hésitera pas à commettre un petit délit pour assouvir sa passion dévorante...

Et nous voici plongés au coeur d'une histoire invraisemblable, mais palpitante, qui séduit et envoûte littéralement, même si force est de reconnaître que tout le charme du livre réside dans son atmosphère ! C'est délicieusement désuet, poudré d'un voile infime (mais pas ringard), absolument élégant, irréel et fabuleux. Un pur régal.

Je sèche pour vous dire à quel point cette lecture a su me transporter, me faire sourire, m'enchanter (et pourtant, je l'avoue, ce n'est pas mon roman préféré non plus). Mais j'étais tellement sous la coupe de mon émerveillement, j'avais tellement anticipé ce mariage entre Malika Ferdjoukh, Alfred Hitchcock et toute cette thématique autour du (vieux) cinéma hollywoodien.

Je soupçonne l'auteur de s'être livrée à cet exercice juste pour satisfaire un plaisir égoïste et elle a eu drôlement raison ! Ce roman, c'est son cri d'amour en bonne cinéphile qui se respecte.
Amen.

École des Loisirs (grand format), octobre 2013 - illustration de couverture : Séverin Millet.


«Ah, c'est de la belle histoire. Ça parle des morts, tu vois, des morts qui reviennent et qui partent. Du souvenir. Du temps qui passe. De l'amour d'une maman pour son enfant. Mais va proposer ça à des producteurs ! Ils te répondent quoi ? "Monsieur Hitchcock, tu nous as montré des meurtres sous une douche, sur un manège, un trapèze, dans un train, un bateau, un moulin, un clocher... et tu te ramènes avec ta petite histoire de fantômes sans crime ? Sorry. No money." Trop romantique pour 1964.»

9 janvier 2014

Chevaliers et princesses avec gigot, de Christian Oster

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Chevaliers et princesses avec gigot est une compilation de trois contes de Christian Oster : Le chevalier qui cherchait ses chaussettes (illustré par Pascal Lemaître), Le géant et le gigot (illustré par Audrey Poussier) et Princesse pas douée (illustré par Delphine Perret).

J'ai testé cette lecture auprès d'un jeune public, d'une moyenne d'âge entre 5 et 14 ans, et j'ai rencontré un succès fou ! Qu'est-ce qui fait mouche ? Le ton humoristique, le détournement des contes classiques, des personnages sympathiques et benêts, des histoires tendrement saugrenues. Tout ça, tout ça.

Vous trouvez ainsi un chevalier sans chaussettes, complètement chamboulé par cette perte, qui ne sait plus trop dans quel ordre il doit accomplir ses missions, et refuse de descendre de sa monture tant qu'il sera pieds nus ! Vous vous régalez aussi du casse-tête du géant qui veut devenir lutin pour varier son alimentation (dans cette forêt, on ne peut se nourrir que par des choses commençant par la même lettre). Pourquoi pas ? Et enfin, vous faites connaissance d'une princesse pas douée qui doit trouver un prince à épouser, mais rencontre un ours et se met à lire dans sa tanière, à une vitesse d'escargot, ce qui ne contrarie nullement notre bête à poil.

L'ensemble est drôle et fabuleusement dérisoire, avec des illustrations tout aussi délirantes.
Succès garanti auprès des enfants (et des plus grands, qui se régaleront à l'évocation de tous les jeux de mots) !

Ecole des Loisirs, novembre 2013. Illustration de couverture : Pascal Lemaître.

8 janvier 2014

Le projet Bleiberg, de David S. Khara

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J'ai plongé tout de go dans cette histoire sombre, haletante et tout simplement passionnante ! Elle prend ses racines dans les années 40, au coeur d'une Europe ravagée par le nazisme, et se poursuit de nos jours, révélant un complot de l'horreur qui touche un type quelconque, Jay Novacek, un trader new-yorkais désabusé, qui brutalement voit sa vie menacée et pourchassée par de sinistres individus.

En route, il croisera Eytan Morg, un type au physique impressionnant, aux méthodes de combat redoutables et au passé bien mystérieux. Il devra aussi son salut à une charmante jeune femme, clone de Buffy, qui ne le quittera plus d'une semelle et devra assurer seule sa sécurité. Toutefois, leur mission pour rester en vie s'annonce ardue, dès lors que l'ennemi tombe le masque et a recours à des moyens d'intimidation contre lesquels il est difficile de résister.

Ainsi, chapitre après chapitre, on nous trimbale sans ménagement, d'un pays à l'autre, époque après époque, croisant les figures les plus viles et marquantes des manuels d'histoire. C'est qu'on ne s'ennuie pas un seul instant non plus, le rythme de lecture est vif, le récit est ponctué d'action, de retournements de situation, c'est intense, palpitant, pas mal du tout comme lecture divertissante. L'interprétation d'Emmanuel Curtil est nickel et colle à la trame nerveuse et captivante sans jamais frémir. Je n'ai pas vu le temps passer et me suis déjà procuré la suite des aventures, Le projet Shiro.

Audiolib, novembre 2011 - durée d'écoute : 6 h 30 - Texte intégral lu par Emmanuel Curtil. Disponible en format poche, chez 10-18.

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7 janvier 2014

Journal d'Hélène Berr : 1942-1944 (Suivi de Hélène Berr, une vie confisquée par Mariette Job)

“Si j'écris tous ces petits détails, c'est parce que maintenant la vie s'est resserrée, que nous sommes devenus plus unis, et tous ces détails prennent un intérêt énorme. Nous vivons heure par heure, non plus semaine par semaine.”

 

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J'avais déjà lu des extraits du journal d'Hélène Berr lors de l'édition 2008 par Audiolib, interprétée par Elsa Zylberstein. Je n'ai pas hésité une seconde pour connaître la version intégrale, lue cette fois par Guila Clara Kessous.

Au-delà du témoignage bouleversant, c'est aussi une personnalité stupéfiante que l'on découvre, Hélène Berr, 21 ans, brillante étudiante à la Sorbonne, amoureuse, bavarde, spontanée, érudite, sensible, sincère, révoltée, agacée, impuissante, rageuse et désespérée. Elle confesse dans son journal de nombreux détails concernant sa vie de tous les jours, d'abord dans le but de se délester d'un poids, puis dans le souci de laisser une empreinte et de permettre aux générations suivantes de comprendre et de savoir dans quelles tourmentes les familles juives ont été plongées.

C'est comme ça qu'on entame la lecture sur une impression de légèreté, au départ les préoccupations d'Hélène relèvent de la superficialité (ses relations amoureuses ou amicales, ses rapports avec sa famille). Au loin, commencent pourtant les rafles et les déportations, mais c'est seulement suite à l'arrestation de son père qu'Hélène se souciera moins de sa petite personne pour s'intéresser à une sphère plus large, plus politique.

J'ai beaucoup aimé l'élégance de la jeune femme, dans son écriture, dans son style, dans sa vie. C'était une jeune fille si dynamique, pleine de vie, rayonnante. Mais plus on avance dans son témoignage, et plus on constate que le ton change, que la gravité et l'amertume s'installent, que le désespoir point, que la mélancolie n'est plus lyrique, mais signe d'une profonde meurtrissure.

Et pourtant, c'est loin d'être un texte triste, mais davantage un texte vrai, qui puise sa force et sa richesse dans la personnalité pétillante d'Hélène Berr. Ce témoignage est aussi une formidable leçon de vie, sa lecture est indispensable pour se rappeler ce douloureux chapitre des heures les plus noires de notre pays.

Audiolib, novembre 2013 / éditions Tallandier, 2008. Texte intégral lu par Guila Clara Kessous (durée d'écoute : 8 h 38)
Préface de Patrick Modiano lue par Benoit Peeters.
Avec la participation de Mariette Job (postface), nièce d’Hélène Berr, qui explique l'histoire de la publication du Journal.

L'écoute en classe de ce CD est autorisée par l'éditeur.

“Il faudrait donc que j'écrive pour pouvoir plus tard montrer aux hommes ce qu'a été cette époque. Je sais que beaucoup auront des leçons plus grandes à donner, et des faits plus terribles à dévoiler. Je pense à tous les déportés, à tous ceux qui gisent en prison, à tous ceux qui auront tenté la grande expérience du départ. Mais cela ne doit pas me faire commettre une lâcheté, chacun dans sa petite sphère peut faire quelque chose. Et s'il le peut, il le doit.
Seulement, je n'ai pas le temps d'écrire un livre. Je n'ai pas le temps, je n'ai pas le calme d'esprit nécessaire. Et je n'ai sans doute pas le recul qu'il faut. Tout ce que je peux faire, c'est de noter les faits ici, qui aideront plus tard ma mémoire si je veux raconter, ou si je veux écrire.”

7 janvier 2014

La servante du Seigneur, de Jean-Louis Fournier

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Je n'ai pas du tout été convaincue par la motivation de ce texte !
L'auteur étale sur la place publique une affaire personnelle (sa fille a pris le voile, et lui ne l'accepte pas). Il l'accuse d'être différente, d'avoir changé, d'avoir ruiné son don artistique, d'être endoctrinée. Non mais, franchement, c'est pathétique.
Pas une seule fois, l'homme ne montre un aspect de sa personne qui prouverait qu'il est tolérant, qu'il se met à la place de sa fille et qu'il veut comprendre son choix de vie. Au lieu de ça, il tacle, il ressasse de vieux souvenirs, il fait preuve d'humour sordide, il critique, il est bête, il est méchant, il est mesquin.
Loin d'être intimiste, c'est un texte qui se révèle voyeuriste, déplacé et dérangeant. À aucun moment on ne ressent de l'empathie pour cet homme grincheux et égoïste, tout fripé d'être aigri et engoncé dans son acharnement.
C'est désolant.
Le texte, heureusement, est très bref. Seulement 1 h 30 d'écoute (texte lu par l'auteur lui-même). Il se termine de façon salutaire, avec un droit de réponse de la concernée, Marie, à travers la voix de Colette Sodoyez, qui s'exprime brièvement mais fermement. C'est la seule partie du livre que j'ai appréciée.

Audiolib, décembre 2013 - durée d'écoute : 1 h 27 - Texte intégral lu par l'auteur. Avec la participation de Colette Sodoyez.

6 janvier 2014

Le songe d'une nuit d'automne, Tome 1 : La neuvième nuit, par Lesley Livingston

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Kelley a tout quitté pour s'installer à New York et assouvir sa passion pour le théâtre. Elle vient d'ailleurs de décrocher le rôle principal dans la pièce de Shakespeare, Le Songe d'une Nuit d'été. Un jour, après avoir totalement perdu ses moyens sur scène, Kelley se réfugie dans Central Park et fait une rencontre particulièrement étrange... Un cheval est en train de se noyer dans un cours d'eau ! La jeune fille s'empresse de lui venir en aide, mais le retrouve peu de temps après, dans son son appartement, et plus précisément sous la douche.

Là, je sens que je vous en bouche un coin (j'ai moi-même cru à une bonne blague), mais ce cheval est en fait une créature féerique, chose à laquelle Kelley n'entend strictement rien. C'est un séduisant jeune homme, Sonny Flannery, qui va tenter de l'introduire à cet univers enchanteur, ravagé par la guerre des clans (la cour d'été, la cour d'hiver et la cour d'automne). Lui est un Janus, autrement dit un gardien des portes qui séparent le monde des mortels à celui des immortels, il travaille pour Aubéron, le roi Unseelie, dont la réputation n'est plus à faire, et il est tombé sous le charme de Kelley qu'il veut à tout prix protéger.

Vous obtenez ainsi une lecture facile, légère, charmante et absolument divertissante. Trame romanesque classique, folklore féerique sans surprise, personnages gentils et malléables, voués à vivre une passion amoureuse conflictuelle... demandez le programme ! On savoure, on craque pour les jolies scènes romantiques et pour le (faux) suspense de l'intrigue. On succombe à l'interdit et au pouvoir toxique de la féerie. En tout cas, moi, je suis cliente ! Certes tout n'est pas parfait, mais cela ne me pose aucun problème, à partir du moment où j'ai passé un très bon moment qui nous affranchit de toute réalité pendant 350 pages. La suite est déjà disponible (tome 2 : Les quatre cours). 

Panini Books, coll. Scarlett, juin 2013 - traduit par Cécile Tasson

23 décembre 2013

❈❈ Whirling like a cyclone in my mind ❈❈

Hpotter

De belles choses surviennent dans ma vie, en cette fin d'année. Une juste récompense, après tant d'épreuves...

Je vous souhaite aussi de passer de très belles fêtes ! ... 

Clic doucereux

23 décembre 2013

♥ Dernières pages de l'année ♥

lovelyyear

Retour sur tous ces jolis rendez-vous de l'année 2013...

 

✵✵✵✵✵✵

Forever Young !  

  • Je suis une immortelle, par Julie Kagawa
  • L'Ange Mécanique, par Cassandra Clare
  • La fille du parrain, par Gabrielle Zevin
  • Âmes soeurs, par Rebecca Maizel 
  • Version BETA, par Rachel Cohn
  • La révolte de Maddie Freeman, par Katie Kacvinsky
  • Cinder & Scarlet, par Marissa Meyer
  • Effacée, par Teri Terry
  • Amnesia, par Jennifer Rush 
  • Hemlock, par Kathleen Peacock
  • Samouraï Océan (Tome 1 : Le destin de Satchi) par Hugo Verlomme
  • Aile d'ange, par Ingelin Røssland 
  • Phaenix, par Carina Rozenfeld
  • Delirium 3, par Lauren Oliver

Petit lecteur deviendra grand ! ... 

  • Le Réveil des Créatures, par John & Carole E. Barrowman
  • Jack Vandal, par Lee Bacon
  • Lincoln Baker, agent spécial : Gare à ton double, par F.T. Bradley
  • Homer et le chien formidable, par Suzanne Selfors
  • Chitty Chitty Bang Bang fait le tour du monde, par Frank Cottrell Boyce
  • Mon été mortel, par Jack Gantos
  • Au Ventre du Monde, par Gilles Barraqué 
  • Itawapa, par Xavier-Laurent Petit 
  • Une nouvelle vie pour Millie Plume, par Jacqueline Wilson
  • Sophie et la Princesse des Loups, par Cathryn Constable
  • Ava préfère les fantômes, par Maïté Bernard
  • Enquête au collège, par Jean-Philippe Arrou-Vignod
  • La cerise sur le gâteau (Histoires des Jean-Quelque-Chose), par Jean-Philippe Arrou-Vignod
  • Douze Minutes Avant Minuit, par Christopher Edge 
  • Kat apprentie magicienne, par Stephanie Burgis
  • La pâtisserie Bliss, par Kathryn Littlewood
  • Plus qu'une vie, par Kate Kae Myers
  • L'étang aux libellules, par Eva Ibbotson

Mes pépites

  • Il était une fois (Contes en haïku), par Agnès Domergue et Cécile Hudrisier
  • François Morel raconte Hyacinthe et Rose

Oui, je lis aussi des romans pour adultes ►♪♫

  • La couleur des sentiments, par Kathryn Stockett
  • Le goût des pépins de pomme, par Katharina Hagena
  • Les yeux jaunes des crocodiles, par Katherine Pancol
  • Prodigieuses créatures, par Tracy Chevalier
  • Le confident, par Hélène Grémillon
  • Le beau monde, par Harriet Lane
  • Le Club des incorrigibles optimistes, par Jean-Michel Guenassia
  • L'île des oubliés, par Victoria Hislop

Friiiissons

  • Les apparences, par Gillian Flynn
  • L'écho des morts, par Johan Theorin
  • Le bus, par Madeleine Robitaille
  • Une place à prendre, par J.K. Rowling

Pour mon petit coeur tendre

  • Apocalipstick, par Charlotte Marin & Marion Michau 
  • Très chère Sadie, par Sophie Kinsella
  • Grands boulevards, par Tonie Behar
  • Demain j'arrête !, par Gilles Legardinier
  • Et soudain tout change, par Gilles Legardinier
  • Les héritiers de Blue Ridge Mountain, par Stephanie Bond
  • Amis et rien de plus, par Kristan Higgins
  • L'Amour et tout ce qui va avec, de Kristan Higgins

Et des auteurs,

  • Fred Vargas - Jean-Christophe Grangé - Dominique Sylvain - Arnaldur Indridason - Camilla Läckberg - Michael Connelly ... lus, relus, découverts, redécouverts ...  (merci les Audiolib !) 
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Le sourire étrange de l'homme poisson
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L'homme idéal... ou presque
Trop beau pour être vrai
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